samedi 26 mars 2016

Attentats Bruxelles. Faux drapeau Turco-Israélien


Nous avons l'histoire confirmée par plusieurs sources, le kamikaze de l'aéroport de Bruxelles, Bakraoui, a été recruté comme djihadiste ISIS/Daech en Syrie, grâce à son passeport belge. Dans Raqqah, où il y a à un centre de formation de kamikazes, il a été pris en mains par les services secrets turcs, puis « officiellement » il a été "arrêté" à la frontière turque puis "déporté" aux Pays-Bas. Arrivée à Amsterdam,
Bakraoui, comme d'autres terroristes de son acabit, a été pris en mains par les "employés" de la société israélienne ICTS, c'est à dire le Mossad, dès son arrivée à l'aéroport d'Amsterdam, avant d'être tranféré par le Mossad vers Bruxelles.  C'est la même société israélienne, ICTS, qui a fait embarquer d'autres terroristes sur des avions de ligne, aux chaussures piégées, aux sous-vêtements piégés, etc.. 
Turcs et Israéliens font la paire pour détruire le Moyen-Orient et pour monter des attentats sous faux drapeaux chez leurs "alliés" européens et américains. 

[ Introduction.
Bakraoui a été arrêté comme « terroriste connu » par la Turquie, mais il n’a été ni emprisonné, ni remis aux autorités belges, mais il a été "autorisé" à revenir, non pas en Belgique, mais aux Pays-Bas, sur un vol commercial, en dépit du fait que son dossier pour "terrorisme aggravé" soit bien connu puisqu’il l’a conduit à la fois à son arrestation, puis à sa «déportation», comme Erdogan l’a déclaré dans sa conférence de presse hier.
Ici, nous rencontrons, comme souvent dans pareils cas, « la patte israélienne »
Le premier mensonge flagrant d'Erdogan, parmi tant d’autres, est le suivant. 
La Turquie est signataire non seulement des conventions internationales, mais aussi des accords de sécurité de l'OTAN. Elle doit donc empêcher quiconque présentant un danger de monter à bord d’un avion. Ceci n'est que le début.
Nous avons ici quelque chose qui a été manquée par tout le monde. La Belgique affirme qu'elle n'a pas été correctement informée par la Turquie que Bakraoui a été renvoyé ... ou "DÉPORTÉ". Mais Erdogan a fait lui-même une grosse erreur. Voici pourquoi :
Vous ne pouvez pas mettre un terroriste expulsé sur un vol commercial, en particulier tout seul. C’est grossièrement illégal. Toute personne sur la liste d'interdiction de vol, comme chaque suspect terroriste est censé l’être, ne peut plus jamais prendre un vol commercial de sa vie.
Beaucoup de gens ayant dit des choses qui ont énervé ou déplu à des gens puissants ont été mis sur une liste d’interdiction de vol juste pour les punir, pour en faire un exemple , comme ce fut le cas avec le général Hamid Gul, membre du conseil d’administration de Veterans Today. Mais même si, par de multiples astuces, il obtient à embarquer sur un avion, , une fois que votre passeport a été scanné dans l'ordinateur de la compagnie aérienne, et pendant  que vous êtes en train de voler dans l’avion, votre nom circule à terre à travers toutes les bases de données. Ceci est fait afin de rattraper toute erreur éventuelle faite par les agents .d'embarquement. D’autres «agents spéciaux" vont alors vous attendre à la passerelle de débarquement pour vous escorter dans la salle d'interrogatoire dès que vous arrivez.
Mais s'il est allé à l'aéroport de Schipol comme cela a été déclaré, il est donc arrivé au hub du transport européen du Mossad où toutes sortes de traitement spéciaux sont disponibles pour les terroristes, comme le terroriste à la chaussure piégée, avec un billet aller simple payé en espèces, pas de bagages, et pas de passeport, mais avec une bombe dans ses chaussures et un traitement VIP à bord de l’avion. Est-ce que tout cela vous semble un peu incroyable?
The Magic Carpet Jihadi Express
Le tapis magique
express des terroristes
Et enfin, si , comme le disent les Turcs, un terroriste arrêté a été simplement mis dans un avion vers Amsterdam , contre toutes les conventions de l'OTAN et de l'UE, et personne ne prétend l’avoir su à ce moment-là, combien d'autres fois d’autres expéditions de ce genre «Turkish Express» ont été utilisées dans le passé?
La Turquie aurait-elle pu faire tout cela toute seule, ou y-aurait-il d’autres parties ayant coopéré au niveau de l'atterrissage, comme par exemple, une société de sécurité israélienne ?
Et, naturellement, au niveau de l’embarquement, il a bien fallu que quelqu’un contourne l’enregistrement du nom du terroriste pour que ce nom ne circule pas au travers de toutes les bases de données de surveillance.
Alors, pourquoi personne n'a montré d'intérêt à la façon dont ces djihadistes ont volé  tout ce temps, Peut-être ont-ils fait comme Al Baba et son tapis magique volant ? ... W.Jim Dean]

