mardi 15 novembre 2016

Trump et Poutine gagnent en Bulgarie et en Moldavie



L’effet positif du président élu Donald Trump [1], combiné à la popularité sans égale du président Poutine, ont libéré deux nations européennes de l'emprise satanique tyrannique des mondialistes occidentaux : la Moldavie et la Bulgarie. Les deux élections ont de quoi mettre du baume au cœur des présidents russe et américain (Trump), chose qui était rarissime avant l’élection de Trump.
La Bulgarie, une République membre de l'Union européenne, a élu hier le major général Rumen Radeven tant que nouveau président. Ce dernier a félicité le président élu Trump pour "avoir plus de dialogue" avec le président Poutine Le Premier ministre Boyko Borisov a subi une défaite cuisante et a immédiatement démissionné. Vladimir Poutine a félicité les deux nouveaux chefs de l'État, et a souhaité l'approfondissement des relations de son pays avec la Bulgarie et avec la Moldavie.
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L’élection du président Trump commence à répandre « une vague de liberté » à travers le monde occidental. Les dirigeants mondialistes de l'UE, de Berlin à Bruxelles, ont demandé une réunion d'urgence après le vote bulgare sur la manière de stopper l’effet Trump, mais la Grande-Bretagne, la France et la Hongrie ont refusé d'y assister, montrant ainsi que le bloc mondialiste commence à se fissurer. Contrairement à la plupart des campagnes conventionnelles, qui maintiennent un contact de base avec les ambassades de partenaires américains avant les élections, les conseillers de Trump ont rejeté les efforts des diplomates de l'UE pour se rencontrer, ce qui a causé encore plus de frayeur chez les mondialistes.
Nous sommes tous d'accord : quelle que soit le problème,
c'est la faute aux Russe
La fureur et la déception des mondialistes est visible à travers deux exemples récents. (a) dans une tirade stupéfiante, le secrétaire général du bloc militaire mondialiste appelé OTAN, Jens Stoltenberg, a osé publier un avertissement sans précédent au président élu Trump déclarant que " Aller seul n’est pas une option"; (b) Le secrétaire à la Défense du régime Obama, Ash Carter, « ordonne » à Trump de ne pas coopérer avec la Russie.
On a la nette impression que l'OTAN et le Pentagone du régime Obama essayent de commencer la Troisième Guerre mondiale avant que le président élu Trump ne prenne le pouvoir
Ceci est conforté par la décision de la Grande-Bretagne, membre de l'OTAN, annonçant soudainement qu’elle pointait sur la Russie ses batteries de missiles de haute précision et de longue portée, pour la première fois depuis la guerre froide.
Il est clair que ces élites mondialistes sont incapables de voir ou de comprendre le «vrai pouvoir» du président élu Trump. Elles refusent de vivre dans le monde réel, qu’elles pensent, à tort, contrôler. Leur plus grande crainte de Trump vient de sa capacité à «dire la vérité aux puissants», comme en témoigne sa campagne électorale, durant laquelle il a fustigé les bellicistes, les traitant, à plusieurs reprises, de menteurs et de monstres trompeurs.

Pour empêcher le président élu Trump de prendre le pouvoir, ces monstres mondialistes occidentaux cherchent non seulement à provoquer la troisième guerre mondiale, mais ils ont aussi lancé la "Révolution pourpre" d’Hillary Clinton, dirigée par son principal partisan George Soros. Les actions de cet individu contre les États-Unis sont une trahison pure et simple, car il a déchaîné son armée de mercenaires contre le peuple américain. Les grands médias qu’il contrôle ont délibérément dissimulé  son rôle néfaste.
Un seul exemple (parmi tant d’autres) des armées mercenaires louées par Soros, et qui se sont déchaînées contre le peuple américain, s'est produit dimanche à Chicago, où des milliers de manifestants-mercenaires, payés par Soros, ont été transportés vers d'autres régions de l'Amérique pour semer le chaos et la confusion

