lundi 17 novembre 2014

L’énergie libre illimitée, gratuite et non polluante : Mythe ou réalité ?

Imaginez un monde avec une énergie abondante, propre, peu coûteuse, les centrales nucléaires, de gaz, les puits de pétrole, les mines de charbon… ont été mises hors d’usages. Un type inhabituel d’énergie rend tout cela possible. Elle ne vient pas du soleil, du vent, de la pluie ou des marées, ce n’est pas un combustible fossile ou nucléaire pris dans le sol ou par synthèse chimique.


image non affichéeLa planète est dans une véritable impasse énergétique car les réserves de gaz et pétrole diminuent rapidement et nous sommes, depuis le début de ce siècle, et à l'initiative de l'Empire anglo-sioniste, dans des des guerres du pétrole et du gaz fossiles. L'agressivité et l'appétit sans limite de cet Empire laisseront peu d’espoir à l’humanité, si des pays comme la Russie, grande détentrice d'énergies fossiles, continuent à être agressées par l'Occident, compte tenu des milliers de têtes nucléaires qui seront inévitablement utilisées.


Nous n’avons pas d’autre espoir pour la survie de l’humanité que de développer de nouvelles technologies productrices d’énergie libre de façon à résoudre cette urgence énergétique, qui est aussi une urgence écologique, car la combustion des réserves fossiles de pétrole, charbon et de gaz, polluent inexorablement la planète jusqu’à un point de non-retour.

Mais le scepticisme scientifique combiné à des plaintes pour harcèlement par les inventeurs, (corruption/rachat de brevets, menaces allant jusqu’à la disparition ou la mort d’inventeurs dans des circonstances troublantes…) rend très difficile que des dispositifs à énergie libre puissent retenir l’attention du grand public ou qu’ils soient évalués pour une production commerciale et de distribution.

L’énergie libre, ou énergie du vide (éther)


“Encore quelques générations qui passent, et nos machines seront conduites par la force obtenue à n’importe quel point dans l’univers… C’est une simple question de temps et les hommes réussiront à connecter leurs machines aux rouages mêmes de la nature.” – Nikola Tesla

En effet, il a été démontré que le vide contient une énorme quantité d’énergie, proche du zéro absolu (le point zéro), une énergie utilisable en abondance :

C’est une source d’énergie renouvelable disponible gratuitement appelée aussi « énergie du point zéro ». C’est l’énergie électromagnétique contenue dans la trame de l’Univers. Elle est présente dans l’espace et dans la matière. L’énergie libre occupe tout le « vide » qui nous entoure. L’énergie libre représente un paradoxe pour la science contemporaine : ou il existe dans l’univers une force gravitationnelle supérieure aux masses répertoriées, ou il y a une énergie invisible libre qui subirait l’effet d’une pression que l’on pourrait appeler cosmique.

La physique quantique tend aujourd’hui à démontrer que chaque mètre cube d’espace autour de nous contiendrait une quantité phénoménale de cette énergie. À ce jour, toutes les techniques qui nous ont été rapportées pour la capter font appel à un principe de déséquilibre temporaire de la structure des ondes électromagnétiques, causant ainsi une transmutation matière/énergie et/ou transfert énergie/énergie…

Les recherches révèlent que cette source d’énergie peut être partiellement convertie en énergie utilisable. Celle-ci serait illimitée et non polluante, et tout comme le vent et le soleil, son utilisation serait gratuite.

Imaginez-vous que cela existe depuis 20 ans: en avez-vous déjà entendu parler? Non, puisque au contraire tout est fait pour enterrer la question.

Il existe beaucoup d’inventeurs indépendants qui ont construit des machines à énergie libre et dont les résultats ont été publiés au grand jour et vérifiés mais comme la communauté scientifique ne comprend pas les principes théoriques sur lesquels reposent ces inventions, elle en ignore tout simplement l’existence. Ainsi, tout va bien.

