samedi 4 janvier 2014

France : Mythes sémites pour gogos Goys


«Le jour où moi, juif, je serai traité de con, je saurai que c’est la fin de l’antisémitisme» Pierre Dac
En 2014, le ministre français de l’Intérieur, devenu ministre de la propagande et du désordre, met sur pied une circulaire, mettant l’humour au service exclusif du sionisme. En agissant ainsi, Manual Valls, met en pratique une ineptie raciste explicitée par Yann Moix : « L’Humour appartient exclusivement aux Juifs ». Membre du comité d'honneur de l'Institut des études lévinassiennes (fondé à Jérusalem par BHL et Alain Finkielkraut), Yann Moix déclare sur RCJ (Radio de la communauté juive), « l'humour est juif tandis que l'ironie est chrétienne. » Pourquoi? D'après lui, l'ironie consiste à se moquer des autres, tandis que l'humour est basé sur l'autodérision. "Je suis juif car j'ai de l'humour, j'ai de l'humour car je suis juif". Vingt sept ans plus tôt, en 1986, l'humoriste goy (non juif) Pierre Desproges avait formulé une remarque adéquate -et inimaginable dans le contexte actuel- pour rétorquer à l'ineptie raciste de Yann Moix: "Je suis assommé, fatigué par la prétention qu'ont certains juifs de détenir la clé de l'humour. Ils nous gonflent.  Alors, là, vraiment, je les emmerde.". 

Le même Yann Moix, a stigmatisé la population française d'origine maghrébine, en déclarant sur Canal+, le 31 décembre : "un Arabe, c'est fait pour voler". Malgré son racisme militant (ou bien grâce à ce racisme),  Il a obtenu le prix Renaudot 2013. Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, insulter les Arabes, c'est de l'humour juif.

Deux poids deux mesures

Lorsque Éric Zemmour, chouchou de l’extrême droite, parle des "délinquants qui sont arabes et noirs", le seul à lui répondre a été Dieudonné « Le problème de Zemmour c’est qu’il n’y a personne en face pour lui dire (…) quand il dit que les noirs les arabes peuplent les prisons... Je dis oui pour les délits mineurs. Mais les gros escrocs de la planète sont tous des juifs. Les Madoff, tout ça…. Zemmour, tu ne crois pas que c’est à eux qu’il faut d’abord s’en prendre avant de s’en prendre à ceux qui volent les miettes ? ». Et voilà que le 25 mai 2012, le journal Challenges, qu’on peut difficilement qualifier d’antisémite, sort un article intitulé : Menace sur le CAC 40 : les nouveaux escrocs pêchent au gros. Il y est question de  la Jewish connection. « Dans les années 1970, les frères Zemmour, ces pieds-noirs venus d’Algérie  … étaient devenus les caïds du trafic de drogue et du proxénétisme à Paris. Aujourd’hui, ces spécialistes excellent dans les arnaques financières, opérant entre Paris, Hong-kong et Tel-Aviv. Une note de la Direction centrale de la police judiciaire détaille que « trois pays apparaissent régulièrement dans ces escroqueries : Israël où des groupes criminels se sont spécialisés, la France comme pays où sont ciblées les entreprises, la Chine comme lieu de destination première des virements, avant réorientation vers Israël »». De même, Bernie Madoff est cet ancien maître-nageur, qui, pistonné par le lobby juif, devient le patron du Nasdaq (la Bourse américaine spécialisée dans les firmes liées aux nouvelles technologies), puis créateur d'une société d'investissement qui a floué ses clients pour un montant de 25 à 50 milliards de dollars.
Les banques spoliées par Madoff

