Lors des
pourparlers actuels, concernant la baisse des combats en Syrie, et qui se
déroulent entre le General Joseph Dunford , chef d'État-major
des armées des États-Unis, et le ministre
russe de la Défense, Sergueï
Choïgou, il a été révélé que le président Donald
Trump a magistralement piégé les médias de propagande mensongère américains
(et occidentaux) en employant la tactique de l'ancien stratège militaire
chinois Sun Tzu : « Toute guerre est basée sur la
tromperie. »
En effet, en
homme d’affaires retors et avisé, et sachant (a) qu'il pourrait gagner l’élection
présidentielle de 2016 contre Hillary Clinton, une adversaire « pourrie
jusqu’au trognon», et (b) qu’il déclencherait aussi une réaction du « Deep
State » contre lui, Trump a choisi, le 17 août, comme directeur général
de sa campagne présidentielle l'ancien officier de marine américain Steve Bannon [1]. Son ascension
météoritique à travers le monde des affaires et bancaires est crédité par sa
dévotion au traité militaire de Sun Tzu (VIe siècle
av. J.-C. – Ve siècle av. J.-C.) « Art de la guerre
», dont le précepte principal est : « Toute guerre est basée sur la
tromperie. »
Steve Bannon (à gauche), Sun Tzu (centre) et le président, Trump (à droite) |
Ayant pris le
contrôle de la campagne présidentielle de Trump, Bannon a vite compris que le
régime Obama espionnait Trump, ses proches et ses associés. Il s’est mis
donc à faire
fuiter « des informations secrètes » aux médias mainstream américains,
alors que la plus grande crainte de Bannon est la découverte par ces médias des liens
étroits de Trump avec la Chine, ce qui ferait dérailler la campagne de
Trump.
Utilisant le
précepte de l’« Art de la guerre », qui dit : « Même si vous êtes
compétent, faites semblant d’être incompétent. Bien qu'efficace, faites semblant
d’être inefficace », et afin de cacher des liens étroits de Trump
avec la Chine avant l'élection, Bannon a lancé une campagne de désinformation
délibérée faisant croire que Trump a des liens avec la Russie. Naturellement,
et comme on ne le sait que trop, l’État Profond et les tous les grands médias occidentaux sont
tombés dans le panneau.
D’ailleurs,
une récente sur les journalistes
américains, menée le neuroscientifique Tara
Swift et le London
Press Club a montré que
“les
plus hautes fonctions du cerveau des journalistes fonctionnent à un niveau
inférieur à celui de la population moyenne en raison de la déshydratation, de l'automédication
et de l’alimentation massive de leur cerveau avec de la caféine et des aliments
à haute teneur en sucre ”..
Hunter S. Thompson (1937-2005), journaliste et auteur américain, et le fondateur du mouvement du journalisme gonzo. |
Sachant que
toute enquête sur les liens de Trump avec la Russie ne donnerait rien parce
qu'ils n’ont jamais existé, Bannon et ses associés de la Maison Blanche
ont néanmoins continué à ravitailler les médias de propagande grand public américains
(repris bêtement par les autres médias occidentaux) par un flux régulier de fuites « suggestives »,
entretenant ainsi l'hystérie anti russe, basée sur de « fausses nouvelles ». Curieusement,
cette hystérie s’est
soudainement calmée hier lorsque Bannon et ses plus proches collaborateurs ont
quitté Washington DC pour accompagner le président Trump dans son voyage international.
Cette opération de
désinformation, menée par Bannon, a été si magistrale, si réussie, qu’elle a
amené, la semaine dernière, les grands médias américains, à louer la nomination
de l'ancien directeur du FBI, Robert Mueller pour enquêter sur les soi-disant
liens Trump-Russie. Nous avons montré, dans La
guerre du « Deep State » contre le président Trump fait un détour par la Chine, comment cette nomination a été accomplie
avec l'aide du siège en Chine du cabinet mondial d'avocats WilmerHale.
La seule fausse
note qui apparaît jusqu'à présent dans
cette opération « hystérie anti russe » de Bannon, a eu lieu la
semaine dernière, lorsque Matt Taibbi, un
journaliste de gauche très respecté, a
remarqué l'absence totale de preuves
à l'appui de tout lien Trump-Russie. Il
écrit: « les penseurs libéraux abhorrent traditionnellement les
tribunaux secrets, la surveillance secrète et les preuves secrètes. Dans le
passé, ils auraient découragé les médias de diffuser des charges non vérifiées ou invérifiables émanant
de ces sources secrètes. Mais parce que c'est Donald Trump, personne ne semble
se soucier de cette éthique. Qu’y a-t-il au cœur de cette affaire? Pourquoi ne
pouvons-nous dire ce qui se passe? "
Faisant écho
à l'inquiétude croissante de Matt Taibbi pour l’absence de toute preuve pour
soutenir le racontar Trump-Russie, Philip Giraldi, ancien
officier très respecté de la CIA, écrit
« l'enquête sur la Russie et les Trumpsters a été une grande priorité au FBI
et au Congrès pendant près d'un an ... mais jusqu'à présent, personne n'a
apporté la preuve que quiconque a transgressé une loi ou même que quelqu'un a
fait quelque chose de mal ».
