Hitler ne voulait pas exterminer les juifs, seulement les expulser, a
déclaré le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, mardi. C'est
le mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini, qui lui aurait soufflé l'idée de la
Solution finale. Le délire de Natanyahu est une preuve supplémentaire que la Shoah (extermination de 6 millions de juifs européens dans des chambres à gaz) est un mythe à but lucratif et politique qui permet à Israël de gruger financièrement l'Europe et les États-Unis, tout en les soumettant au féroce Lobby Israélien. Des documents de la Croix Rouge Internationale, qui étaient sous scellés, et qui ont été ouverts récemment, en apportent une nouvelle preuve [1].
Devant l'assemblée du 37e Congrès sioniste, mardi à Jérusalem, Benyamin Netanyahu a suscité la controverse en faisant porter une part de la responsabilité de la Shoah
à un dignitaire religieux musulman, Haj Amin al-Husseini. A l'origine,
"Hitler ne voulait pas exterminer les juifs, seulement les expulser",
a-t-il déclaré. C'est le mufti de Jérusalem qui a soufflé à Hitler
l'idée d'exterminer les juifs plutôt que de les chasser d'Allemagne,
assure Netanyahu. "'Si vous les expulsez, ils viendront tous ici [en
Palestine]. 'Alors que devrais-je faire d'eux?' demanda Hitler. Il
répondit : 'Brûlez-les'", raconte le Premier ministre israélien,
évoquant une rencontre entre les deux hommes à Berlin.
Un rapport Croix-Rouge internationale confirme que l'Holocauste de six millions de juifs est un canular
Le document
de la CROIX-ROUGE INTERNATIONALE (CRI) confirme que 271
MILLE juifs (et non 6 millions)
sont morts en camps de concentration.
Cette
information est parue dans le Journal irlandais Kilkenny. Voici le lien vers
l'article original. Des documents officiels de la CROIX-ROUGE INTERNATIONALE,
qui étaient sous scellés, ont été récemment libres de publication, et ont
apporté les précisions à ce propos. Depuis la
seconde guerre mondiale, ces documents étaient sous scellés et gardés à
Arolsen, en Allemagne. Ces documents officiels du CRI révèlent que le nombre de
morts réel dans les camps de concentration est de 271301.
Ci-dessus est l'image numérisée d'un document officiel de la Croix-Rouge internationale, prouvant
que le soi-disant «Holocauste» de 6 millions
de juifs est tout simplement faux. Les Juifs du monde entier ont
intentionnellement exagéré et perpétuellement menti dans le but d'obtenir des
avantages financiers, politiques, et émotionnels pour eux-mêmes et pour Israël. Pendant des
années, les gens à travers le monde – et en «Occident» en particulier - ont été
matraqués que "six millions de Juifs ont été systématiquement assassinés"
par les Allemands dans les « camps de concentration » au cours de la 2ème
Guerre mondiale. En Occident, les milliers de personnes honnêtes qui contestent
cette affirmation ont été (et sont toujours) vicieusement taxées de haineux
antisémites, sont été emprisonnées et subissent de lourdes amendes.
Les
contribuables d'Allemagne, de Suisse, d'Autriche, de Lettonie, de Pologne et
d'autres pays ont dû payer plusieurs millions de dollars prélevés sur leurs
salaires pour être versés aux "survivants de l'holocauste" et à leurs
descendants pour un crime qui n'a pas eu lieu. Les contribuables
des Etats-Unis d'Amérique paient, chaque année, des milliards $ en soutien
direct, indirect et militaire à l'Etat d'Israël. Un excellent racket. Cette fraude
intentionnelle et criminelle est si massive qu'elle est presque incompréhensible.
Les chiffres
de la Croix-Rouge et du gouvernement est-allemand sur le nombre total de décès dans
les camps de concentration sont respectivement de 272.000 et 282 000. Ces chiffres
incluent les homosexuels, les communistes, les gitans, les assassins, les
pédophiles, etc. Le chiffre de 6 millions est un nombre kabbalistique, un
chiffre magique qui est apparu dans des papiers journaux dès le début des
années 1900, bien avant la deuxième guerre mondiale.
AUCUNE MENTION des chambres à gaz
Un des
aspects les plus importants du rapport du CICR est qu'il clarifie la véritable
cause de ces décès dans les camps vers la fin de la
guerre.
Le rapport
dit: "dans l'état chaotique de l'Allemagne après l'invasion au cours
des derniers mois de la guerre, les camps n’ont pas DU TOUT reçu de vivres, et les
famines ont provoqué de plus en plus de victimes. "
Alarmé lui-même
par cette situation, le gouvernement allemand en a informé le CICR le 1er
Février, 1945 ... En Mars 1945, les discussions entre le président du CICR et
le général de la SS Kaltenbrunner ont donné des résultats encore plus décisifs.
De toute évidence, les autorités allemandes ont pris grand soin pour soulager
la situation désastreuse dans la mesure où elles ont pu. La Croix-Rouge est très
explicite en affirmant que l'approvisionnement alimentaire a cessé à cette
époque à cause des bombardements alliés
des voies et des moyens de transport allemands. Dans les intérêts des Juifs
internés, les Allemands avaient protesté le 15 Mars, 1944 contre «la guerre
aérienne barbare des Alliés» ( Inter Armet Caritns, p. 78).
Le 2 Octobre
1944, le CICR avait averti l'Office allemand des Affaires étrangères de
l'effondrement imminent du système de transport allemand, déclarant que les
conditions de famine pour les personnes dans toute l'Allemagne sont devenues
inévitables.