Dieudonné a dit vrai : les petits voleurs arabes ou noirs, ne sont que des ridicules amateurs comparés aux pros de la mafia juive. Ce que les petits délinquants volent en un siècle, n'atteint pas ce que les grands délinquants volent en un jour. Seulement, lorsque l'Union Européenne ou le Gouvernement français "renfloue" les banques et les sociétés du CAC40 pillées par Madoff et ses semblables, le goy français de base n'y voit que du feu. Il ne sait pas que c'est avec ses impôts qu'on va rembourser les banques et les sociétés spoliées. Il n'osera pas protester, de peur de se faire accuser d'antisémitisme.
Les déclarations d’Éric Zemmour rappellent celle d’un député-maire « socialiste » d’Évry, un certain Manuel Valls, déclarant en juin 2011: "Belle image de la ville d'Évry... Tu me mets quelques whites, quelques blancos.. ». Il y avait, à son goût, trop de noirs et de basanés. Le même Manuel Valls déclamait aussi, sur la radio Judaïca Strasbourg qui l’interviewait. « être éternellement lié à l'État d'Israël . Ce dont personne ne doute aujourd’hui. A-t-il jamais déclamé son attachement éternel à la France (ou à l’Espagne, pays de ses ancêtres) ? Ministre d’Etat, n’y-a-t-il pas là comme un conflit d'intérêt à être payé par un Etat pour servir un autre Etat?
Lorsque des théâtres ont programmé en 2011 le scandaleux spectacle Golgota Picnic qui avait un contenu notoirement antichrétien, Civitas avait organisé une impressionnante mobilisation. Pas une représentation ne s’est tenue sans une manifestation devant le théâtre concerné. Et pour le spectacle Sur le concept du visage du fils de Dieu, des catholiques outragés ont fréquemment fait irruption sur la scène pour interrompre les profanations et les blasphèmes. Pourtant, ni à l’UMP, au pouvoir à l’époque, ni au PS, alors dans l’opposition au niveau national mais souvent au pouvoir au niveau local, il ne fut question d’interdire ces spectacles en raison du risque de trouble à l’ordre public. Curieusement, offenser les chrétiens ou les musulmans (comme le fait notamment Charlie Hebdo), ça ce serait de l’humour. Comment ne pas penser à cette photographie de Bernard Henri-Lévy s’esclaffant un Charlie Hebdo en mains, justement le numéro qui avait provoqué un tollé chez les musulmans.
Claude Sarraute, s'adressant aux Arméniens de France, leur dit : « regardez, nous les juifs, ce qu’on a réussi à faire avec notre Shoah ! On l’a vendu partout, on est couverts d’argent, on est vraiment plus forts que vous ! » . Elle ajoute :  « Ces cons-là (les Arméniens), ils ont vraiment eu la même chose, et tout ce qu’ils trouvent à faire, c’est s’asseoir par terre dans la rue! ».  Elle reprend tout simplement ce qu'une ministre israélienne a déclaré (voir image et vidéo ci-dessous). 

Lorsqu'on ne sait pas qui contrôle les médias en France, on trouve que le traitement médiatique est y étrange sur ces sujets. Voilà une personne qui annonce le Shoah Business, persiste et signe, mais bon, elle n'est ni noire, ni arabe, ni goy, alors ça va…pas d'accusation d'antisémitisme.

Lorsque Roman Polanski viole et sodomise une gamine de 13 ans et lorsque la justice américaine réclame -sans trop insister- son extradition, la Suisse le chasse, la France le protège. On le chouchoute, on l'invite sur les plateaux de télé. Il faut dire que, selon le Talmud, violer ou sodomiser un enfant goy (garçon ou fille) est licite : la morale des "sionistes blancs" est sauve. Les gogos goys n'y ont vu rien de choquant !! 
Des Sionistes français déclarent : " Quand Dieudonné et ses amis s'attaquent aux juifs, au signifié Juif, à la légitimité de l'État d'Israël, c'est au statut de l'homme libre, acteur de sa vie, maître de son destin qu'ils s'attaquent." Parmi eux, Pascal Brukner (qui, en mars 2003, a été favorable à la guerre de George W. Bush contre l’Irak, et qui participera, trois ans plus tard, à la création de la revue  néoconservatrice française Le Meilleur des mondes)  déclare : "...Il ne peut y avoir de racisme anti-Blanc, nous expliquent des voix autorisées, sinon par réaction puisque le Blanc est seul coupable d'avoir inventé la hiérarchie des races et d'avoir répandu le malheur partout où il s'est installé. Or, ce racisme existe, il nous crève les yeux, et c'est l'antisémitisme, présent au Maghreb, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans nos banlieues, et réactivant la vieille haine antijuive de notre extrême droite."  Les néoconservateurs de P. Brukner ont toujours apporté un soutien inconditionnel au Likoud, le parti de l’extrême-droite israélienne. Paradoxe apparent de cette mouvance : une alliance entre ultra-sionistes venus de la gauche trotskiste, fondamentalistes chrétiens de type évangéliste, et fondamentalistes musulmans de type Saoudien ou Qatari, qui au nom de l’intérêt économique de leur propre portefeuille, ont uni leurs efforts pour piller le monde et asservir les peuples au nom d’un Nouvel Ordre Mondial.
Israël est le seul membre non européen au CERN
(Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire)
l'Europe aide le sionisme dans le domaine nucléaire

