L’année dernière dans le blog Arrêt sur Info, la personnalité 2014 élue était Vladimir Poutine.
Cette année, encore plus que la précédente, le rôle de cet « Homme
d’Etat » remarquable, a été si capital dans la préservation de la paix
dans le monde, son évolution géopolitique inéluctable vers l’édification
d’une « multipolarité », malgré toutes les provocations à son encontre
et à celle de son pays, que le choix devrait lui revenir !…
Mais, pour préserver le « principe démocratique » de ne pas élire
deux fois de suite la même personnalité, nous plaçons « Hors Concours »
cet homme éminent qui marquera l’Histoire. Ce sera donc, à défaut, une
autre personnalité.
Mais aussi méritante qu’exceptionnelle sur d’autres plans, bien que
moins connue de l’opinion publique internationale, surtout française.
Une femme.
Pour laquelle j’éprouve une profonde admiration. Et, je n’ai pas pour habitude de gaspiller mon admiration…
La personnalité de l’Année 2015 élue, à l’unanimité de mon unique voix, dans une assourdissante « standing ovation » de mes deux mains et deux pieds, est :
Madame Asma al-Assad
Oui, l’épouse du président de la Syrie : Bachar al-Assad.
Evidemment. Vociférations des tâcherons fanatisés du « lavage de cerveaux » : « Sacrilège !… Blasphème !… »
Dans la propagande occidentale, celle de l’oligarchie de notre pays étant l’une des plus acharnées, le président syrien Bachar al-Assad est diabolisé en épouvantail : un dictateur sans foi ni loi. Au point de lui dénier « le droit de vivre sur cette terre »…
Car seuls, dans la région, « ont le droit de vivre » et prospérer les tyrans des pétromonarchies intronisés par nos castes au pouvoir. Normal, nos oligarques y confortent, moyennant et monnayant « leur protection » comme dans les films de gangsters, l’inépuisable fontaine de jouvence de leurs niveaux de vie et richesses personnelles. Et, l’avenir de leurs progénitures…
L’épouse du président syrien n’a pas été épargnée par ce déluge de délires. Au contraire. Elle a été la première visée.
Je séjournais à Londres, quand avait commencé une campagne de diffamation contre elle, dans les journaux britanniques. Jusque dans un quotidien, parmi les plus modérés dans l’hystérie atlantiste, The Guardian. La faisant passer pour une Messaline, mégalomane et dépensière. Ivre de luxe, de faste et d’argent jeté par les fenêtres.
Aux antipodes de ce qu’elle est, dans la vie courante.
A l’opposé des courtisanes, corrompues et putassières qui, en Europe, se marchant sur les escarpins, encombrent couloirs, moquettes, canapés et strapontins ministériels de nos royautés d’opérette, républiques et autres démocraties moralisatrices, agonisant sous les Lois et Décrets d’Exception, au nom de la protection des Droits de l’Homme… Réduites, dans la suppression de leurs Libertés Publiques, à de pitoyables colonies bananières à la botte des milliardaires dépravés et sanguinaires du Congrès des USA, de l’Arabie Saoudite et du Qatar.
Dans la propagande occidentale, celle de l’oligarchie de notre pays étant l’une des plus acharnées, le président syrien Bachar al-Assad est diabolisé en épouvantail : un dictateur sans foi ni loi. Au point de lui dénier « le droit de vivre sur cette terre »…
Car seuls, dans la région, « ont le droit de vivre » et prospérer les tyrans des pétromonarchies intronisés par nos castes au pouvoir. Normal, nos oligarques y confortent, moyennant et monnayant « leur protection » comme dans les films de gangsters, l’inépuisable fontaine de jouvence de leurs niveaux de vie et richesses personnelles. Et, l’avenir de leurs progénitures…
L’épouse du président syrien n’a pas été épargnée par ce déluge de délires. Au contraire. Elle a été la première visée.
Je séjournais à Londres, quand avait commencé une campagne de diffamation contre elle, dans les journaux britanniques. Jusque dans un quotidien, parmi les plus modérés dans l’hystérie atlantiste, The Guardian. La faisant passer pour une Messaline, mégalomane et dépensière. Ivre de luxe, de faste et d’argent jeté par les fenêtres.
Aux antipodes de ce qu’elle est, dans la vie courante.
