vendredi 17 juin 2016

Obama veut déclencher la troisième guerre mondiale pour protéger Hillary Clinton



Obama se prépare à la guerre totale contre la Fédération de Russie dans sa tentative d'empêcher la publication des e-mails secrets d'Hillary Clinton. Si Obama réussit à déclencher une guerre contre la Russie, cela conduirait inévitablement à une guerre  nucléaire entre la Russie et les pays de l'OTAN, c'est-à-dire à la troisième guerre mondiale.

 
La dernière «pièce du puzzle» à être mise en place par le régime Obama pour ce début de guerre, a été accomplie le mardi (14 Juin) lorsque l'OTAN a annoncé, pour la première fois de son histoire, que les opérations informatiques de cyber-piratage et d’intrusion font maintenant partie de ses armes de guerre, ayant la même importance que les armes aériennes, terrestres et maritimes. Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’Otan, a averti que les cyber-attaques contre les membres de l’alliance pourraient maintenant être classées en tant que "cas de casus belli» par l'OTAN, et pourraient entraîner une réponse militaire de l’OTAN.
Trois heures après cet avertissement extraordinaire de déclenchement de la guerre , le Washington Post a publié un article intitulé « les hackers du gouvernement russe ont pénétré le DNC (Comité National du parti Démocrate), ont volé des documents concernant  Trump ». Cet article est basé sur un rapport publié le 15 Juin par la société internationale de cybersécurité CrowdStrike Services Inc. intitulé Bears in the Midst: Intrusion into the Democratic National Committee  (les ours s’introduisent au milieu du Conseil National Démocrate) qui, dit :
Ces allégations formulées contre la Fédération de Russie par CrowdStrike ont été rapidement réfutées par le pirate activiste Guccifer 2.0, qui, non seulement a revendiqué la responsabilité du piratage du DNC, mais il a aussi rendu publics tous les documents qu'il a obtenus. D'autre part, des hackers américains ont trouvé que le site le plus protégé des États-Unis, celui du Pentagone avait beaucoup de faiblesses [1].
CrowdStrike a répondu à ces publications en déclarant: 
Pour mieux comprendre cette sordide toile de mensonges éhontés et de  menaces de guerre déployés contre la Fédération Russe par le régime Obama, les analystes russes expliquent que l'oligarque américain multimilliardaire et propriétaire du Washington Post, Jeff Bezos, avec son « Amazon Web Services », a gagné 600 millions $ l’an dernier en développant un « cloud computing » pour la CIA, et qui a commencé l'entretien informatique de l’ensemble des 17 organismes du renseignement des États-Unis.
Pour savoir pourquoi le régime Obama a confié tous les réseaux de renseignement "top secret" de son pays à un oligarque comme Jeff Bezos, les analystes russes ne l’expliquent pas, mais ils notent énigmatiquement que Bezos a été, de longue date,  un participant assidu des réunions Bilderberg  qui, avec une organisation appelée le Conseil de l'Atlantique, Atlantic Council, et d'autres, constituent l’«état profond », c'est-à-dire le  gouvernement secret qui contrôle effectivement les États-Unis.
Il faut tout particulièrement noter que Le Conseil de l'Atlantique a toujours été  derrière la stratégie de guerre d’Obama contre la Fédération de Russie, et que l’un de  ses principaux membres est Dmitri Alperovitch, le co-fondateur et Chief Technology Officer (CTO) de la société CrowdStrike services Inc. qui est à l’origine des allégations de piratage soi-disant russe ci-dessus.
A noter également que la quasi-totalité du leadership du  Conseil de l'Atlantique a rejoint le régime Obama en 2009,  y compris James L. Jones, son Président, qui a démissionné afin de servir en tant que nouveau conseiller en sécurité nationale du président Obama et a été remplacé par le sénateur Chuck Hagel.
Les catastrophes perpétrées sur le peuple américain par ces ex membres du Conseil de l'Atlantique devenus collaborateurs d’Obama sont trop nombreses pour être répertoriées ici. Mais l'une des pires est la gestion choquante et inhumaine du général Shinseki des anciens combattants des États-Unis, qui a causé la mort de plusieurs milliers d’entre eux.
Obama laisse donc les membres du Conseil de l'Atlantique gouverner  dictatorialement les États-Unis à l'insu de la population américaine. Leur principal ordre du jour consiste à fomenter, puis déclencher la guerre contre la Russie. L’'ancien secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen, les félicité en les appelant un «think tank prééminent» ayant une «réputation de longue date ».
Rasmussen,  bien que reconnaissant au Conseil de l'Atlantique pour ses longues années d'effort pour déclencher une guerre contre la Russie, a été, néanmoins, très déçu que la troisième guerre mondiale n'ait toujours pas commencé.   
Mais voilà maintenant qu’il obtient un siège au premier rang de l’apocalypse. Il y a juste une quinzaine de jours, l'Ukraine l'a nommé "conseiller spécial" pour coordonner les forces de l'OTAN qui vont envahir les oblasts du sud de la Russie quand commencera ce conflit.
Néanmoins, Donald Trump se déclare être  un ennemi juré de Jeff Bezos et de toutes les organisations secrètes de l’"État profond" qui gouvernent l’Amérique, comme le Conseil de l'Atlantique. À l’exemple du président John F. Kennedy d’il y a 50 ans, Trump a mis en garde le peuple américain et l’a averti que son véritable ennemi est le président Obama, et que ce dernier n’est pas étranger au Massacre d’Orlando.
Cette charge de Donald Trump contre Obama a démontré la véracité des affirmations  de Philip Haney, un ancien chef du Department of Homeland Security (DHS, équivalent du Ministère de l’Intérieur), selon  lesquelles Obama, a ordonné en 2009 la destruction de tous les enregistrements relatif aux terroristes islamiques opérant aux États-Unis. Alors que, si ces données avaient été conservées, elles auraient empêché non seulement le Massacre d’Orlando, mais presque tous les attentats terroristes islamistes qui se sont produit aux États-Unis ces 7 dernières années.
Les raisons pour lesquelles Obama a ordonné la destruction de données relatives au terrorisme islamiste sont nombreuses et connues :

