Le 25 décembre 2006, la Cour d’appel irakienne confirme la condamnation à mort de l’ancien président irakien Saddam Hussein et refuse d’accéder à sa dernière volonté d’être fusillé, comme le prévoyait l’ancienne Constitution irakienne pour les crimes politiques. Elle confirme l’exécution par pendaison, réservée en Irak aux criminels de droits communs. Human Rights Watch a estimé que le procès a été «entaché d’irrégularités, aussi bien sur la forme que sur le fond» et qu’il a été «foncièrement inéquitable».