A l’opposé des courtisanes, corrompues et putassières qui, en Europe, se marchant sur les escarpins, encombrent couloirs, moquettes, canapés et strapontins ministériels de nos royautés d’opérette, républiques et autres démocraties moralisatrices, agonisant sous les Lois et Décrets d’Exception, au nom de la protection des Droits de l’Homme… Réduites, dans la suppression de leurs Libertés Publiques, à de pitoyables colonies bananières à la botte des milliardaires dépravés et sanguinaires du Congrès des USA, de l’Arabie Saoudite et du Qatar.
Les clichés de cette campagne apparurent simultanément, tels des
popcorns sautant dans une casserole, dans tous les pays de l’OTAN. De
février à mars 2012, ce fut la crue, un torrent de boues.
J’avais réagi dans un billet du 20 novembre 2013, sur ce formatage de l’opinion publique. (1)
Vous ne vous en souvenez peut-être pas, mais c’est à ce moment-là que furent édités à grands roulements de tambour dans chaque pays membre, sous la signature de journaleux autoproclamés « historiens-biographes » par nos médias, des livres sur les « femmes de dictateurs« … Tous écrits par des femmes du « terroir », (française en France, britannique en Grande-Bretagne, danoise au Danemark, etc.) pour donner crédibilité, peut-être, ou consistance, à la bouillie concoctée dans les chaudrons de la propagande.
Asma al-Assad, en un tour de main de ces cuistots de la désinformation, se retrouvant avec son époux, par assimilation ou amalgame, carbonisée dans un tourne broche à la Jérôme Bosch, en horrible créature sortant de l’Enfer de ce peintre néerlandais du XVI° siècle aussi génial qu’halluciné. Associée, entre autres à : Hitler !…
Pas de demi-mesure…
Un exemple ?… La célèbre journaliste américaine Joan Juliet Buck allant jusqu’à conclure un article dans l’hebdomadaire Newsweek, en juillet 2012, qu’en fait Asma al-Assad était bien (2) :
« The « First Lady of Hell » » : « La Première Dame de l’Enfer »…
Alors qu’un an auparavant, reçue comme une sœur au sein même de la famille présidentielle, pendant une longue période, avec le sens de l’hospitalité que l’Orient réserve à ses hôtes, cette journaliste avait écrit un article particulièrement admiratif à l’égard d’Asma al-Assad. Publié dans le magasine Vogue, en mars 2011, intitulé :
« Une Rose dans le Désert ». (3)
Mais, entretemps, la roue avait tourné : le saccage de la Syrie avait été décidé. Joan Juliet Buck, contrainte de renier ce qu’elle avait déclaré un an avant, dans une humiliante soumission. Et Vogue, après avoir licencié sa collaboratrice depuis de nombreuses années, obligé d’effacer cet article de son site !… (4)
De l’éloge à la calomnie : admirons la souplesse d’échine de ces professionnels de l’information…
Liberté d’Opinion… Liberté d’Expression…
J’avais réagi dans un billet du 20 novembre 2013, sur ce formatage de l’opinion publique. (1)
Vous ne vous en souvenez peut-être pas, mais c’est à ce moment-là que furent édités à grands roulements de tambour dans chaque pays membre, sous la signature de journaleux autoproclamés « historiens-biographes » par nos médias, des livres sur les « femmes de dictateurs« … Tous écrits par des femmes du « terroir », (française en France, britannique en Grande-Bretagne, danoise au Danemark, etc.) pour donner crédibilité, peut-être, ou consistance, à la bouillie concoctée dans les chaudrons de la propagande.