Une récente étude
de l'Université Harvard montre maintenant aussi que la couverture médiatique
anti-Trump des médias charlatans dépasse maintenant plus de 85% d’opinions négatives, avec CNN et NBC,
qui assènent, sur une base horaire, leur propagande anti Trump, atteignant les 93%.
Vous voulez en savoir plus? Cliquez ICI.
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John Podesta a illégalement accepté 35 millions $ de la Russie
Selon les enquêteurs, le directeur de la campagne
présidentielle 2016 d’Hillary Clinton, John Podesta, a illégalement accepté 35
millions de dollars de la Russie.
Selon le groupe d'enquête Daily Caller, Podesta a omis de divulguer la réception de
75.000 actions d’une entreprise financée par le
Kremlin quand il a rejoint la Maison Blanche, sous Obama en 2014.
Selon Eutimes.net : Joule Technologies Unlimited - financé en
partie par une entreprise russe –a alloué à
Podesta 100.000 actions de stock options en 2010 quand il a rejoint son conseil
d’administration et ses entités
néerlandaises: Joule Global Holdings, BV et Stichting Joule Global
Foundation.
Lorsque Podesta Joule a annoncé son départ du conseil
d'administration en Janvier 2014 pour devenir conseiller spécial du président
Obama, la compagnie lui a délivré officiellement 75.000 actions.
La même année où Podesta a rejoint Joule, l'entreprise a accepté -1
milliard Roubles - ou 35 millions $ - de Rusnano, une société d’état, ayant des
liens étroits avec le président russe Vladimir Poutine.
Anatoly Chubais, le directeur général de l'entreprise et de deux
autres hauts dirigeants bancaires russes ont travaillé ensemble avec Podesta à
la direction de Joule. Le
conseil d'administration réuni six fois par an.
Ron Hosko, ancien directeur adjoint du FBI a déclaré en raison du
soutien du Kremlin, il était essentiel que Podesta divulgue les avantages
financiers qu'il a reçus de la société.
Trump a également semblé avoir une connaissance préalable de cela
lorsqu’il a exhorté ses partisans sur Twitter pour regarder le spectacle sur
l'exposition de Podesta.
Ce jeu est fini! Après
avoir passé les six derniers mois à accuser
Trump d'être un agent russe, il n'y a pratiquement aucun moyen pour les
Démocrates de nier le fait que ce sont eux qui avaient des liens avec les
Russes, pas Trump. Nous avons maintenant la
preuve définitive des liens Clinton-Russie!
Les
médias vont-ils éreinter les démocrates maintenant? On va voir ...
En faisant la guerre à Trump, l'Amérique relance sa guerre civile |
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[1] De Breitbart au Bureau ovale : Steve Bannon, le cerveau droit de Trump
Stratège mais aussi idéologue du trumpisme, Bannon semble savoir mieux que le président lui-même où mener l'Amérique.
Le
conseiller spécial a le sens du combat ancré au plus profond de sa personne.
La
préparation de Bannon à la guerre n’est pas dans l’apparence, elle est
idéologique. Parmi ses livres de chevet on cite souvent l’Art de la guerre de
Sun Tzu, et, pour les Français, Charles Maurras, un auteur incontournable pour
Bannon. Mais la bataille des idées n’est pas que grandes stratégies, elle est
aussi tactique. À partir de 2008, le voilà sur le sentier de la guerre. Ce
n’est pas pour rien que l’on surnomme le conseiller de Trump « l’homme le
plus dangereux d’Amérique ».
« Lénine voulait détruire l’État et c’est
aussi mon objectif. Je veux tout faire tomber et détruire entièrement
l’establishment qui prévaut aujourd’hui »,
explique encore celui qui se décrit comme le « saint patron des roturiers ».
Il identifie clairement la guerre de civilisation contre l’islam, celle contre la Chine comme menaces militaires.
Il identifie clairement la guerre de civilisation contre l’islam, celle contre la Chine comme menaces militaires.
Mais il
y a aussi une troisième menace. C’est celle de « l’ennemi
intérieur ». Celle qui fait que Bannon et ses fidèles agissent
sachant parfaitement se savoir surveillés.
Hannibal GENSERIC