L'«Insécurité» européenne et  le manque de leadership mis à nu


Publié ... 25 Mars, 2016 -
European "insecurity" is being put on display, including the failure of leadership
Hier, le président turc Erdogan se vantait de l'envoi d'un terroriste kamikaze en Belgique. Selon Erdogan, Bakraoui a été arrêté à l'intérieur de la Turquie, dans la province de Gaziantep comme terroriste.
Plutôt que de mettre en prison Bakraoui, comme Erdogan fait avec ses détracteurs personnels et ses journalistes qui osent dire la vérité, le terroriste a été en quelque sorte «expédié» en Belgique, où il a été identifié comme responsable de la mort de 32 personnes et en blessant 300. Dans une déclaration faite aux journalistes, M. Erdogan, tout en se tenant aux côtés de la visite du président roumain Klaus Iohannis, a déclaré:
    "L'un des assaillants de Bruxelles a été arrêté à Gaziantep, puis déporté. Malgré nos avertissements que cette personne était un combattant terroriste étranger, les autorités belges n’ont pas pu identifier son lien avec le terrorisme "
Cependant, dans un rapport de VT publié le 24 Mars, 2016, les forces kurdes à l'intérieur de la Syrie ont confirmé avoir arrêté un officier des services secrets turques. Ce dernier a reconnu que la Turquie expédiait depuis belle lurette des terroristes comme Bakraoui vers l’Europe., aidée en cela par le syndicat du crime turc.
Plus tard, l’agence d’informations turque a recontacté les journalistes pour leur dire que Bakraoui a peut-être été envoyé aux Pays-Bas, ou peut-être qu’il a été envoyé en Belgique puis qu’il est parti aux Pays-Bas, ils ne sont pas sûrs, mais que le président Erdogan blâmé les deux autorités incompétentes de Belgique et des Pays-Bas pour leur incompétence à prévenir les attaques.
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Selon Erdogan, il avait mis en garde la Belgique ou peut-être les Pays-Bas, qu'il leur envoyait un dangereux terroriste, et donc, soit les deux pays ont échoué à l’écouter, soit tout simplement ils n’ont pas compris la politique turque.
Apparemment, ce partenaire de l'OTAN et ce candidat à l'adhésion à l'UE dispose d'une politique nationale d’envoi de terroristes islamistes en Belgique et, quand ils tuent des dizaines dans leurs attaques, il accuse les victimes de n'être pas au courant de la politique turque.
Hier, le YPG syrien, un groupe kurde luttant en Syrie contre ISIS tout en étant lui-même bombardé par les forces d’Erdogan, a annoncé qu'il avait capturé un officier des services de renseignement turcs au nord de Raqqah, le siège des QG des militaires ISIS en Syrie.
Cet officier, au cours de son interrogatoire, a avoué son rôle dans la planification des attaques et le recrutement de Bruxelles et de la formation des kamikazes, y compris Bakraoui, et ceci a été confirmé plus tard par l'agence israélienne Haaretz.Voir:   Bruxelles. La filière turque confirmée.

http://www.veteranstoday.com/2016/03/25/erdogan-to-belgium-screw-you-we-will-do-it-again/
A lessor known photo of Farouk during Yemen training
Mutallab s'entraînant
avec Al-Qaïda Yémen

L'histoire de Bakraoui nous rappelle deux autres tentatives d'attentats terrosristes qui auraient pu provoquer des centaines de mort, et dans lesquels Israël a joué un rôle central.
1) Mutallab, le terroriste de Noël aux sous-vêtements piégés voulait faire sauter le vol 253 d’Amsterdam à Detroit le 25 décembre 2009. Deux éléments essentiels en ressortent: le premier est que le terroriste n’aurait jamais pu embarquer sans l’assistance d’une personne de type indien (Hindou) qui a apparemment joué de son influence auprès des services de sécurité de l’aéroport d’Amsterdam; le deuxième est qu’un autre dispositif explosif a été décelé à l’arrivée aux USA conduisant à l’interpellation d’un autre individu de type indien. Sachant que la sécurité à Amsterdam incombe à la filliale d’ICTS, une société israélienne, à vous d’en tirer les conclusions…
2) L'affaire Mutallab ressemble aussi à celle d'une autre tentative d'attentat, celle de l'infortuné à la "chaussure piégée" Richard Reid.