  • Les partis et organisation islamistes sont une arme de destruction massive des nations arabes et musulmanes aux mains de l'Empire anglo-sioniste,
  • Les régimes islamistes qui gouvernent les pays musulmans sont des serviteurs zélés des intérêts américano-israéliens,
  • Les efforts d’Obama pour faire de la Russie, et non pas ces terroristes islamistes, la principale source de peur du peuple américain, dans le but d’amener à détester la Russie et le président Poutine, en les percevant comme une menace existentielle, ce qui justifiera le recours à une guerre préventive contre la Russie.
Mais la vraie raison pour laquelle Obama veut lancer une guerre contre la Russie se trouve dans les emails d’Hillary Clinton, qui vont bientôt être publiés. Leur publication pourrait entraîner une révolution en Amérique en montrant à tous les Américains les crimes commis par Hillary. De plus, si Donald Trump est élu comme président, il la poursuivra certainement pour ses crimes. Obama ne veut pas de tout cela.


Source :  http://www.whatdoesitmean.com/index2057.htm
Traduction + adaptation : Hannibal GENSERIC 

[1] Près de 140 failles repérées par des hackeurs sur les sites du Pentagone

Invités à tester la sécurité de cinq sites internet du Pentagone, dont le site amiral defense.gov, des pirates informatiques ont découvert près de 140 failles en un mois, a reconnu vendredi 17 juin le ministre américain de la défense, Ashton Carter.
Près de 140 failles repérées par des hackeurs sur les sites du PentagoneAu total, 1.410 Américains férus d’informatique et de réseaux ont participé à ce concours de piratage, organisé par le Pentagone pour renforcer la sécurité de ses sites. En un mois, ils ont fourni 1.189 rapports sur des vulnérabilités, permettant de détecter 138 failles « valides et uniques ». Le meilleur d’entre eux, qui a décelé plusieurs failles, a empoché 15.000 dollars sur les 75.000 de prime offertes.
Ashton Carter, lui-même féru de sciences et de technologies, s’est félicité d’avoir réussi à renforcer la sécurité des sites internet du Pentagone à moindre coût. « Si nous avions utilisé la procédure classique », à savoir passer par une entreprise de sécurité informatique« cela nous aurait coûté plus d’un million de dollars », a-t-il expliqué.

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