Revoici le mystérieux John Wayne, pseudonyme très connu des
Tunisiens, qui postait ses commentaires, ou plutôt ses tirades
nationalistes, sur l’un des meilleurs sites tunisiens. Soudain, il a
disparu des écrans, comme Léon. Tunisie-Secret est ravie d’accueillir
ces deux « tirailleurs » dont la passion pour la Tunisie n’a d’égale que
le mépris pour certains Tunisiens.
Je suis un orphelin de Bourguiba tenace et pragmatique et un flic
de Ben Ali sournois dont le Patriotisme tient du fanatisme. Remarquez
peuple de gueux et de traîtres que j’écris, sans m’essouffler sur le web
depuis le 14 Janvier 2011, la haine que vous suscitez en moi.
Je ne vous ai jamais respecté ni avant l’indépendance ni après car je sentais que contrairement aux Algériens, vous aviez tendance à retourner la veste, à baisser la culotte, et à embrasser les plus riches et les plus puissants, surtout les blancs. Pas un baiser romantique comme ceux des Parapluies de Cherbourg, mais le baiser des traîtres et des opportunistes qui vendraient leurs âmes mais surtout leur Patrie pour des Ecus. Et Ecus est bien le cas de le dire, car tout ce qui est blanc et colonial vous plonge dans l’émoi.
Votre romantisme se limite à faire des courses aux magasins du Lac de Tunis en conduisant vos limousines de luxe et en portant vos lunettes de soleil d’un regard hautain tout en exhibant des dinars. Des dinars fraîchement convertis de devises ayant été versées par des ONG en vos comptes en banque qui jadis étaient à découvert et dont le but est la déstabilisation de la Nation Bourguibienne et Benalienne au nom des droits de l’homme. Droits de l’homme avec vos tronches de peuple dégénéré ?
Vos cheveux défrisés par de longues séances de fer à repasser ondulent au vent, tandis que vous appuyez sur le champignon de vos limousines achetées à crédit d’un banquier Sfaxien véreux vous ayant fait signer un « leasing ». Votre passe-temps préféré se limite à vendre votre Patrie aux étrangers face auxquels vous vous prosternez et à malmener les pauvres qui trainent sur vos chemins malodorants.
Je suis sournois et futé et mon métier de flic était un véritable « hobby » pour moi comme dirait un Britannique. Lorsque j’interrogeais des islamistes que ce soit dans une chambre au Ministère de l’Intérieur ou dans l’un de nos Consulat de l’étranger, je feignais toujours d’être de leur côté. Alors, je parlais leur dialecte de l’Islam afin que leurs langues fourchues se délient et que ces gueux Tunisiens devenus agents de la CIA et des pays du Golfe, se mettent à table.
Il m’est arrivé dans le temps de me rendre dans le cadre de mon travail de flic à la ville de El Hancha et ce faisant, je devais nécessairement passer par la ville de Sfax. El Hancha était une ville insolite, dont les habitants hostiles et aux têtes difformes avaient développé une industrie de type lourd comme celles des aciéries de Komsomolsk de l’ancienne URSS nécessaires à la fabrication des blindés de type IS-2. En effet, ces habitants souvent hirsutes de la tête aux aisselles étaient devenus à travers les siècles spécialisés dans le vol des ânes. De quoi en faire un film comme celui Italien sur le voleur de bicyclettes et que jadis je visionnais dans un des cinémas de la nouvelle Tunisie Bourguibienne aujourd’hui anéantie par votre sous-développement.
Je ne vous ai jamais respecté ni avant l’indépendance ni après car je sentais que contrairement aux Algériens, vous aviez tendance à retourner la veste, à baisser la culotte, et à embrasser les plus riches et les plus puissants, surtout les blancs. Pas un baiser romantique comme ceux des Parapluies de Cherbourg, mais le baiser des traîtres et des opportunistes qui vendraient leurs âmes mais surtout leur Patrie pour des Ecus. Et Ecus est bien le cas de le dire, car tout ce qui est blanc et colonial vous plonge dans l’émoi.
Votre romantisme se limite à faire des courses aux magasins du Lac de Tunis en conduisant vos limousines de luxe et en portant vos lunettes de soleil d’un regard hautain tout en exhibant des dinars. Des dinars fraîchement convertis de devises ayant été versées par des ONG en vos comptes en banque qui jadis étaient à découvert et dont le but est la déstabilisation de la Nation Bourguibienne et Benalienne au nom des droits de l’homme. Droits de l’homme avec vos tronches de peuple dégénéré ?