Asma al-Assad, en un tour de main de ces cuistots de la désinformation, se retrouvant avec son époux, par assimilation ou amalgame, carbonisée dans un tourne broche à la Jérôme Bosch, en horrible créature sortant de l’Enfer de ce peintre néerlandais du XVI° siècle aussi génial qu’halluciné. Associée, entre autres à : Hitler !…
Pas de demi-mesure…
Un exemple ?… La célèbre journaliste américaine Joan Juliet Buck allant jusqu’à conclure un article dans l’hebdomadaire Newsweek, en juillet 2012, qu’en fait Asma al-Assad était bien (2) :
« The « First Lady of Hell » » : « La Première Dame de l’Enfer »…
Alors qu’un an auparavant, reçue comme une sœur au sein même de la famille présidentielle, pendant une longue période, avec le sens de l’hospitalité que l’Orient réserve à ses hôtes, cette journaliste avait écrit un article particulièrement admiratif à l’égard d’Asma al-Assad. Publié dans le magasine Vogue, en mars 2011, intitulé :
« Une Rose dans le Désert ». (3)
Mais, entretemps, la roue avait tourné : le saccage de la Syrie avait été décidé. Joan Juliet Buck, contrainte de renier ce qu’elle avait déclaré un an avant, dans une humiliante soumission. Et Vogue, après avoir licencié sa collaboratrice depuis de nombreuses années, obligé d’effacer cet article de son site !… (4)
De l’éloge à la calomnie : admirons la souplesse d’échine de ces professionnels de l’information…
Liberté d’Opinion… Liberté d’Expression…
Les « observateurs éveillés » comprirent alors, au vu de ces
torchons de calomnies, que le « top chrono » de la destruction de la
Syrie venait d’être donné.
La Lybie enfin plongée dans le chaos après l’Irak et la partition du Soudan, le plan Oded Yinon énonçant son démembrement dès 1982 démarrait officiellement.
Avec pour première cible, son symbole le plus aimé et respecté : l’épouse du président de la Syrie.
C’était aussi un signe, une menace, cyniquement adressés au président Syrien : il ne serait pas épargné ; ni lui, ni sa femme, ni ses enfants. Lui promettant à mots « à la Fabius« , ou en langage mafieux, à peine couverts, le même sort sadique infligé à Kadhafi et sa famille.
La Lybie enfin plongée dans le chaos après l’Irak et la partition du Soudan, le plan Oded Yinon énonçant son démembrement dès 1982 démarrait officiellement.
Avec pour première cible, son symbole le plus aimé et respecté : l’épouse du président de la Syrie.
C’était aussi un signe, une menace, cyniquement adressés au président Syrien : il ne serait pas épargné ; ni lui, ni sa femme, ni ses enfants. Lui promettant à mots « à la Fabius« , ou en langage mafieux, à peine couverts, le même sort sadique infligé à Kadhafi et sa famille.
Dès le début des agressions armées contre le pays, la propagande
entretenait la rumeur que le président et son épouse s’étaient réfugiés à
Moscou, afin de provoquer la panique dans le pays. Ce qui était faux.
Les Syriens le savaient. Ils restaient avec leurs trois enfants, unis,
solidaires : au milieu du peuple. Sous les bombes des millices et
mercenaires de l’OTAN.
Nos propagandistes ont pour fonction de présenter les désirs, ou les délires, de nos oligarchies pour la réalité. Qui n’est pas celle des nations qu’elles saccagent, pillent et souhaitent asservir.
Menaces, intimidations, n’ont aucune prise sur des personnalités de la trempe d’Asma El Assad.
C’est ignorer, en premier lieu, sa solide éducation familiale. Son brillant parcours professionnel, aussi, qui n’est pas celui d’une gratteuse de guitare sans voix, avant de devenir l’épouse d’un homme qui n’était qu’un étudiant en ophtalmologie quand elle l’a connu à Londres.
Londres, sa ville de naissance. Elle y travaillait dans la banque d’investissements internationaux, après avoir terminé ses études en sciences informatiques et littérature française. Se spécialisant dans les entreprises du secteur de la pharmacie et des biotechnologies.
Ses parents, sa famille, sont originaires de Homs. Dans les ravages actuels, une des villes martyrs de la Syrie.
De confession sunnite, son mari est un Alawite (ou Nusayrî), mouvement religieux rattaché au chiisme. Preuve vivante que la propagande sur la haine entre sunnites et chiites est totalement fausse. Mais argument inépuisable des idéologues de la prédation occidentale au Moyen-Orient, pour y instaurer le chaos et le piller dans « La Bonne Conscience« . (5)
Comme tous les patriotes syriens, elle fait front et se dépense sans compter.
Pour donner l’exemple de la solidarité, et entretenir l’espoir. Réconfortant les orphelins et les veuves, ou les mères éplorées de soldats, de cadres, ingénieurs, enseignants, personnels qualifiés du pays, particulièrement visés par les tueurs occidentaux…
Nos propagandistes ont pour fonction de présenter les désirs, ou les délires, de nos oligarchies pour la réalité. Qui n’est pas celle des nations qu’elles saccagent, pillent et souhaitent asservir.
