vendredi 16 décembre 2016

Tunistan/ChariaGate. Si vous voulez épouser une fillette, violez-la.

En Tunistan, ex Tunisie,  comme dans beaucoup de pays musulmans, les violeurs et les pédophiles sont à la fête. La loi les oblige à épouser la gamine qu'ils viennent de violer, même si celle-ce n'est ni consentante ni pubère.  C'est paraît-il la charia qui l'exige. De Rabat à Islamabad, en passant par Alger,  Tunis, Tripoli, Le Caire, etc., le sort  des gamines est aux mains des pédophiles. Si la PizzaGate [1] constitue un méga scandale aux USA, dans les pays islamiques, la PizzaGate est la norme
Maintenant, il suffit au pédophile islamique de guetter sa proie devant les écoles et les collèges, enlever et violer celles qui lui plaisent. Mais attention : la loi est très sévère : il ne doit pas violer plus de quatre fillettes. 
Quant aux organisations Internationales de défense des drois humains, il ne faut pas trop y compter. Lorsque vous avez l'Arabie Saoudite élue comme défenseur des droits de l'homme de l'ONU, vous avez élu les promoteurs du viol et de l'esclavage comme défenseurs des droits des femmes. Les miracles du pétrodollars sont incommensurables, non seulement à Tunis ou à la Mecque, mais à New-York aussi.

Tunisie : une loi sur le mariage des mineures qui fâche



Colère et consternation ce mercredi devant le Parlement tunisien à Tunis, la capitale. Des dizaines de contestataires y ont exprimé leur désaccord, exigeant la révision d’une loi qui ne laisse pas indifférent dans le pays : celle-ci permet à un homme d‘échapper à des poursuites pour des relations sexuelles avec une mineure, en épousant sa victime.
Les mécontents ne sont pas passés par quatre chemins pour crier leur colère. “A bas l’article 227 bis”, “Loi rétrograde”, “Révisez l’article de la honte”, scandaient-ils. Composés majoritairement de femmes, les détracteurs de cette loi ont fait pendant des heures le pied de grue devant l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
La veille déjà, soit le mardi dernier, un appel à manifester avait été lancé. Cela, suite à la décision du tribunal de première instance du Kef (nord-ouest du pays) d’autoriser le mariage d’une fille de 13 ans avec un proche de 20 ans. Ce dernier, faut-il le préciser, a violé la fille à plusiers reprises et elle tombée enceinte.
Feriecha Fedine, membre de l’organisation du rassemblement : “la loi 227bis, qui donne le droit au violeur d’épouser la victime, et dans ce cas là, il n’y aura pas de poursuite judiciaire (contre l’agresseur). On est là parce que cette loi est inhumaine, et va à l’encontre de la Constitution tunisienne.”
On veut, en particulier, que cette loi 227bis soit abrogée, par rapport au viol et au fait de forcer les filles à se marier avec le violeur”, renchérit Zahra, manifestante.
L’affaire a enflammé les réseaux sociaux. Aussi, plusieurs organisations crient au viol de la fille de 13 ans, estimant par la même occasion que l’“agresseur” de 20 ans échappe de fait aux poursuites judiciaires, étant donné la loi adoptée. 

L’article 227 bis, loi scélérate

Résultat de recherche d'images pour "Prophète gamine"En Tunisie, l’article 227 bis du Code pénal condamne à six ans de prison tout individu qui a “fait subir sans violence l’acte sexuel à un enfant de sexe féminin âgé de moins de 15 ans accomplis”.
Et si la victime est un bébé de  1 an ou 2 ? le violeur l'épouse ? Bizarre, cette loi scélérate.

Mais là où les choses fâchent, c’est que ce même article (227 bis) ajoute que “le mariage du coupable avec la victime (…) arrête les poursuites”.
Aïda, âgée de 52 ans, est toute retournée par cette loi : “cette loi doit être révisée ! C’est honteux pour la Tunisie de laisser un article aussi rétrograde et injuste qui permet le viol des enfants. Et je dis bien viol, parce qu’il ne faut pas parler de consentement quant il s’agit des enfants ! “
Sur certaines banderoles de manifestants, l’on pouvait lire “Il l’a violée une fois, la loi lui a permis de la violer chaque nuit”, ou encore “La perpétuité pour le viol d’une mineure et pas le mariage”.
Face à cette vague de colère, le porte-parole du parquet de Kef a fait savoir que le procureur général du tribunal s‘était constitué partie civile, exigeant l’annulation pure et simple de la décision judiciaire qui a autorisé ce mariage entre le jeune homme de 20 ans et la mineure de 13 ans.
“On attend la décision du président du tribunal pour que la partie civile puisse réclamer un procès”, dans le cas notamment où la famille de la jeune fille continuerait de soutenir un tel mariage, a aussi mentionné le porte-parole du parquet de Kef.
La Tunisie est considérée comme un modèle en matière de respect des droits de la femme, dans le monde arabe. Et pourtant, les femmes y sont victimes de plusieurs discriminations.
Dans ce pays, un projet de loi rédigé contre les violences à l’encontre des femmes et élaboré en 2014, reste toujours en attente d‘être examiné par les parlementaires.
Le chemin pour l‘émancipation des Tunisiennes (et des femmes musulmanes en général) est encore long.





La Tunisie s'inspire de la terrifiante théologie wahhabite du viol 



Lorsqu’ils violent leurs esclaves  les combattants de l’État islamique assurent « se rapprocher de Dieu ».

Des 21 témoignages recueillis par le journal américain New York Times de femmes et jeunes filles récemment échappées de l’État islamique, ressortent des pratiques sexuelles communes – ils prient avant et après avoir violé des captives, affirment que cela les rapproche de Dieu, ignorent le bas âge des fillettes –, autant de similarités qui prouvent, s’il fallait, l’institutionnalisation du viol par le groupe wahhabite. Ce lavage de cerveau hors du commun était déjà palpable avec les témoignages des premières captives rescapées ou les revendications publiées des combattants eux-mêmes qui codifient leurs sévices et les justifient par la « loi islamique ». « Les seules qui n’ont pas été violées » parmi celles interrogées « sont celles qui étaient déjà enceintes au moment où elles ont été capturées, ou celle ménopausées », note l’article. 

Aujourd’hui, le viol est devenu  un outil très convaincant de recrutement pour attirer les hommes des sociétés musulmanes. Les victimes sont toujours majoritairement des jeunes femmes capturées . Emmenées par bus sur leurs territoires, elles ont ensuite été vendues comme du bétail, contrats à l’appui, à des combattants. 
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[1]  Les preuves PIZZAGATE que vous ne verrez JAMAIS dans les médias traditionnels
Le scandale pédophile de PizzaGate comme dernière étape de la décadence politique de l'Occident

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Hannibal GENSERIC