Le lapsus révélateur

À 0:12 du 10/01/2014 de cet extrait de son interview sur BFMTV, Arno Klarsfeld, le soldat de Tsahal nommé le 27 octobre 2010 au Conseil d’État français, la plus haute
autorité judiciaire juridiction administrative du pays, nomination confirmée par sa fiche wikipédia : « On tourne la Shoah en dérision ? Bon… les consignes d’Is… les… les, euh… les éléments sont requis pour que les autorités préfectorales prennent une décision »
Les consignes de qui, Arno ? Quel est donc ce pays dont le nom commence par « Is… »  ?

Résumons :
  1. Les sionistes blancs sont les défenseurs de la liberté incarnée par eux-mêmes, contre ces racistes que sont (1) les noirs d’Afrique subsaharienne, (2) les immigrés "arabes" des banlieues françaises, et (3) les basanés du  Maghreb et du Moyen-Orient,
  2. Les sionistes ont le droit de ne pas aimer les Noirs et les Arabes, mais personne n’a le droit de ne pas aimer les "Sionistes Blancs".
  3. Les vrais Sémites sont les Sionistes Blancs. Tous les autres sont des goys racistes, dont les pires sont les Arabes et les Noirs. 
  4. L'humour n'appartient qu'aux Juifs.
  5. Seuls les Juifs ont le droit de parler de  "shoah business" ou de délinquants juifs.

Mais qui sont donc les Sémites ?

En linguistique, les Sémites sont l'ensemble des peuples utilisant ou ayant utilisé les langues sémitiques. En ethnologie, ce sont les peuples (actuels ou anciens) parlant une langue du groupe sémite, au Moyen-Orient, dans la Corne de l'Afrique (Érythrée et Éthiopie), dans la péninsule Arabique, dans le Croissant fertile et en Afrique du Nord. Les langues sémitiques contemporaines les plus parlées sont l'arabe (450 millions de locuteurs, soit 91%), l'amharique (27 millions, soit 5%), l'hébreu (8 millions, soit 2%), le tigrinya (6,75 millions, soit 1%). Les Sémites sont donc, à plus de 90% Arabes, à plus de 6% Noirs, et à moins de 2% Juifs. Logiquement, un antisémite est donc quelqu'un qui n’aime ni les Arabes ni les Noirs, comme Manuel Valls ou Eric Zemmour. Ils sont donc antisémites. Il tombent sous le coup de la loi. On devrait leur interdire de se produire en public et sur les chaînes de TV….

Les "Juifs-blancs" sont-ils des Sémites ?

