Donald Trump a refusé de soutenir un nouveau "plan directeur" de
la CIA pour semer le chaos et la destruction en Libye. Trump a aussi refusé de protéger la personne et le gouvernement
du Premier ministre Fayez al-Sarraj, alors que, pendant ce
temps-là, les forces spéciales de la Garde russe et les troupes de la police
armée chinoise sont sur le point d'achever leur entraînement de
formation dans le désert de Gobi. Ces forces seront ensuite
déployées en Libye afin de reprendre ce pays des mains des terroristes
islamistes, dont ceux de l'État islamique (ISIS / Daesh), qui, transférés par la CIA à partir de Syrie et d’Irak, ont
inondé non seulement la Libye, mais toute l’Afrique du Nord, y compris
l’Égypte.
Ainsi, au même moment, l'état-major général russe a pu déclarer que la Syrie était désormais libérée de toutes les forces terroristes de l'EI, les États-Unis ont annoncé qu'ils avaient quadruplé leurs forces militaires à 2.000, et qu'ils revendiquaient l'objectif de «stabiliser les zones libérées», alors qu’ils n’ont aucun droit de le faire car, par leur présence, ils violent le droit international.
Selon www.whatdoesitmean.com/index2449.htm, loin de vouloir stabiliser la Syrie, les États-Unis ont inondé ce
pays par leurs forces militaires dirigées par la CIA afin d’aider et protéger
le retrait massif des combattants terroristes de l'EI en les
transférant, à travers l’Égypte, vers l'Afrique du Nord. Mais le
porte-parole du Pentagone, Mark Mitchell, a tout simplement menti au
Congrès américain en affirmant que «parmi
les zones que nous avons étudiées, la plus inquiétante et qui offre le plus de
potentiel pour l'ISIS, c’est le Yémen ».
Cette déclaration est un fantasme incroyable, car le Yémen
« utile » est contrôlé par les Houthis, qui ne permettraient jamais
aux terroristes islamistes sunnites d'entrer dans leur pays.
Pourquoi le Pentagone a-t-il menti de façon flagrante au Congrès
américain à propos de l'acheminement de ces terroristes de l'EI par la CIA,
c'est pour cacher au peuple américain pourquoi et comment la Libye a éclaté en
morceaux, chaque morceau étant rançonné par une milice islamiste. D’ailleurs,
l’agent israélien du Mossad et chef de l'État islamique Abu Bakr al-Baghdadi (de
son vrai nom Shimon Elliot [1]), a
appelé, la semaine dernière, ses terroristes islamistes à se rassembler dans le
sud de la Libye et à se préparer à attaquer les pays d'Afrique du Nord pour
compenser leurs pertes territoriales au Levant (Syrie / Irak).
Voulez-vous l'entendre par vous-même? Cliquez ICI.
|
Pour comprendre pourquoi la CIA se prépare à lancer ses terroristes
de l'EI contre la Libye, il faut rappeler qu'en 2001, son ancien dirigeant
Mouammar Kadhafi avait prévu de cesser de vendre du pétrole libyen en dollars
US, exigeant
le paiement en dinars adossés à l’or, ce qui, par effet boule de neige
aurait précipité la mort
du pétrodollar. Voici une vidéo qui évoque le projet entrepris à l’époque par Mouammar
Kadhafi de création d’une monnaie panafricaine basée sur l’or que possédait
alors la Libye, et nous explique que c’est sans doute l’une des principales
raisons qui a poussé l’OTAN (France et USA en tête) à intervenir militairement
et à renverser le dirigeant libyen.
Naturellement, il y a aussi les millions de dollars payés par
Kadhafi pour aider son « ami » Sarkozy à remporter les élections
présidentielles, mais Sarkozy a préféré zigouiller son ami afin d’effacer sa
dette.
Dans Voici
pourquoi et comment Sarkozy a assassiné Kadhafi , nous avions écrit : Cinquante millions d’euros déboursés par Mouammar Kadhafi
pour sa course à l’Élysée, et l’exécution suspecte du colonel, sont autant de
cadavres dans le placard de l’ex-président français Nicolas Sarkozy. Ce n’est
pas un hasard si l’assaut de l’OTAN contre la Libye a débuté le 19 mars 2011
par un bombardement des chasseurs français sur les forces de Kadhafi,
lesquelles étaient sur le point de terrasser les rebelles à Benghazi.
Ce qui a amené la secrétaire
d'État américaine, Hillary Clinton, a
approuver les bombardements de la Libye par la France, mais son véritable
objectif a été caché au peuple américain, mais que l’on connaît à partir des emails
secrets de la Clinton, comme Vice
News le les rapporte :
Alors que le président français de l'époque, Nicolas Sarkozy,
déclarait publiquement qu'il souhaitait libérer le peuple libyen de la
tyrannie, le mémo de Blumenthal à la secrétaire Clinton soutient qu'il était
animé par un cocktail de motivations moins élevées, y compris un désir de
pétrole libyen et une peur que Kadhafi n'utilise son or pour porter atteinte à
la primauté de la France dans la région.
Pour en savoir plus, cliquez ICI. |
En rejoignant le
complot français pour détruire la Libye avant que Mouammar Kadhafi ne puisse
établir son "dinar" d'or, Hillary Clinton a enrôlé la CIA pour
l'aider dans ce plan vil pour détruire une nation qui ne représentait aucune
menace pour les États-Unis. Ces derniers ont sorti, en 2011, de nulle part l'ancien
général américano-libyen Khalifa Haftar (qui est aussi un citoyen
américain, avec «beaucoup
d'argent dans ses poches», et ont procédé à la
destruction de tout le pays.