Menaces, intimidations, n’ont aucune prise sur des personnalités de la trempe d’Asma El Assad.
C’est ignorer, en premier lieu, sa solide éducation familiale. Son brillant parcours professionnel, aussi, qui n’est pas celui d’une gratteuse de guitare sans voix, avant de devenir l’épouse d’un homme qui n’était qu’un étudiant en ophtalmologie quand elle l’a connu à Londres.
Londres, sa ville de naissance. Elle y travaillait dans la banque d’investissements internationaux, après avoir terminé ses études en sciences informatiques et littérature française. Se spécialisant dans les entreprises du secteur de la pharmacie et des biotechnologies.
Ses parents, sa famille, sont originaires de Homs. Dans les ravages actuels, une des villes martyrs de la Syrie.
De confession sunnite, son mari est un Alawite (ou Nusayrî), mouvement religieux rattaché au chiisme. Preuve vivante que la propagande sur la haine entre sunnites et chiites est totalement fausse. Mais argument inépuisable des idéologues de la prédation occidentale au Moyen-Orient, pour y instaurer le chaos et le piller dans « La Bonne Conscience« . (5)
Comme tous les patriotes syriens, elle fait front et se dépense sans compter.
Pour donner l’exemple de la solidarité, et entretenir l’espoir. Réconfortant les orphelins et les veuves, ou les mères éplorées de soldats, de cadres, ingénieurs, enseignants, personnels qualifiés du pays, particulièrement visés par les tueurs occidentaux…
Les dévastations infligées par les pays occidentaux
ont provoqué jusqu’à présent 300.000 morts, des milliers d’orphelins et
de veuves. Des blessés et traumatisés par centaines de milliers, au
minimum : un million. Plus de 10 millions de personnes déplacées ou sans
abris…
Pillage des ressources pétrolières… Pillages des usines, des milliers ont été démontées et expédiées par camions en pièces détachées pour être vendues en Turquie… Pillage des inestimables trésors historiques…
Destructions, ruines, déprédations, tueries… Immenses, colossales…
Et, ce n’est pas terminé…
Pillage des ressources pétrolières… Pillages des usines, des milliers ont été démontées et expédiées par camions en pièces détachées pour être vendues en Turquie… Pillage des inestimables trésors historiques…
Destructions, ruines, déprédations, tueries… Immenses, colossales…
Et, ce n’est pas terminé…
Le Stalingrad Syrien : Deir er-Zour
La grande préoccupation d’Asma al-Assad est celle de la scolarisation des enfants, dont tout est fait pour que plusieurs générations ne puissent pas être instruites. Les enfants étant une des cibles privilégiés des guerres coloniales occidentales, afin d’annihiler les résistances des pays à spolier.
Les pays de l’OTAN, sans mandat de l’ONU, ni accord ou invitation du gouvernement légitime, bombardent actuellement le pays, venant soutenir leurs mercenaires en débandade. Aveuglés par leur mégalomanie de vouloir s’emparer de toutes les ressources et du potentiel de la région, des pipelines ou gazoducs actuels et futurs, des espaces aériens, des voies navigables, et des domaines côtiers. Piller, démembrer sont leurs obsessions.
Ils n’y arriveront pas. Tous les rêves coloniaux se briseront en ce siècle.
La Syrie résiste et résistera. Symbole de résistance, elle est devenue le Stalingrad du Moyen-Orient face aux prédateurs occidentaux.
Homs, Alep, Deir er-Zour, en sont de terribles et inoubliables témoignages. La garnison de l’académie et base aérienne de Kweres a résisté pendant près de trois ans, à un siège des mercenaires de l’OTAN. Venant de se libérer victorieusement, ces jours derniers.
L’espoir est là, plus que présent.
La Syrie sera reconstruite, encore plus belle. Les vestiges innombrables, héritages de toutes les religions et civilisations qui l’ont forgée, seront restaurés.
La grande préoccupation d’Asma al-Assad est celle de la scolarisation des enfants, dont tout est fait pour que plusieurs générations ne puissent pas être instruites. Les enfants étant une des cibles privilégiés des guerres coloniales occidentales, afin d’annihiler les résistances des pays à spolier.