Nous n'allons pas nous étendre sur le cas des juifs séfarades qui représentent moins de 10% des juifs.
Nous allons nous intéresser tout particulièrement aux juifs ashkénazes, instigateurs et fers de lance du sionisme. Or, ces juifs ashkénazes, qui représentent plus de 90% des 13 millions de juifs actuels dans le monde, prétendent descendre des Hébreux de Palestine.  Nous allons montrer que c’est faux : historiquement, démographiquement, linguistiquement et génétiquement.
I-  Aspects historiques et démographiques
- Selon l’hypothèse dite « rhénane », les Ashkénazes descendent des juifs sémites qui ont fui la Palestine après la conquête musulmane en 638 après J.C. Toujours selon cette hypothèse, ils se sont installés dans le sud de l’Europe, puis, à la fin du Moyen Âge, environ 50.000 d’entre eux se sont déplacés de la Rhénanie, en Allemagne, vers l’Europe de l’Est. Cependant, cette hypothèse est invraisemblable, car un tel scénario est impossible en termes démographiques. Cela supposerait un bond de la population des juifs d’Europe orientale de 50.000 individus au 15e siècle à environ huit millions au début du 20e siècle. Le taux de natalité aurait été ainsi 10 fois supérieur à celui de la population locale non-juive. Et cela malgré les difficultés économiques, les maladies, les guerres et les pogroms qui ont ravagé les communautés juives.
- Selon l’hypothèse dite khazare, les juifs d’Europe descendent des Khazars, un mélange de clans turcs qui se sont installés dans le Caucase dans les premiers siècles avant J.C. et qui, influencés par les missionnaires juifs de Palestine, se sont convertis au judaïsme au 8e siècle. Cette hypothèse sur l’origine khazare de la majorité de la diaspora juive a connu un regain d'intérêt avec la publication du livre Comment le peuple juif fut inventé de l'historien israélien Shlomo Sand qui défend la thèse selon laquelle la diaspora juive serait le fruit de conversions successives. Un autre historien, le français Marc Ferro, reprend l'idée d'une origine khazare et la présente comme l'un des « tabous de l'histoire ». Il explique que bien « des juifs croient ferme, comme les Juifs d'Europe centrale, qu'ils sont tous originaires de Palestine : ceux-ci ont oublié qu'une grande partie d'entre eux sont des convertis de l'époque du royaume khazar ». L'écrivain Marek Halter a popularisé cette thèse dans un roman, Le vent des Khazars.

- Enfin, la dernière hypothèse, celle qui sera confirmée par les analyses génétiques, confirme une quasi évidence : les ashkénazes sont des Européens convertis au judaïsme. Ils n'ont pas d'ascendants Hébreux comme ils le clament partout depuis l'avènement du mouvement sioniste.

II-  Aspect linguistique

Les Juifs d'Europe orientale se désignent dans tous les pays où ils vivent comme étant des « Yiddish », plutôt que comme des Russes, des Polonais, des Roumains, des Hongrois etc. La « langue yiddish », qu'elle provienne initialement de la langue khazare ou non, avait un vocabulaire assez limité. Elle s'est accrue de nombreux mots nouveaux, provenant des langues européennes : allemand, slavon (vieux russe), lituanien, letton, etc. C'est à l'allemand que les Yiddishs prirent le plus grand nombre de mots. Il n'y a que peu de mots  hébreux en yiddish. Le fait que le yiddish puisse s'écrire avec l'alphabet hébreu ne veut pas dire que ces deux langues soient voisines. Ces deux langues sont aussi étrangères l’une à l’autre que le sont par exemple le suédois et le turc, qui utilisent pourtant le même alphabet latin.
III-  Aspect génétique (*)
Selon une étude récente, publiée le 8 octobre 2013 dans le journal Nature communications, la majorité des Juifs ashkénazes descendrait d'ancêtres européens.

Les chercheurs de l’Université d’Huddersfield ont utilisé l’archéogénétique pour résoudre la controverse sur l’origine des Juifs Ashkénazes pour savoir s’ils avaient migré de la Palestine au premier siècle après J.C. ou si leurs ancêtres étaient des Européens qui s’étaient convertis au Judaïsme.
Ils ont étudié l'ADN mitochondrial (L'ADN mitochondrial est exclusivement transmis par la mère) afin de reconstituer la filiation génétique des Juifs ashkénazes. L'ADN mitochondrial reflète la lignée maternelle alors que l'ADN transmis par le chromosome Y est un reflet de la lignée paternelle. Rappelons ici que l'’identité juive est due à l’ascendance matrilinéaire, ce qui signifie que c’est la mère qui détermine ou non l’identité juive de l’enfant. Le Judaïsme se conforme au concept du « Mater semper certa est »… c’est-à-dire à l’idée que « la mère est absolument sûre ».. .. mais pas le père. 






En étudiant les génomes mitochondriaux de plus de 3.500 personnes en provenance d’Europe, du Proche-Orient, du Caucase,  y compris les Juifs ashkénazes, les chercheurs ont découvert que ces derniers proviennent d'Europe, il y a plus de 10.000 ans ! Ils ont constaté que quatre fondateurs ont été responsables de 40 pour cent de l’ADN mitochondrial Ashkénaze, et plus de 80 pour cent des lignées maternelles des Juifs ashkénazes pourraient être attribuées à l’Europe.  