Et le commun des mortels de se dire : si ça existait, on en aurait entendu parler. Posons alors la question : qui vous en aurait parlé ?

Les machines à énergie libre constituent certainement les preuves tangibles de l’existence d’une forme d’énergie totalement ignorée du monde des sciences. Ce sont des machines qui transforment une certaine forme d’énergie non répertoriée par la science moderne, en énergie mécanique bien tangible. Ces machines produisent plus d’énergie qu’elles n’en consomment.

N’en déplaise à quelques physiciens, cela ne viole pas le sacro-saint principe de conservation de l’énergie car la machine ne crée pas quelque chose qui n’existait pas auparavant, mais elle transforme quelque chose que l’on ne sait pas détecter en quelque chose d’utilisable.

La physique quantique nous a montré que beaucoup de lois physiques qui semblent figées et inflexibles sont en fait violées. Par exemple on découvre que l’univers est constitué de plusieurs dimensions, les particules de matière existent simultanément à plusieurs endroits de l’univers et il est possible de téléporter de la matière à travers de la matière ou de l’information à travers l’univers instantanément…

Ainsi le vide de l’univers est rempli d’énergie quantique en des proportions astronomiques et toutes ces informations ne font que donner du crédit aux machines à énergie libre et leur existence réelle.

Si on arrive, en polarisant légèrement ce vide par des phénomènes encore mal expliqués mais basés sur l’électromagnétisme, à récupérer un peu de cette énergie, les machines qui en sont injectées fournissent plus d’énergie qu’elles n’en consomment, elles ne font que « pomper » l’énergie là où elle est …et c’est la nature, présente partout, qui alimente l’énergie du vide.

L’appareil de Tesla destiné à capter l’énergie radiante du milieu naturel est décrit dans les brevets US N°685.957 et 685.958. Aussi incroyable que cela puisse paraître, les laboratoires du monde entier commencent à exploiter cette fameuse énergie.

Certains éminents physiciens théoriques commencent à comprendre pourquoi et comment cela est possible. Plusieurs entreprises en sont au stade d’un début de mise sur le marché de ces dispositifs viables qui produisent nettement plus d’énergie que ce qui est nécessaire pour les faire fonctionner…(voir ci-dessous le moteur de Kuhai Minato.

Depuis l’époque de Nikola Tesla, le public a généralement eu des difficultés à accéder à l’information sur ces transformations d’énergie.

Mais petit à petit ces appareils qui utilisent cette matière pour l’énergie sont maintenant acceptés dans les demandes de brevet, et sont d’ailleurs loin d’être considérés comme impossibles à réaliser par les cartels de l’énergie qui prennent très au sérieux la difficile tâche de désinformer à ce propos…

Et ces découvertes ne peuvent se faire qu’avec un effondrement des lois de la physique telles que nous les connaissons depuis trois siècles.


Pourtant une longue lignée d’inventeurs est apparue pour proposer de telles machines à rendement surunitaire, l’expression surunitaire est la traduction du terme anglais overunity. Le mot désigne un système dont le niveau d’énergie augmente, sans aucune source externe définie, une idée que la science rejette depuis plus d’un siècle au moins.

Les principales pierres d’achoppement ont été la pensée scientifique rigide concernant la violation des lois de conservation de l’énergie, et de puissants intérêts pétroliers de l’énergie opposés à ce que des machines à énergie libre soient sérieusement étudiées.

Malgré tout, une longue succession de ces moteurs à énergie libre ont été développés, et ces faits doivent être diffusés, en raison de leur importance et de leurs conséquences multiples.

Il s’agit en effet d’offrir à notre civilisation la possibilité d’utiliser une nouvelle source naturelle d’énergie inépuisable, et sans effets nuisible sur l’environnement :

Déjà dans les années 1830, Michel Faraday fit la démonstration que l’on pouvait générer une puissance électrique en faisant tourner un disque de cuivre adéquatement connecté dans un champ magnétique, sans qu’il n’y ait proportionnellement une puissance requise à l’axe du disque.