Les pays de l’OTAN, sans mandat de l’ONU, ni accord ou invitation du gouvernement légitime, bombardent actuellement le pays, venant soutenir leurs mercenaires en débandade. Aveuglés par leur mégalomanie de vouloir s’emparer de toutes les ressources et du potentiel de la région, des pipelines ou gazoducs actuels et futurs, des espaces aériens, des voies navigables, et des domaines côtiers. Piller, démembrer sont leurs obsessions.
Ils n’y arriveront pas. Tous les rêves coloniaux se briseront en ce siècle.
La Syrie résiste et résistera. Symbole de résistance, elle est devenue le Stalingrad du Moyen-Orient face aux prédateurs occidentaux.
Homs, Alep, Deir er-Zour, en sont de terribles et inoubliables témoignages. La garnison de l’académie et base aérienne de Kweres a résisté pendant près de trois ans, à un siège des mercenaires de l’OTAN. Venant de se libérer victorieusement, ces jours derniers.
L’espoir est là, plus que présent.
La Syrie sera reconstruite, encore plus belle. Les vestiges innombrables, héritages de toutes les religions et civilisations qui l’ont forgée, seront restaurés.
Pour terminer ce billet, je me permettrai un mot en hommage à
cette personnalité exceptionnelle, magnifique symbole, elle aussi, de
cette résistance :
« Madame,
« Vous êtes si lumineuse de générosité, que votre bonté, votre douceur, votre courage, foudroient, même rendus aveugles de leurs carnages impunis pour ne pas le percevoir, les immondes salopards, criminels aussi cyniques que cruels, hypocrites prêcheurs du « Développement Durable » et de « La Démocratie » pour la planète, qui, dans leur délire de dévastation et de prédation de votre Pays, vous calomnient et souhaitent votre disparition…
« Ils le savent. Ils en ragent.
« Face à leur entreprise diabolique, à l’exemple des autres femmes de votre Nation, Vous êtes un des plus solides remparts de l’éternelle Syrie. »
« Madame,
« Vous êtes si lumineuse de générosité, que votre bonté, votre douceur, votre courage, foudroient, même rendus aveugles de leurs carnages impunis pour ne pas le percevoir, les immondes salopards, criminels aussi cyniques que cruels, hypocrites prêcheurs du « Développement Durable » et de « La Démocratie » pour la planète, qui, dans leur délire de dévastation et de prédation de votre Pays, vous calomnient et souhaitent votre disparition…
« Ils le savent. Ils en ragent.
« Face à leur entreprise diabolique, à l’exemple des autres femmes de votre Nation, Vous êtes un des plus solides remparts de l’éternelle Syrie. »
- Georges Stanechy,Syrie : Un Homme d’Etat, 20 novembre 2013, http://stanechy.over-blog.com/2013/11/syrie-un-homme-d-etat.html
- Newsweek-The Daily Beast, “Syria’s Fake First Family” [La Fausse Famille Présidentielle de Syrie], 30 juillet 2012.
- Joan Juliet Buck,A Rose in the Desert, Vogue, Mars 2011. Récupéré après son effacement du site Web deVogue et mis en ligne, en septembre 2013, par Gawker.com avec le lienhttp://gawker.com/asma-al-assad-a-rose-in-the-desert-1265002284
- Paul Farhi,Vogue’s flattering article on Syria’s first Lady is scrubbed from Web, 25 avril 2012,http://articles.washingtonpost.com/2012-04-25/lifestyle/35454509_1_asma-al-assad-bashar-al-assad-syrian-opposition-groups
- Parmi les plus zélés joueurs de castagnettes de cette désinformation, en France, citons les « islamologues » de service :Gilles Kepel, Antoine Sfeir, et tutti quanti…
J’approuve à 1000 pour cent !…. et je rajouterai qu’avant ce massacre, Asma el Assad et son époux avaient, déjà, pour habitude de passer une journée par semaine à l’orphelinat de Damas. Ils déjeunaient avec les orphelins….Qu’elle et son mari n’ont jamais eu de chauffeur ni de garde de corps. Qu’ils se mélangeaient au peuple, fréquentaient les mêmes restaurants. La très belle Asma a également une très belle âme et la plus belle des intelligences : celle du coeur.
Source: http://stanechy.over-blog.com/?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail
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