Cette analyse de l’ADN démontre, génétiquement que la plupart des Juifs Ashkénazes étaient au moins à moitié Européens, démystifiant les hypothèses, généralement propagées, qu’ils étaient de la région du Moyen-Orient et que leurs ancêtres étaient les Hébreux. 

Leur émigration récente d'Europe vers la Palestine n'est qu'une banale colonisation. Cette colonisation juive de la Palestine  s'apparente à la colonisation, par les Anglais, de l'Amérique du Nord, de l'Australie ou de la Nouvelle Zélande, durant lesquelles des colons "civilisés" (souvent des repris de justice) venus d'Europe ont massacré sans vergogne les autochtones pour s'accaparer leurs terres et leur pays. Dans chaque  cas, les massacreurs invoquent Dieu pour justifier leurs méfaits. Il en voit des vertes et des pas mûres, le pauvre bon Dieu.

M'Bala M'Bala :  "bouc émissaire"

Comme le dit la journaliste anglaise Diana Johnstone "L’industrie française est en train de disparaître, avec des usines qui ferment les unes après les autres. L’imposition des citoyens à faibles revenus est à la hausse, pour sauver les banques et l’euro. La désillusion vis-à-vis de l’Union européenne est de plus en plus forte. Les règles de l’UE empêchent toute action sérieuse pour améliorer l’état de l’économie française. Pendant ce temps, les politiciens de gauche et de droite continuent leurs discours creux, émaillés de clichés sur les « droits de l’homme » —en grande partie comme prétexte pour aller à la guerre au Moyen-Orient ou pour des diatribes contre la Chine et la Russie—. Le pourcentage d’opinions positives sur le président Hollande a dégringolé à 15 %. Pourtant les gens votent, avec pour résultat les mêmes politiques, décidées par l’UE. Pourquoi alors la classe dirigeante concentre-t-elle sa vindicte sur « l’humoriste le plus talentueux de sa génération" (ainsi que le reconnaissent ses confrères, même quand ils le dénoncent) ? La réponse en bref est probablement que la popularité montante de Dieudonné auprès de la jeunesse illustre un accroissement de l’écart entre générations. Dieudonné fait rire aux dépens de l’ensemble de l’establishment politique. Ce qui a eu pour conséquences un torrent d’injures et de démarches pour interdire ses spectacles, le ruiner financièrement et même le faire aller en prison. "

 Guy Béart disait 
Le premier qui dit se trouve toujours sacrifié
D´abord on le tue
Puis on s´habitue
On lui coupe la langue on le dit fou à lier
Après sans problèmes
Parle le deuxième
Le premier qui dit la vérité
Il doit être exécuté.

Jean SOLER agrégé de lettres classiques déconstruit les mythes et les légendes juifs avec la patience de l’horloger et l’efficacité d’un dynamiteur de montagne. 

Jean Soler démonte six idées reçues


Première idée reçue : la Bible dépasse en ancienneté les anciens textes fondateurs. Faux : les philosophes ne s’inspirent pas de l’Ancien Testament, car "la Bible est contemporaine, pour l’essentiel, de l’enseignement de Socrate et des œuvres de Platon. Remaniée et complétée plus tard, elle est même, en grande partie, une œuvre de l’époque hellénistique".

Deuxième idée reçue : la Bible a fait connaître à l’humanité le dieu unique. Faux : ce livre enseigne le polythéisme et le dieu juif est l’un d’entre les dieux du panthéon, dieu national qui annonce qu’il sera fidèle à son peuple seulement si son peuple lui est fidèle. La religion juive n’est pas monothéiste mais monolâtrique : elle enseigne la préférence d’un dieu parmi d’autres. Le monothéisme juif est une construction qui date du Ve siècle avant l’ère commune.
Troisième idée reçue : la Bible a donné le premier exemple d’une morale universelle. Faux : ses prescriptions ne regardent pas l’universel et l’humanité, mais la tribu, le local, dont il faut assurer l’être, la durée et la cohésion. L’amour du prochain ne concerne que le semblable, l’Hébreu, pour les autres, la mise à mort est même conseillée.
Quatrième idée reçue : les prophètes ont promu la forme spiritualisée du culte hébraïque. Faux : pour les hommes de la Bible, il n’y a pas de vie après la mort. L’idée de résurrection est empruntée aux Perses, elle apparaît au IIe siècle avant J.-C. Celle de l’immortalité de l’âme, absente de la Bible hébraïque, est empruntée aux Grecs.
Cinquième idée reçue : le Cantique des cantiques célèbre l’amour réciproque de Dieu et du peuple juif. Faux : ce texte est tout simplement un poème d’amour. S’il devait être allégorique, ce serait le seul livre crypté de la Bible.