Mais d’où provient ce gain d’énergie ?


Hé bien c’est un nouveau chapitre de la physique qui s’est progressivement ouvert.

Mais la plupart de ces travaux n’ont pas pu être abordés comme ceux des chercheurs subventionnés par des organismes institutionnels, comme le CNRS, le CERN, etc…

Ces chercheurs là étant financés par des fonds publics, ont à rendre des comptes pour justifier de leurs ressources et des budgets alloués à leurs équipes chaque année. Mais les travaux entrepris sur l’énergie libre, la plupart du temps, n’ont à rendre de comptes à personne, les moyens expérimentaux et le coût des demandes de brevets sont souvent assumés par les chercheurs sans aucune intervention extérieure d’aucune sorte, la liberté est donc totale et les choix n’engagent qu’eux-mêmes.

Et la liste des inventeurs de moteurs électromagnétique à énergie libre, gratuite et non polluante, est  longue. Pour ceux que cela intéresse, voir ici.

Le moteur magnétique de Kuhai Minato



Un moteur révolutionnaire alimenté par des aimants permanents, mis au point par un inventeur japonais est aujourd'hui mis en production.
Une économie d'énergie de 80 %, absence de chaleur et de bruit... de quoi séduire plus d'un investisseur ! Kuhai Minato veut toutefois privilégier une fabrication locale par de petites unités indépendantes.
"Eh oui", annonça-t-il, "ils viennent d'en vendre 40000 exemplaires à une chaîne de supermarchés de bricolage locale. Alors, voulez-vous le voir ?"
Au Japon, personne n'achète 40000 ventilateurs de grande surface sans être à peu près sûr qu'ils vont fonctionner.
Commençant par une explication simple des lois du magnétisme et de la répulsion, Nobue nous montre le fonctionnement et l'utilité de chacune des machines, puis à l'aide d'une tige magnétique, elle met en mouvement la Roue Minato.
En examinant de près le rotor, nous constatons qu'il est incrusté de 16 aimants disposés en oblique. Il semble bien que la position et l'angle des aimants constituent la clef du fonctionnement des machines de Minato. Une fois démarrée, la roue continue à tourner, ce qui prouva au moins que le concept ne génère pas de verrouillage magnétique.
La machine suivante vers laquelle nous mène Nobue est assez lourde et connectée à une petite pile. Elle entraîne un tambour de 35 1% qui serait parfaitement capable de faire fonctionner un lave-linge.
On bascule le commutateur et le gros rotor tourne à 1,550 t/M. sans effort et silencieusement.
Des cadrans indiquent la puissance d'entrée et celle de sortie. Et nous constatons qu'une source de quelques 16 watts anime un ensemble que devrait en consommer au moins 200 ou 300.
Nobue nous explique que, comme celle-ci, toutes les machines n'utilisent l'énergie électrique que pour animer deux démarreurs électromagnétiques placés de part et d'autre et qui n'ont pour fonction que de sortir le rotor du verrouillage magnétique jusqu'à l'arc aimanté suivant.
L'angle et l'écartement des aimants sont tels qu'une fois le rotor en mouvement, la répulsion entre les stators et les pôles du rotor maintient celui-ci en mouvement uniforme dans le sens anti horlogique; c'est impressionnant !
Nous nous dirigeons ensuite vers un ensemble connecté à un générateur et en sommes abasourdis. Les compteurs indiquent un flux d'entrée vers les électro-aimants du stator d'environ 1,8 volts et 150 mA, tandis que le générateur produit 9,144 volts et 192 mA à la sortie; faisons le calcul :
1,8 x 0,15 x 2 = 0,54 W à l'entrée et 9,144 x 0,192 = 1,755 W à la sortie
[Ndt : soit 3,25 fois plus].
Cependant les lois de la physique interdisent qu'un système produise plus qu'il ne reçoit. Tandis que nous en parlons à Kohei Minato, nous jetons un coup d'œil sous l'établi pour nous assurer qu'il n'y a pas de fils dissimulés.
