Cet article a été publié il y a 3 ans. Il est toujours d'actualité.
Ce mercenaire serbe au service de
l’impérialisme et du sionisme est le principal maitre d’œuvre du « printemps
arabe » qui a commencé par la " révolution du jasmin ", en réalité "la révolution de la brouette". Parmi les
cyber-collabos [1] qu’il a formés avec son complice Sami Ben Gharbia, il y a Slim Amamou
(alias Slim 404), Lina Ben Mhenni (alias Nightclubbeuse), Emna Ben Jemaa (alias
Emna Benji), Heytham Mekki (alias ByLasko), Soufiane Chourabi et Seif Soudani.
T.S. (Tunisie Secret) a été le premier site d’information à dévoiler cette conspiration contre
le monde arabe dans laquelle des cyber-collabos psychologiquement fragiles et
intellectuellement ratés, à la recherche de gloire et de célébrité, ont joué un
rôle fondamental. T.S. revient à la charge pour que l’Algérie ne soit pas
détruite comme la Tunisie, la Libye, l’Égypte et la Syrie.
On se souvient tous de la fameuse poignée fermée que tous les internautes
tunisiens ont affiché sur leur profil Facebook dès la fin décembre 2010. Ces
idiots utiles de la « révolution 2.0 » ne savaient pas à l’époque que
cette poignée est le sigle de la secte OTPOR, une organisation subversive crée
par la CIA pour déstabiliser tous les régimes mis à l’index par Washington et
qui se pare de toutes les belles vertus : droits de l’homme, liberté,
démocratie, droit à l’expression…
Crée en 1998 grâce à l’appui financier de la « National Endowment for
Democracy » (NED) et l’« International Republican Institute »
(IRI), deux vitrines de la CIA, le mouvement OTPOR est devenu, après avoir fait
tomber le régime de Milosévic, l’organisation CANVAS. Elle est dirigée par
Srdja Popovic, un mercenaire serbe qui a été recruté par la CIA dès 1997. Il
faut savoir que le président du conseil d’administration de l’IRI a été John
McCain, l’un des mentors des Frères musulmans et principal théoricien néoconservateurs
de l’invasion de l’Irak en 2003 avec son livre « Rogue State
Rolback », et que la NED a été crée par Ronald Reagan en 1983. Selon
William Blum, un ancien fonctionnaire du Département d’Etat américain, «On a
donné à la NED un fort joli nom mais qui agit souvent dans
le sens opposé à sa vocation proclamée. La NED intervient dans les affaires
intérieures de pays étrangers de plusieurs façons. Elle fournit fonds,
savoir-faire technologique, entrainement, matériel didactique, ordinateurs…, à
des organisations de citoyens, à des syndicats, à des mouvements de dissidents
politiques ou d’étudiants… » ( dans son
livre Rogue State : A guide to the World’s Only Superpower).
CANVAS se présente comme une organisation spécialisée dans la formation à
la subversion dite Non-violente, en se référant à la doctrine du penseur
américain et sioniste Gene Sharp. Puissamment soutenue aussi par « Open
Society Institute » de Georges Soros et par « Freedom House »
dont le directeur a été l’ancien patron de la CIA James Woolsey, CANVAS a été à l’origine des
« révolutions » en Géorgie, Ukraine, Biélorussie, Kirghizistan,
Maldives. Elle a essayé de déstabiliser Cuba, Venezuela et l’Iran en 2009. Sans
succès, car les peuples de ces pays, à l’inverse des Arabo-musulmans, sont
politisés, cultivés et nationalistes. L’entreprise CANVAS a réussi son coup en
Tunisie, en Egypte et au Yémen. Quant aux cas Libyens et syriens, ils relèvent
tout simplement des croisades néocolonialistes.
Parmi les cyber-collabos tunisien qui, depuis 2007, ont bénéficié de
bourses, de matériels et de stages de formation à la « révolution
2.0 », figurent Slim Amamou, Lina Ben Mhenni, Emna Ben Jemaa et Heytham
Mekki. Avec une dizaine d’autres jeunes qui n’ont aucune culture politique et
aucun sens patriotique, ces quatre cyber-collabos ont été recrutés par Sami Ben
Gharbia, l’ami et le complice de Srdja Popovic. C’est ce noyau dur de la
cyber-collaboration tunisienne qui a mis le feu à la Tunisie, à la Libye, à
l’Egypte, au Yémen et à la Syrie. De façon discrète et toujours en étroite
collaboration avec CANVAS, leur secte d’origine, ils continuent leurs menées
subversives et se préparent depuis des mois à déstabiliser l’Algérie. Comme le
prouve cette vidéo, la crapule de la CIA, Srdja Popovic tient absolument à
faire tomber l’Algérie dans le giron islamiste, conformément aux objectifs
stratégiques du « printemps arabe ».
Tunisie-Secret lance ce soir un appel à tous les internautes et
cybers-activiste tunisiens, et de façon générale Arabes, à se constituer en
armée virtuelle pour défendre l’Algérie et dénoncer les cybers-collabos qui ont
déjà fait des dégâts irréparables en Tunisie et ailleurs dans le monde arabe.
Ayant déjà fait une grande et véritable révolution en 1962, ayant souffert de
la guerre civile que les islamo-fascistes lui ont livré durant une décennie,
l’Algérie saura montrer au monde que la démocratie peut s’établir sans perde
son indépendance et sans vendre son âme à l’ignoble wahhabisme
qatari.
Karim Zmerli
mai 8, 2013
mai 8, 2013