Une enquête de la justice
californienne a révélé que le prince saoudien Majed ben Abdulaziz
Al-Saoud
sniffait de la cocaïne et se livrait à des journées entières de beuverie
entouré de prostituées et à des actes sadiques sur ses employées
féminines.
Tout
récemment, trois membres du personnel féminin chargées de s'occuper de
la somptueuse villa que possède le prince Majed ben Abdoullah ben
Abdoulaziz Al-Saoud à Beverly Hills en Californie, ont déposé une
plainte contre ce dernier, révélant une vie de débauche totale.
Il s'avère, selon les plaignantes, que le Prince mènerait une vie
complétement trash, à mille lieux des traditions islamiques saoudiennes
particulièrement puritaines : il passerait en effet la plupart de son
temps à se saouler et sniffer de la cocaïne, entouré de prostituées
qu'il ferait venir chez lui pour satisfaire son appétit sexuel
insatiable ainsi que celui de ses collaborateurs.
Le prince aurait même des relations homosexuelles avec certains de
ces derniers, alors qu'en Arabie saoudite, de telles pratiques sont
passibles de la prison, voire de la mort dans certains cas.
Dans la dernière plainte, dont a eu connaissance le Los Angeles Times,
une des membres du personnel de Majed ben Abdoullah ben
Abdoulaziz-Al-Saoud affirme que ce dernier s'est accroupi au-dessus
d'elle, se frottant contre son corps de façon obscène et violente, avant
de lui donner des coups au genou, lui aggripant violemment le bras en y
laissant de sévères contusions et des traces d'ongles, ainsi que sur
ses cuisses.
Les plaignantes expliquent également avoir vu la petite amie du
prince ainsi qu'une autre femme, en larmes, tremblantes et couvertes de
bleus et de sang. «A croire qu'une minute de plus et il les aurait
tuées», ont-elles dit dans leur plainte.
Toujours selon ces désormais ex-employées, le prince ne se fatiguait
même plus à se livrer à quelque séduction que ce soit : s'étant un jour
épris d'une jeune femme, il est venu la voir en lui disant tout
simplement «Demain on va faire la fête avec toi et tu vas faire tout ce
que je veux ou alors je te tuerai».
La révélation récente de ces documents judiciaires intervient peu de
temps après que les procureurs du comté de Los Angeles se
soient résignés à faire suite aux accusations pour agression sexuelle
qui pesaient sur le prince Al-Saoud depuis le mois dernier après
sa première arrestation.
Al-Saoud avait été arrêté sur les accusations d'une première employée
qui affirmait que l'homme l'avait forcé à avoir des rapports sexuels
avec lui en lui disant «je suis le prince, je fais ce que je veux»,
selon la police. Il s'est ensuite avéré qu'il y avait plusieurs victimes
et finalement, quelques jours plus tard, les trois femmes l'ont
poursuivi au civil.
Les réclamations des plaignantes n'ont pas été spécifiées, mais il
est déjà certain que le prince sera poursuivi pour «discrimination
sexuelle», «maltraitance», «violence envers employés», «coups et
blessures et «actes de sadisme ayant entraîné une profonde détresse émotionnelle».
Le prince saoudien avait été libéré il y a un mois après avoir versé
une caution de 300.000 dollars à la prison dans laquelle il était
retenu. L’ambassade d'Arabie saoudite à Washington n’avait pas commenté
les faits.
Naturellement, les millions de pèlerins à la Mecque qui dilapident leurs économies de toute une vie pour que les princes saoudiens les dépensent comme ci-dessus, ne voudront jamais croire qu'ils sont les dindons de la farce...saoudienne.
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