Alors que le général Khalifa
Haftar croyait que les États-Unis le soutiendraient dans la reconstruction
de la Libye après la destitution de Mouammar Kadhafi, il est devenu
enragé quand Hillary
Clinton a commencé à expédier secrètement des armes et des munitions libyennes
à Benghazi aux terroristes de l'EI en Syrie. Il s’est alors tourné
vers la Russie pour soutenir sa nation déchirée par la guerre. Celle-ci fournit maintenant au général Haftar un soutien
politique et une assistance militaire permettant aux forces
de l'armée nationale libyenne (LNA) de garder le
contrôle de la partie orientale de la Libye.
S'opposant au général
Khalifa Haftar dans la reconstruction de la Libye, la marionnette du régime
Obama-Clinton et le soi-disant premier ministre, Fayez al-Sarraj, qui,
contre la volonté du peuple libyen, a été installé dans sa position par l'ONU,
en 2015 - mais qui ne préside à rien et a permis à la CIA
d'inonder la Libye avec des terroristes de l'État islamique.
Contrairement à la
Syrie et à l'Irak, où ni la Russie ni la Chine n’avaient compris dès le début que
ce sont les États-Unis
qui ont créé et financé les terroristes islamistes les plus barbares que le
monde ait jamais vus, il y a à parier que cette fois-ci ne sera pas la
même.
Maintenant, tout le monde sait que la CIA
utilise ses terroristes islamistes un peu partout, y compris en Libye, c'est
pourquoi le
porte-avions « amiral Kuznetsov » stationne près de la côte libyenne depuis
janvier dernier, et quand la
guerre éclatera, il sera utilisé pour défendre la ville côtière de Tobrouk,
dans l'est de la Libye. Dans cette ville, les Chinois sont en train de construire
le plus grand port en eau profonde du pays, un aéroport, un chemin de fer
longeant la frontière égyptienne vers le Soudan, 10.000 maisons, un hôpital de
300 lits et une université.
Alors que les forces
navales et militaires russes protégeront la côte orientale de la Libye, la
Chine prépare également sa
base militaire massive à Djibouti (dans la Corne de l'Afrique) et servira
de tremplin principal à la police armée des forces d’élite chinoises. Les
forces spéciales de la Garde russe et les troupes de la police armée chinoise
s'entraînent pour combattre les terroristes de daéchiens de la CIA. Cet entraînement
antiterroriste dans le désert de Gobi (qui simule les conditions climatiques en
Libye) est maintenant entré dans sa
phase active.
Des
troupes russes et chinoises s'entraînent dans le désert de Gobi (7 décembre 2017) pour combattre les terroristes de l'EI menés par la CIA en Libye |
Alors que le président
Trump refuse
maintenant de protéger le gouvernement d’imposteurs mis en place en Libye par
Obama-Clinton-CIA ou son premier ministre, le «Deep State»
américain est entré dans une folle démence, comme en témoignent les
médias de propagande américaine qui prétendent
que Trump souffre d'une diminution de ses capacités mentales parce qu'il
a bu une gorgée d'eau pendant un discours qu'il prononçait, et l'ancien
président Barack Obama comparant maintenant Trump
à Adolf Hitler et son affirmation que
l'Amérique aujourd'hui, c'est comme l'Allemagne nazie des années 1930.
Cependant, si Trump n’a créé ni camps
de concentration ni de chambres à gaz pour les juifs, il cautionne la mise dans
des ghettos insalubres les « juifs des juifs » que sont les
Palestiniens. En décrétant que Jérusalem est la nouvelle capitale d’Israël,
Trump prend le parti des nazis juifs. Obama a donc, pour cette fois, raison.
NOTES
[1] Le vrai nom de Abou Bakr Al-Baghdadi est « Simon (Shimon)
Elliott », de père et mère juifs. Le prétendu « Eliott » a été recruté par le
Mossad israélien pour une année au cours de laquelle il a été formé à
l’espionnage et sur le terrain pour conduire une stratégie destructrice des
sociétés arabes et islamiques. Son faux nom : Ibrahim ibn Awad ibn Ibrahim Al
Badri Arradoui Al Hoseini.
Ces informations ont été attribuées à Edward
Snowden et publiées par les journaux et autres sites Web : le chef de l’ « État
islamique », Abou Bakr Al-Baghdadi, a coopéré avec les services secrets
américains, britanniques et israéliens afin de créer une organisation
terroriste capable d’attirer des extrémistes du monde entier en un seul
endroit. (Source : Radio-ajyal.com) et une autre source, le site Egy-press,
corrobore ces propos.
Le plan est de rentrer dans le cœur militaire et civil des pays qui
sont déclarés comme une menace pour Israël afin de les détruire pour faciliter,
par la suite, la prise de pouvoir de l’État sioniste sur toute la zone du
Moyen-Orient afin d’établir le Grand Israël. Une source des médias iraniens a
été en mesure de détecter et de prouver l’identité du chef de l’État islamique
(Daesh). Voir : Le
"Calife" Baghdadi est un juif israélien, agent du Mossad
Hannibal GENSERIC
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.