samedi 1 août 2015

Le lobby sioniste français oeuvre pour déstabiliser l’Algérie

Bernard-Henri Lévy, le «philosophe» français connu surtout comme étant un militant engagé dans la déstabilisation des pays arabes, notamment la Libye, tente de reprendre pied en Algérie.

En effet, c'est par le biais d'une pétition lancée simultanément à Paris et à Alger, censée condamner une «fatwa» émise par un intégriste illuminé visant le journaliste Kamel Daoud, que le chroniqueur du magazine Le Point fait parler de lui.
Bernard-Henri Lévy trouve ainsi le filon inespéré pour jeter le discrédit sur l'Algérie. Mais le malheur est que ce sinistre personnage, honni aussi bien dans le monde arabe qu'en France, fasse bonne presse dans le Tout-Alger médiatique. 
Il faut dire qu'une majorité écrasante de la presse algéroise ne trouve aucun mal à rendre publique la «pétition» sur laquelle sont apposées plusieurs dizaines de signatures de figures de proue du lobby sioniste français.
Outre Bernard-Henri Lévy, on remarque également Raphaël Enthoven, «philosophe», fils de Jean-Paul Enthoven, un sioniste né en 1949 à Mascara, en Algérie, connu dans les milieux pervers de la jet-set. Ce dernier épousa le 4 décembre 1981 Corinne Pécas, fille du réalisateur et producteur de films érotiques Max Pécas. Ex-compagnon de Carla Bruni – l’actuelle compagne de Nicolas Sarkozy – au début des années 2000, Raphaël Enthoven est mentionné dans le site de la Radio militaire israélienne Galei Tsahal comme «un pilier du cercle littéraire franco-israélien».
A noter aussi qu'Esther Benbassa, sénatrice et universitaire franco-turco-israélienne, spécialiste du sionisme, a tenu à «condamner l'obscurantisme» en Algérie.
Sans omettre la signature de Caroline Fourest, une «star» de la presse pro-sioniste parisienne, présidente du «centre gay et lesbien» de Paris de mai 1999 à mars 20002, protectrice des Femen ukrainiennes à Paris, mais surtout une partisane zélée de l'islamophobie en France.
Nuire à l'Algérie suscite, par ailleurs, l'implication de Rober Badinter, ex-garde des Sceaux né en 1928 à Paris et compté comme «élite juive» de France, foncièrement pro-sioniste.
Il faut dire que la liste est trop longue pour pouvoir citer tous ces «démocrates éclairés» érigés en donneurs de leçons à une «Algérie obscurantiste». Cependant, les Algériens s'interrogent sur ce brusque mouvement «né en deux temps trois mouvements pour mettre l'Algérie au piquet».
Certains compatriotes n'hésitent pas à prendre d'assaut la Toile pour dénoncer «cette subite pétition qui sent indubitablement l'ingérence dans les affaires algériennes». Pour ces Algériens, c'est indéniablement la paire Kamel Daoud-Abdelfattah Hamadache qui a déroulé le tapis rouge aux sionistes français.
A l'exemple de ce commentaire lu dans le forum d’Algérie patriotique, qui considère que la pétition ne servirait pas plus Kamel Daoud que les «personnalités» signataires dont les dividendes politiques seront d'un «impact important sur la fragilisation de l’État algérien».
Un autre internaute n'hésite pas, à juste titre, à renvoyer dos à dos le journaliste et le faux imam auteur de l’appel au meurtre, «dont l’un voudrait être auréolé du titre d’un Salman Rushdie algérien et l’autre de chef d’une antenne algérienne de Daesh».
«Rentrons-leur dedans tous les deux !» fulmine un autre internaute.

Source : Algérie Patriotique