Un rapport très intéressant du Service
fédéral russe de la Garde (FSO) circulant aujourd'hui 28/9/2016 dans
le Kremlin, affirme que l’ensemble de la Direction de la Surveillance Nationale
des États-Unis (DSD) a été portée à un effondrement quasi total dû à au fait que des analystes
du renseignement de Fédération de Russie ont utilisé les " accords d’espionnage"
des géants de la technologie américaine Microsoft , Facebook et Google pour
parvenir à un «tsunami numérique» qui a, rendu, en 3 ans obsolètes les fichiers
de la (NSA) et ceux de la multi milliardaire en dollars, l’Utah Data Center de la
national Security Agency des États-Unis (UDC).
Le Service fédéral de la Garde est responsable de la protection des
communications et des informations présidentielle, gouvernementales et autres fournies
à tous les ministères du gouvernement de la Fédération, ce rapport
explique, alors que la Direction de la surveillance intérieure des
États-Unis déclare que sa mission est de «collecter, traiter et stocker les données des
citoyens US pour le bien de la nation ", tandis que l’Utah Data Center (nom de code Bumblehive) est
décrit comme un« référentiel
de données massives » conçu pour faire face aux vastes augmentations de
données numériques qui ont accompagné la montée du réseau mondial.
En 2013, le Service fédéral de la Garde est
devenu «alarmé» lorsque des documents top secret de la NSA ont été
libérés par l'un de leurs employés, Edward Snowden, montrant comment plus grands géants de la technologie américaine ont
travaillé en privé avec les agences de renseignement des États-Unis pour
espionner non seulement le peuple américain, mais aussi le monde entier.
Dès la publication des documents de la NSA
de Snowden, le Service fédéral de la Garde a ordonné à tous les ministères de
la Fédération de commencer
à utiliser des machines à écrire pour la communication, mais a autorisé
l'utilisation de Microsoft (Outlook), l’e-mail Google et Facebook pour des "cas
sélectionnés".
Cependant, le président Poutine vient d’ordonner
le bannissement total de ces logiciels espions au sein des Ministères
russes.
En 2013, la Fédération n’avait pas d’équivalent
pour remplacer immédiatement les outils de communications de Microsoft-Google-Facebook.
Mais, dès que les experts informatiques de
la Fédération ont découvert que Microsoft
avait donné à la NSA un accès sans restriction à leurs utilisateurs des
messages cryptés, que Google
avait fait une alliance secrète avec la NSA, et que Facebook
est devenu l'outil parfait de surveillance de masse tant pour la NSA et que
pour le FBI, la Fédération a décidé de «riposter» aux Américains.
Cette opportunité de riposter continue, a
été rendue encore plus "grandiose" en 2015 quand on a découvert que
le nouveau système d'exploitation de Microsoft, Windows 10, ne
permet de stopper ou de contourner sa fonction d'auto-espionnage permettant
ainsi à la NSA d'avoir un accès immédiat et illimité à toutes les données
personnelles, y compris le contenu (tels que le contenu des e-mails, d'autres
communications ou des fichiers dans des dossiers privés) sur tout ordinateur
qui l'a installé.
Pour savoir quelle est la meilleure et scandaleuse
façon d'exploiter l'espionnage de Microsoft-Google-Facebook, non seulement
contre la Fédération, mais contre le monde entier, il suffit de lire les
documents de la NSA fuités par Edward Snowden. Ils fournissent
un nombre massif de "mots-clés" que les analystes du
renseignement américain utilisent pour marquer ce qu'ils considéraient comme
des communications ou des fichiers informatiques ou des suspects. Par exemple,
en associant les mots clés « tunisien » et « Syrie » figurant dans un de vos emails, le
logiciel va vous signaler comme ayant des liens avec des terroristes islamistes
combattant en Syrie contre Assad, donc pour la NSA, vous serez classé comme « ami »
à protéger. En associant « tunisien » avec « laïque » ou « nationaliste »
vous serez automatiquement classé comme « ennemi à surveiller »,
voire, si vous êtes un haut responsable politique, « ennemi à neutraliser »,
comme ils ont « neutraliser » Chokri Belaïd, Mohamed Brahmi et d’autres.
Une fois que les analystes du renseignement
de la Fédération ont eu connaissance de ces "mots clés" de la NSA ils
ont commencé à "inonder" la NSA avec des dizaines de millions
d'e-mails, de fichiers et d’autres documents informatiques sur une base
quotidienne à partir non seulement les ordinateurs des ministères russes
officiels utilisant Microsoft -Google-Facebook, mais aussi à partir de tous les
autres gouvernements dans le monde aussi.
D’autres sources d’inondation ont été utilisées aussi : partir
d'ordinateurs personnels, de sociétés, de citoyens ordinaires de beaucoup de
pays y compris les États-Unis, des gens scandalisés par ces pratiques de surveillance
US. On estime d’ailleurs que tous les emails et tous les fichiers de tous les citoyens
des États-Unis, soupçonnés de liens quelconques avec des terroristes (non
modérés, i.e. non cornaqués par les USA) ont été lus et stocké par la NSA ces
trois dernières années, et
il y en a des millions.
Comme la NSA n’a pas la capacité de lire
physiquement les milliards de "mots-clés" déversés dans leurs
serveurs par la Fédération et par d’autres mécontents, les bases de données de
la NSA ont été rendues inutiles pour déterminer qui sont les vrais terroristes
et qui ne le sont pas. Mais cela n'a pas empêché ces "idiots d’espions "américains
de mettre même les bébés sur leur liste
de surveillance des dangereux terroristes comme ils l’ont fait, en 2015, avec "baby
Doe" qui est âgé de 7 mois.
Naturellement, les experts du renseignement
de la Fédération qui ont été en mesure d'exploiter Microsoft-Google-Facebook
pour submerger la NSA avec un tsunami littéral de l'information numérique reste
dans les parties hautement classés de ce rapport. Mais il est intéressant de
noter les rapports d’information de 2013 sur les événements de piratage des
adresses IP du Border
Gateway Protocol (BGP) permettant aux pirates d'usurper l'adresse IP d'une
autre entité à détourner le trafic.
Ce rapport conclut en notant qu'à l'heure
actuelle, les experts du renseignement de la Fédération estiment que l'Utah
Data Center aux États-Unis de surveillance tient actuellement dans leurs
serveurs 4-6 milliards de giga-octets d'informations inutiles auxquelles les Américains
sont incapables de donner un sens.
Source :
Russia CollapsesEntire USIntelligence System Using Microsoft, Facebook And Google
Traduction / adaptation : Hannibal GENSERIC