Ceci nous rappelle exactement les « manifestations spontanée
s » qui avaient eu lieu en Tunisie durant le funeste « Printemps arabe » de 2011, durant lesquelles des milliers de jeunes costauds, habillés quasiment à l’identique (mêmes jeans, mêmes chaussures, ..), parlant un sabir incompréhensible des Tunisiens, manifestaient à Tunis en saccageant tout sur leur passage, devant une police absente ou spectatrice. Quelques heures après, les mêmes énergumènes, manifestement des mercenaires, sont transportés dans des bus, vers d’autres villes comme Nabeul, Sousse, Kairouan etc. Le manège de cette « révolution » mondialiste continua jusqu’au départ du président élu Ben Ali, et son remplacement par l’agent des mondialistes sataniques occidentaux. Qui était cet agent ? Tout simplement, le gourou des Frères Musulmans, Rached Ghannouchi, qui coulait, depuis des années, des jours tranquilles de milliardaire à Londres, protégé par ses employeurs, la CIA et le MI6. Depuis lors, la Tunisie se clochardise de jour en jour, pendant que les Islamistes s’enrichissent de plus en plus en pillant le pays, et en vendant, pour une poignée de dollars, les meilleures sociétés nationales aux mondialistes, représentés dans le pays par leurs valets arabes : le Qatar et l’Arabie. Le même schéma a été exécuté en Égypte, mais ce pays a l’avantage de disposer d’une véritable armée nationale, qui veille sur le pays, et qui a mis fin à cette triste et ruineuse mascarade de « printemps arabe ». La Syrie, de son côté, s’est avérée un os encore plus coriace, puisqu’après cinq années de guerre d’extermination, et près de 400.000 morts, la Syrie n’est pas tombée. Poutine et Assad y sont pour beaucoup.

Notons, pour finir, que le scientifique russo-américain, Peter Turchin (professeur à l'Université du Connecticut) a développé  le modèle statistique de 2012 montrant qu'il faut trois conditions sociales en place peu avant toutes les épidémies majeures de violence sociale:
-       Une augmentation de la population des élites;
-       Une diminution du niveau de vie des masses;
-       Des niveaux énormes d'endettement de l'État.
Tout ce qui reste à voir est : qui va gagner du peuple américain, représenté par Trump, ou des mondialistes sataniques représentés par les Clinton.


Poutine et Trump discutent de la Syrie et des relations américano-russes

Le président russe Vladimir Poutine et le président élu américain Donald Trump ont discuté du développement des liens entre les deux pays et de la lutte contre le terrorisme lors de leur première conversation téléphonique.
Au cours de l'appel téléphonique, les deux dirigeants ont discuté de la Syrie et ont convenu d'améliorer et de développer les relations bilatérales, a déclaré le Kremlin dans un communiqué publié lundi.
Ils ont convenu qu'ils partagent une opinion commune pour «unir les efforts dans la lutte contre l'ennemi commun numéro un - le terrorisme international et l'extrémisme» et ont également discuté des moyens de régler le conflit en Syrie.
"Poutine et Trump ont accordé une attention particulière à l'importance d'établir une base stable pour les relations bilatérales en développant les relations commerciales et économiques entre les deux pays et en travaillant à une "coopération constructive", a déclaré le Kremlin.
Le président et le président élu ont convenu de rester en contact par téléphone et ont discuté de l'idée de se rencontrer en personne.
L'année prochaine, la Russie et les États-Unis célébreront la 210 ème année de leurs relations diplomatiques, ce qui pourrait les inciter à "inverser vers une coopération pragmatique et mutuellement bénéfique qui satisfera les intérêts des deux pays, à promouvoir la stabilité et la sécurité dans le monde".
Le président du Parlement russe, Vyacheslav Volodin, a déclaré dimanche à la chaîne NTV que Poutine et Trump partagent en commun des points de vue sur un large éventail de sujets qui pourraient "changer radicalement la situation" dans les relations américano-russes.
Il a noté que le président sortant Barack Obama avait ignoré les initiatives de la Russie et a délibérément «aggravé les tensions, contribuant ainsi à l'animosité croissante» entre les deux pays, alors que Trump pourrait adopter une attitude très différente envers la Russie.
"Si Trump réalise ses promesses, il va radicalement changer la situation. Nous avons seulement vu Trump comme un candidat, mais nous devons encore voir quel [genre de] président, il sera ", a déclaré le président de la Douma.


Note

[1] Traductions de trump : (1) Atout (asset, trump); (2) carte maîtresse (master card, ace, trump) ; (3) Trompette (trumpet, trumpeter, trump, trumpet player)

Hannibal GENSERIC
Sources : 
 
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