En abordant
ce Rapport complet en trois volumes, il est important de souligner que les délégués de la Croix-Rouge Internationale n’ont trouvé
aucune preuve de «chambres à gaz». L'édition originale 1946 n'a même
pas parlé de «d’extermination» ou «de camps de la mort», mais après l'impact
émotionnel des procès de Nuremberg, la Croix-Rouge se crut obligée d'introduire
dans son Rapport de 1948 plusieurs références, d’ailleurs très superficielles,
à des «camps de la mort» (Vol . 1 p. 641) et à des «camps d'extermination»
(vol. I p. 645).
Cependant,
aucun moyen d'extermination n'est indiqué.
Dans toutes
ses 1.600 pages, le rapport en trois volumes ne mentionne même pas une chose comme une "chambre à gaz". Il reconnaît que les Juifs, comme
beaucoup d'autres prisonniers en temps de guerre, ont subi les rigueurs et les
privations, mais «son silence complet sur les « gazages » est une réfutation
évidente de la« légende de l'Holocauste ».
TOUS LES JUIFS n’ont pas été internés
Le Volume
III du Rapport du CICR, chapitre 3 (I. population civile juive) traite de "l'aide
accordée à la section juive de la population libre" et dans ce chapitre,
il est tout à fait évident que tous des Juifs d'Europe n’étaient placés dans
des camps d'internement mais sont restés, sous certaines restrictions, comme
faisant partie de la population civile libre.
Ceci est en
contradiction directe avec la «rigueur» du prétendu «programme
d'extermination".
Non
seulement un grand nombre des trois millions de juifs européens ont évité
l'internement, mais l'émigration des Juifs avait continué tout au long de la
guerre, généralement par le biais de la Hongrie, de la Roumanie et de la
Turquie. Ironiquement, l'émigration juive des territoires occupés par
l'Allemagne a également été facilitée par le Reich.
Le Point et le Huffington Post assimilent Mélenchon à Hitler
Dans une lettre ouverte aux éditions Fayard, Jean-Luc Mélenchon a récemment expliqué pourquoi il s’opposait à une réédition de Mein Kampf,
le livre d’Adolf Hitler. Pour lui, « éditer, c’est diffuser ». Il
précise : « Même si l’affaire est bonne, perdez de l’argent plutôt que
l’honneur de refuser de concourir si peu que ce soit aux crimes que
notre époque contient de nouveau ».
Cette prise de position a été
abondamment relayée dans la presse. Mais deux articles ont attiré mon
attention par leur choix iconographique plus que douteux. Celui du Huffington Post et celui du Point.
En effet, les photographies que ces deux journaux ont choisi pour
illustrer leurs articles assimilent directement ou indirectement
Jean-Luc Mélenchon à Adolf Hitler.
Au Huffington Post, Jean-Luc Mélenchon et
Adolf Hitler sont placés côte à côte dans une posture physique tout à
fait similaire. Jugez plutôt :
Bien sûr, certains ne voudront pas voir
ce qu’il y a de scandaleux dans ce procédé. Qu’ils imaginent leur propre
photo à la place de celle de Mélenchon pour les aider à réfléchir. Qu’ils imaginent le tollé
qu’aurait provoqué la juxtaposition d’une photographie de Netanyahou à celle d’Adolf Hitler.
Mais c’est chez Le Point que le
choix d’illustration est le plus pernicieux. La photo est un classique
de la diabolisation de Jean-Luc Mélenchon. On voit le député européen le
doigt tendu, la bouche ouverte, dans une position vindicative. Ici, pas
besoin d’ajouter la photo d’Hitler à côté : le lien fonctionne sur la
mécanique de la suggestion.
Dans une analyse intitulée « Mélenchon malpoli, Mélenchon nazi », publiée en 2013 à propos d’une édition du magazine du Monde où la diabolisation de Jean-Luc Mélenchon par son assimilation à Hitler atteignait un paroxysme, André Gunthert, enseignant à l’EHESS en cultures visuelles, écrivait :
Malpoli = nazi ? Les journalistes sont plus ou moins conscients de l’outrance de l’amalgame et de la perfidie de l’argument. La preuve en est qu’à quelques exceptions près, ils recourent à des méthodes détournées, sur le mode de l’allusion ou de la caricature, pour suggérer ce message. (…) Dans l’image, les iconographes cherchent des photos correspondant au stéréotype tribunicien, poing levé, gueule ouverte, face grimaçante, où l’orateur prend les traits du Führer ou du Duce.
Malheureusement, et en dépit du bon
sens, l’assimilation de Jean-Luc Mélenchon à Hitler dans la presse n’est
pas une nouveauté. Tous ceux qui dénoncent les crimes sionistes en sont victimes. Tous ceux qui dénoncent un criminel ou un truand juif (qui, pour échapper à la justice, va se planquer en Israël) est un nazi. C'est aussi cela, la puissance du Lobby qui gouverne le "Monde civilisé".
Hannibal GENSERIC
[1] http://renegadetribune.com/international-red-cross-report-confirms-holocaust-six-million-jews-hoax/
VOIR AUSSI :
La collaboration entre Nazisme et Sionisme (II)
NOTE aux lecteurs
VOIR AUSSI :
La collaboration entre Nazisme et Sionisme (II)
NOTE aux lecteurs
le site http://vilistia.org/archives/11761 a copié mon article sans en citer la source. Autant je suis content que l'on reprenne mes publications, autant je serais tout aussi content que l'on indique la provenance. C'est, en quelque sorte, avoir l'esprit sportif.