Israël au cœur de l'Europe : terrorisme et trafic d'armes

Israël a toujours besoin d’armes étasuniennes – et de pièces détachées, qu'il arrive de détourner, avec les complicités sionistes au sein des armées US. Les armes achetées légalement sont transférées directemement des USA à Israël. Depuis des années, la majeure partie de ce matériel est acheminée jusqu’à Israël par des avions-cargos (Hercules, B-747) qui transitent par Schiphol (Amsterdam). Officiellement il s’agit d’avions civils, mais ils sont traités comme des avions militaires. Légalement il s’agit d’un statut fort différent.
Comme ces armements sont, dans de nombreux cas, très sophistiqués et par conséquent classifiés, ils doivent être protégés au cours de leur transport entre les États-Unis et Israël. C’est la raison pour laquelle les autorités hollandaises acceptèrent qu’Israël dispose d’une zone spéciale isolée (hangar et aire de stationnement) qui est gardée par du personnel israélien.
Ces gardes ne font pas partie d’El Al (la compagne aérienne israélienne). Ils sont membres du Shin Bet, le département du Mossad responsable de la sécurité civile. Les membres du Shin Bet ne font pas que garder les avions militaires. Ils s’occupaient aussi de la sécurité des avions de ligne.
Le crash en 1992 de l’avion-cargo d’El Al sur un immeuble d’habitation situé à Bijlmer dans la banlieue d’Amsterdam nous donne une idée des «armements sophistiqués» et des «pièces détachées» que le Mossad détournait (et continue à détourner) de l’arsenal étasunien via sa plateforme logistique basée sur l’aéroport d’Amsterdam. Des Israéliens sont arrivés sur les lieux du crash pour récupérer des preuves compromettantes (que les victimes et les blessés de Bijlmer aillent au diable ! tout comme les victimes de Bruxelles !). Plus de 1000 habitants et personnes ayant travaillé sur le site du crash ont connu des problèmes respiratoires, neurologiques et moteurs, ainsi qu’une recrudescence de cancers et de malformations congénitales. Une enquête menée en 1998 par des journalistes hollandais a révélé la véritable cargaison de l’avion-cargo:
 Le 30 septembre 1998, quasiment six ans après l’événement, Harm van den Berg et Karel Knip, éditeurs du journal hollandais NRC Handelsblad ont publié les résultats de leur enquête exhaustive sur le crash. Ils avaient obtenu les documents relatifs à la cargaison de ce vol et pour la première fois ont rendu publique sa nature. Le manifeste confirme que l’appareil transportait 400 kg de ballast sous forme d’uranium appauvri, mais aussi 10 tonnes de produits chimiques de toutes sortes dont 10 bidons en plastique d’un volume unitaire de 18.9 litres remplis de diméthyl méthylphosphonate (DMMP), et une moindre quantité d’isopropanol et de fluorure d’hydrogène: trois des quatre précurseurs chimiques du gaz Sarin.
Une fois associés, les produits chimiques trouvés à bord du vol 1862 auraient pu produire 270 kg de sarin – une quantité suffisante pour tuer tous les habitants d’une grande métropole. »
Le 29 janvier 1999, le ministre de la Justice hollandais Vrakking a témoigné au cours d’une audience officielle que le personnel de sécurité d’El Al détaché à Schiphol constituait une branche du Mossad. Il est également apparu que les avions d’El Al ne sont jamais inspectés par les douanes hollandaises ou le Bureau de la sécurité aérienne d’Amsterdam Schiphol.
D’après les journalistes, les autorités hollandaises leur ont confié que les Pays-Bas autorisent les livraisons secrètes d’armement vers Israël via Schiphol depuis les années 50. 
Le Mossad a profité pleinement de cette faille de «l’État dans l’État» au sein de l’aéroport. « Schiphol est devenu une plaque tournante pour le transfert secret d’armements car El Al y jouit d’un statut particulier. Les autorités hollandaises n’ont aucune juridiction sur les activités israéliennes à l’aéroport, » a déclaré Henk van der Belt, membre de l’équipe d’enquête mise en place par les habitants de Bijlmer.
L’un des enquêteurs travaillant pour le compte des survivants de Bijlmermeer a déclaré que Schiphol était devenu, et continue d’être, “une plaque tournante pour les armes secrètes israéliennes”. La question à laquelle il faut répondre est : "BAKRAOUI est-il également une arme secrète israélienne pour la promotion du terrorisme ?"
Étant donné le règne sans partage du Mossad sur son petit « Royaume » au sein d’Amsterdam Schiphol, ajouté au fait que la société israélienne de sécurité ICTS y est responsable des mesures habituelles de sécurité, il est judicieux de se pencher sur quelques autres incidents survenus au cours des dernières années. 
Mais avant le terroriste aux sous-vêtements piégés, il y avait eu le terroriste à la chaussure piégée :
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Shoe Bomber, Richard Reid

