lundi 27 février 2017

Fukushima. Les algues rouges détruisent tout dans l'Océan Pacifique



Un article de recherche réellement alarmant écrit récemment par des scientifiques russes de haut niveau, du Ministère fédéral de l'Hydrométéorologie et de la surveillance environnementale (ROSGIDROMET) avertit que toute la région de l'océan Pacifique (qui représente un tiers de la surface de la Terre) est en danger d’être  submergée par deux espèces marines d'algues rouges tueuses.
Selon whatdoesitmean.com, la  croissance exponentielle de ces algues rouges a été «accélérée» en raison d'une «atmosphère intérieure à le planète» jamais connue auparavant, qui a été libérée  à la suite du désastre de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi du 11 mars 2011 au Japon. Si cette catastrophe n’est pas atténuée, cette masse d'eau qu’est l’Océan Pacifique, se transformera en "rouge sang", tuant tout ce qui s'y trouve et le rendant non navigable. 
Les  chercheurs de ROSGIDROMET sont les spécialistes de la Fédération en hydrométéorologie [branche de la météorologie et de l'hydrologie qui étudie le transfert de l'eau et de l'énergie entre la surface terrestre et la basse atmosphère] dont le centre principal d'étude est ce que l'on appelle les «rivières atmosphériques», qui sont  comme des couloirs étroits d'humidité concentrée dans l'atmosphère, et qui ont typiquement plusieurs milliers de kilomètres de long et quelques centaines de kilomètres de large.
Imagerie de la vapeur d'eau sur le Pacifique
oriental prise depuis le satellite GOES 11,
montrant une large rivière atmosphérique
au-dessus de la Californie en décembre 2010.
Des recherches antérieures de ROSGIDROMET, ont été faites dans le domaine du guidage et du contrôle de ces «rivières atmosphériques» dans le but de provoquer des pluies sur certains territoires souffrant de la sécheresse (Par exemple, ensemencement de nuages, manipulation du temps).
En 2011, peu de temps après la catastrophe nucléaire japonaise à Fukushima, les chercheurs de ROSGIDROMET ont eu accès aux données militaires russes des satellites Luch, relatives à la région océanique du Pacifique, afin de suivre et surveiller la propagation aéroportée des rayonnements, et en particulier, comment ce rayonnement pourrait affecter «les rivières atmosphériques».
Le 31 janvier, cependant, les données satellitaires reçues par les chercheurs de ROSGIDROMENT ont commencé à fournir des concentrations anormalement élevées de soufre radioactif émanant de Fukushima. Ce qui a été suivi deux jours plus tard, soit le 2 février, par un rapport des Japonais déclarant que deux de leurs robots "protégés" contre le rayonnement avaient été détruits. Et encore plus préoccupant, ils ont découvert un trou mystérieux de 2 mètres de diamètre à l'intérieur du réseau métallique au fond du récipient de confinement dans le réacteur N ° 2 de cette centrale nucléaire.
Bien que ces découvertes de soufre radioactif anormalement élevées émanant de Fukushima fussent de lourdes préoccupations pour les chercheurs scientifiques de ROSGIDROMENT, leur découverte de la semaine du 23 février a transformé préoccupations en alarmes, car les nouvelles mesures ont dépassé l’imaginable. Cependant, les autorités japonaises minimisent la chose, en admettant  qu'un incendie mystérieux a éclaté dans cette centrale nucléaire paralysée, sans donner d'autres informations à ce sujet.
En décrivant les niveaux de soufre radioactif émis de Fukushima et commençant à faire le tour du monde, les scientifiques de ROSCIDROMENT ne pouvaient l'expliquer qu’en disant que «les portes de l'enfer se sont ouvertes», car aucune littérature scientifique moderne n'a jamais théorisé sur ces énormes niveaux de soufre présentes dans les parties les plus profondes de la Terre. Ce qui a mené l’un d’eux à suggérer qu'un «syndrome chinois» s’est produit. Le syndrome chinois est l’hypothèse de la conséquence la plus grave d'une fusion du cœur d'un réacteur nucléaire, dans laquelle les éléments combustibles en fusion du cœur percent les barrières qui le confinent et s'enfoncent dans la terre. Donc, les matières nucléaires de Fukishima auraient fondu pour atteindre un ancien dépôt de «soufre atmosphérique» jamais connu auparavant.
Les dangers de ces niveaux catastrophiques de soufre radioactif rejeté dans l'atmosphère, viennent de la nature aéroportée des algues.  Cette espèce d'algues marines rouges ont été découvertes au Japon, en 2014, et sont appelées "Congracilaria Babae". Elles sont extrêmement dangereuses car, lorsqu'elles sont exposées à un rayonnement, elles ont une croissance explosive , et comme toutes les autres espèces d'algues marines, elles prospèrent sur le soufre.
Pire encore, en 2010, une découverte a été faite montrant qu'une espèce marine d'algues rouges appelée "Plocamiocolax Puvinata" avait perdu un gène clé qui l'empêchait de se reproduire rapidement, et cela a été découvert aussi dans les espèces d'algues rouges appelées «Plocamium Pacificum».
Cette dernière algue rouge, intertidale et sous-marée, se trouve tout au long des côtes occidentales de l'Amérique du Nord dans la zone intertidale moyenne à basse et à des profondeurs de 40 mètres. Ce qui veut dire que, à mesure qu'elle pousse et se répand, elle détruit les niveaux d'oxygène et tue tout sur son chemin, tout en restant cachée. Ses effets commencent à se faire sentir. En 2015, on a constaté l'effondrement de l’industrie de la pêche dans cette région,  en raison des morts de masse. On a constaté aussi beaucoup d'autres anomalies étranges.
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Mais les plus grandes craintes des chercheurs de ROSCIDROMENT viennent de la combinaison possible des espèces d'algues rouges japonaises "Congracilaria Babae" avec leurs jumelles (ADN frères) de la côte ouest nord-américaine «Plocamium Pacificum». Si cela se produisait, une invasion catastrophique d'algues rouges se produirait transformant toutes les eaux qu'elle toucherait en zones de mort «rouge sang», surtout que les «rivières atmosphériques» de l'Océan Pacifique sont inondées de quantités massives de soufre radioactif, non seulement au Japon, mais aussi dans les zones intérieures des terres où ces «rivières atmosphériques» coulent et précipitent sous forme de pluie et de neige. 
Hannibal GENSERIC