Minato nous assure qu'il n'a pas transgressé les lois de la physique, la puissance supplémentaire inattendue est générée par la force magnétique des aimants permanents du rotor. "Je ne fais qu'exploiter une des quatre forces de la nature", dit-il.
Nous avons appris à l'école que les aimants sont toujours bipolaires et que par conséquent un mouvement d'induction magnétique finissait toujours par se verrouiller en état d'équilibre. Mais Minato nous explique qu'en ajustant avec soin la position des aimants et la synchronisation des pulsions vers le rotor on peut atteindre le point ou la répulsion entre rotor et stator (l'anneau magnétique extérieur fixe) est transitoire. Ce déséquilibre engendre une continuité du mouvement, au lieu d'un blocage. [Pour plus d'explications, voyez le dernier chapitre : comment marchent les aimants en mouvement ?
Ce qu'implique cette technologie
À puissance et couple égaux, les moteurs Minato ne consomment que 20 % et même moins, de l'énergie nécessaire aux moteurs conventionnels.
Ils restent froids au toucher et ne font aucun bruit mécanique ni électrique.
Ils sont donc non seulement plus économiques, mais plus sûrs et respectueux de l'environnement.
Les implications sont énormes, rien qu'aux USA, les moteurs électriques consomment à eux seuls près de 55 % de l'énergie électrique.
Alors que la plupart des gestionnaires d'usines s'équipent de moteurs les moins chers possibles, ils sont régulièrement informés, par des organismes tels que la NEMA (National Electrical Manufacturer! Association), du coût de fonctionnement d'un moteur sur une période de 20 années : sur un total de 100 %, l'achat du moteur ne représente que 3 %, les 97 % restant étant la consommation électrique. Il n'est pas rare qu'un moteur qui coûte 2000 dollars US à l'achat consomme pour 80000 dollars d'électricité (à 0,06 cents le Kwh).
En 1992, une législation sur l'efficacité entra en vigueur au niveau fédéral aux USA, les moteurs étant particulièrement concernés, et ceux qui peuvent réaliser une économie de l'ordre de 20 % sont considérés comme hautement efficaces.
Voilà que Minato est sur le point de lancer un moteur qui économise 80 %, ce qui le place dans une catégorie entièrement inédite. Le coût de fonctionnement de 80000 dollars US va descendre à 16000 dollars. Multipliée par les millions de moteurs utilisés aux USA, au Japon et partout dans le monde, c'est une économie considérable.
Efficacité des moteurs Minato
Les qualités remarquables de l'invention de Minato, économie d'énergie, pas d'émission de chaleur ni de bruit, en font un complément parfait aux applications domestiques : ordinateurs personnels, téléphones cellulaires, (un générateur miniature est à l'étude), entre autres.
Le moteur magnétique coûtera moins cher à la fabrication qu'un moteur conventionnel parce que, n'émettant presque pas de chaleur, rotor et stator pourront être montés dans des bâtis en plastique.
En outre, sa sobriété énergétique lui ouvre les champs d'application où la fourniture d'énergie est limitée. Pour le moment la fabrication est surtout destinée au remplacement d'installations existantes, mais, déclare Minato, le moteur a suffisamment de couple pour propulser un véhicule.
Il est possible d'accoupler un générateur à la propulsion magnétique et de produire plus de puissance électrique qu'il n'en aura été injecté à l'entrée. Selon Minato l'efficience moyenne est de 33%.

(Source : John Dodd avec autorisation de réimpression de Japon, inc.magazine, édition de mars 2004
Traduction : André Dufour
Extrait du magazine Nexus n°34 page 54 à 59 sept-oct 2004
Source:
Magazine Nexus n°34

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