Sixième idée reçue : Dieu a confié aux juifs une mission au service de l’humanité. Faux : Dieu a célébré la pureté de ce peuple et interdit les mélanges, d’où les interdits alimentaires, les lois et les règles, l’interdiction des mélanges de sang, donc des mariages mixtes. Ce dieu a voulu la ségrégation, il a interdit la possibilité de la conversion, l’idée de traité avec les nations étrangères, et il ne vise pas autre chose que la constitution identitaire d’un peuple. Ce dieu est ethnique, national, identitaire.

Que faut-il en conclure ?

Le mythe racial-ethnique de l’origine hébraïque de tous les juifs du monde ne tient donc pas. Par contre, les habitants actuels de Palestine (dits Arabes ou Palestiniens, chrétiens et musulmans), sont très probablement les descendants directs du “peuple hébreu” de l’antiquité, de ceux qui restèrent sur place, c’est-à-dire la grande majorité de la population d’alors, et dont une partie se  convertit au christianisme et plus tard, une autre partie, à l’Islam.
Les recherches ci-dessus montrent que les Juifs ashkénazes ne peuvent légitimement se réclamer d'ancêtres hébreux de Palestine datant de l'ère biblique. Les recherches révèlent qu’ils ne furent jamais des "Sémites". Ces recherches rejettent de manière irréfutable la croyance généralement admise selon laquelle les Juifs d'Europe ou d'Amérique sont « le peuple élu » et qu’Israël est leur "terre promise". 
Elles démontrent que cette thèse est l’une des plus fantastiques falsifications de l'histoire
Le mot « antisémite », si galvaudé en France, ne sert qu'un seul objectif : c'est le mot clef des procès en diffamation contre tout opposant aux sinistres desseins des sionistes. Lorsque ces faux sémites sentent qu'un quidam va s'opposer à l'un de leurs objectifs, ils le prennent immédiatement pour cible et le discréditent en lui collant systématiquement l'étiquette d’«antisémite». 

Nous laissons le dernier mot  à Jacob Cohen, écrivain juif antisioniste, franco-marocain :
Le « deux poids, deux mesures » est flagrant en France. « Combien de dérapages verbaux voulus, anti-Noirs et anti-Arabes y a-t-il eu » s’interroge Jacob Cohen, avant d’ajouter que ce sont les humiliations, les bavures, les harcèlements que subissent ces minorités qu’il faudrait combattre.
« Le recours à l’antisémitisme et à la Shoah est toujours en rapport avec Israël. Il évite à Israël d’être l’objet de critiques virulentes, d’être un pays qui est entrain de se délégitimer pour contrer toutes tentative de boycott. La communauté juive n’est absolument pas en danger en France. Comparée aux Musulmans, elle est ultra-protégée. Toute cette mascarade de la Shoah a pour but de corriger l’image d’Israël. Il y a donc toujours, en arrière-pensée, de défendre Israël. »

 (*)   http://www.bulletins-electroniques.com/Resources/_clear.gifM.D. Costa et al. "A substantial prehistoric European ancestry amongst Ashkenazi maternal lineages", Nature Communications, doi:10.1038/ncomms3543, 2013 
- http://redirectix.bulletins-electroniques.com/8fKvj. - Kate Yandell, "Genetic Roots of the Ashkenazi Jews", The Scientist, 8 octobre 2013 - http://redirectix.bulletins-electroniques.com/gu0rt
- Nicholas Wade, "Genes Suggest European Women at Root of Ashkenazi Family Tree", The New York Times, 8 octobre 2013 
- http://redirectix.bulletins-electroniques.com/PIwjS - Dr Nicolas Panayotis, Volontaire international chercheur à l'Institut Weizmann

A substantial prehistoric European ancestry amongst Ashkenazi maternal lineages :
http://www.nature.com/ncomms/2013/1…


Hannibal GENSERIC