Vos cheveux défrisés par de longues séances de fer à repasser ondulent au vent, tandis que vous appuyez sur le champignon de vos limousines achetées à crédit d’un banquier Sfaxien véreux vous ayant fait signer un « leasing ». Votre passe-temps préféré se limite à vendre votre Patrie aux étrangers face auxquels vous vous prosternez et à malmener les pauvres qui trainent sur vos chemins malodorants.
Je suis sournois et futé et mon métier de flic était un véritable « hobby » pour moi comme dirait un Britannique. Lorsque j’interrogeais des islamistes que ce soit dans une chambre au Ministère de l’Intérieur ou dans l’un de nos Consulat de l’étranger, je feignais toujours d’être de leur côté. Alors, je parlais leur dialecte de l’Islam afin que leurs langues fourchues se délient et que ces gueux Tunisiens devenus agents de la CIA et des pays du Golfe, se mettent à table.
Il m’est arrivé dans le temps de me rendre dans le cadre de mon travail de flic à la ville de El Hancha et ce faisant, je devais nécessairement passer par la ville de Sfax. El Hancha était une ville insolite, dont les habitants hostiles et aux têtes difformes avaient développé une industrie de type lourd comme celles des aciéries de Komsomolsk de l’ancienne URSS nécessaires à la fabrication des blindés de type IS-2. En effet, ces habitants souvent hirsutes de la tête aux aisselles étaient devenus à travers les siècles spécialisés dans le vol des ânes. De quoi en faire un film comme celui Italien sur le voleur de bicyclettes et que jadis je visionnais dans un des cinémas de la nouvelle Tunisie Bourguibienne aujourd’hui anéantie par votre sous-développement.
25 Octobre 2017
John Wayne
Source
F.M. Alias JOHN WAYNE
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Étrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
John Wayne
Source
F.M. Alias JOHN WAYNE
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Étrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Commentaire :
Bourguiba l'avait bien dit :
"Il y a des Tunisiens, qui pour une cigarette, sont prêts à vendre leur mère" .
Sfax ou Kandahar ?
Une femme respectable de mes connaissances avait un déplacement professionnel à Sfax. Le matin; voulant prendre un petit café crème croissant, elle sortit de son hôtel et se mit à la recherche d'un Café pour cela. Mal lui en prit : à chaque fois qu'elle se présente devant un tel établissement, la réponse est toujours, avec plus ou moins de mépris non dissimulé, ici on ne sert pas les femmes.
Elle a beau dire qu'étant âgée, elle aurait voulu se reposer rien qu'un quart d'heure, même sans rien lui servir ! Rien à faire,
Ici on ne sert pas les femmes !
Le Sfaxien de base est-il devenu, lui aussi un abominable Taliban ? un homme des cavernes ?
Elle a fini par héler un taxi pour rentre à son hôtel. Trouvant le bonhomme gentil et bien élevé, elle lui raconta sa triste mésaventure. Le taxiste lui a confirmé que Sfax est devenue la propriété des islamo-wahha-bites, pour lesquels une femme compte bien moins qu'un ânesse ! Le taxiste lui proposa donc de l'emmener vers LE CAFÉ qui accepte les femmes. OUI, à Sfax, il y a UN Café qui ose servir des femmes.
Il paraît, d'après les journaux, la publicité et la TV tunisiens que la Tunisie a été un "pays ami", un pays touristique. On oublie de nous dire que cette époque est révolue depuis que la "révolution de la brouette" a gangréné le pays, et que des truands utilisent la religion comme drogue pour endormir le peuple stupide (voir ci-dessus) et le dépouiller.
Tunisiens, regardez autour de vous !
Au lieu de construire des écoles, des dispensaires, des hôpitaux, etc. on construit des mosquées à chaque coin de rue. Une mosquée n'a jamais produit un prix Nobel, ni an Tunisie, ni ailleurs !
Allez visiter les WC d'une école primaire ou secondaire et vous allez voir dans quelle merde abominable pataugent vos enfants, c'est comme cela qu'on forme de futurs islamistes, dans les chiottes et les prisons !
VOIR AUSSI :
Université de Sfax : Thèse universitaire : la Terre est plate comme une pizza
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TUNISTAN. Que sont devenus les quatre traîtres qui ont vendu leur pays ?
Hannibal GENSERIC