avant son embarquement, Reid avait été amené à l’écart par un agent de sécurité d’El Al et identifié comme un terroriste potentiel. Reid avait acheté un aller simple avec de l’argent liquide sans révéler ce qu’il comptait faire en Israël.
Reid tentait de faire exploser sa chaussure sur le vol Paris-Miami. Israël n’avait pas informé les Britanniques, les Étasuniens ou toute autre agence de sécurité de leurs inquiétudes au sujet de Reid
L’entreprise de sécurité qui a autorisé Reid à embarquer sur le vol 63 d’American Airline à l’aéroport Charles de Gaulle est ICTS (International Consultants on Targeted Security). Tous les dirigeants d’ICTS sont des ex-agents de sécurité israéliens, nombre d’entre eux ayant assuré la sécurité au sein d’El Al.
C’est en grande partie ICTS qui a développé les procédures de «profilage» des passagers utilisées à Schiphol et dans d’autres aéroports aux quatre coins de la planète à travers sa filiale ICTS Holland Products BV.
Gardez bien à l’esprit que c’est également ICTS qui assurait une partie de la sécurité au sein de l’aéroport Logan de Boston le 11 septembre et assurait la sécurité pour le réseau de transports collectifs de Londres. Cette entreprise israélienne de sécurité, qui constitue effectivement une façade pour le Mossad, disposait par conséquent d’agents sur place pour superviser ce qu’on peut considérer comme les quatre « attentats les plus célèbres perpétrés par Al-Qaeda » contre des cibles étasuniennes et britanniques.
D’après le récit de l’ex-espion du Mossad Viktor Ostrovsky, la taille de cette organisation est relativement réduite. Mais sa philosophie – régner sur les autres par le biais de la tromperie – est profondément ancrée dans ses entreprises de façade qui incluent au sein de réseaux ramifiés certains des «meilleurs» (les plus toxiques et nuisibles) psychopathes de la planète.
En février 2009 le Boeing d’une compagnie turque s’écrasait pendant son atterrissage à Schiphol. Un autre incident qui a des relents de règlement de compte entre espions, quatre des neuf victimes étaient des «employés étasuniens de Boeing» de retour de Turquie après avoir adapté «une station radar aéroportée sophistiquée» – destinée à être installée dans un Being 737 de l’armée de l’air turque – de la part du Pentagone pour les huiles de l’armée turque.
De même que les psychopathes au sein du gouvernement étasunien, les racistes extrémistes en Israël croient que la survie de leur État dépend exclusivement de sa puissance militaire et que cette puissance provient du besoin de répondre à la menace permanente d’une guerre.
Bien entendu, combattre un ennemi réel et bien armé est très risqué. Après tout, vous pourriez perdre. L’autre solution est de créer l’ennemi et de jouer les deux rôles à la fois. C’est malheureusement la masse des gens ordinaires qui se retrouve au milieu du jeu insensé orchestré par les psychopathes. C'est aussi cela, les attentats sous faux drapeau.

Labour party member Bob Campbell : ISIS is controlled by Israel


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Bob Campbell, from Middlesbrough, said on Facebook just one day after the Brussels attacks that "Isis is run by Israel".
A day later, Mr Campbell posted a picture which claimed Isis has not attacked Israel "because the dog doesn’t bite its own tail".
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A Facebook post, made the day after the Brussels bombings (Bob Campbell/Facebook)
 
The Sunday Times reported that Mr Campbell was suspended after local MP Tom Blenkinsop found the comments and demanded an investigation.
However, Mr Campbell, who denies being anti-Semitic, told The Independent that he has not been suspended.
In addition to the two recent Facebook posts, Mr Campbell has also posted pictures comparing the Holocaust to the situation in Gaza, captioned "Holocaust the sequel…Please stop Israel".
He has also posted pictures depicting the Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu being hung from a tree and an Israeli flag adapted with an image of a rat featuring the words: "The real plague".
Mr Campbell has since denied posting the image of the rat.
“I post lots of pro-Jewish posts but I [also] post anti-Zionist posts,” he said.
Mr Campbell is the latest person in a series of Labour Party members accused of anti-Semitism.
Earlier in March, member Vicki Kirby was also suspended pending investigation for allegedly posting anti-Semitic comments to Facebook.
http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/labour-suspends-member-who-thinks-isis-israeli-conspiracy-a6956551.html
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC