Des journalistes arabes n’excluent pas une implication
d’Israël dans les explosions de Fujaïrah mais le nom d’un pays arabe de la
région est aussi évoqué…
Le journaliste arabe Tarek Ibrahim,
spécialiste des questions du golfe Persique, estime probable qu’Israël soit derrière
les explosions survenues dimanche 13 mai au port Fujaïrah aux Émirats arabes
unis.
L’agence de presse IRNA se réfère à une
note parue sur le site d’information Ida2at.com, où le
journaliste arabe Tarek Ibrahim rappelle que Tel-Aviv dispose de tous les
moyens logistiques et stratégiques pour mener une telle opération de sabotage.
D’après l’analyste, le port de Fujaïrah abrite une
base importante et des centres d’observation américains chargés de
surveiller le comportement des pays du golfe Persique et qu’il est fort
possible qu’une partie tierce soit responsable de cette attaque.
Il s’agit d’une opération sécuritaire
compliquée dont les auteurs, loin d’être une petite bande de terroristes ou de
saboteurs, auraient reçu des entraînements particuliers pour mener l’opération,
ajoute-t-il.
Tarek Ibrahim estime aussi probable que
les auteurs des explosions aient voulu mettre au défi les puissances régionales
dans le bassin du golfe Persique.
Un autre analyste arabe, Mohammed
Abbas, a déclaré à la chaîne Al-Mayadeen que la piste d’une implication
israélo-saoudienne
n’était pas exclue. « Les régimes israélien et saoudien auraient
intérêt qu’il y ait une escalade des tensions entre Washington et Téhéran et
notamment que l’Amérique déclare la guerre à l’Iran. Il n’est pas exclu que
Riyad et Tel-Aviv soient derrière les événements de Fujaïrah, »
ajoute l’expert arabe.
Mais les explosions qui ont secoué Fujaïrah et que l'Iran a qualifiées de "préoccupantes" et dignes "d'être soumises à une enquête bien approfondie et propre à être rendue publique dans les détails", sont entourées de quelques zones d'ombre : comment se fait-il par exemple que de si vastes déflagrations puissent avoir lieu sans que les militaires américains et français largement présents dans des bases aux Émirats se doutent de quelque chose? Ou encore comment se fait-il que l'armée émiratie, en pleine guerre contre le Yémen et donc bien alerte sur le plan militaire, n'ait pu agir contre l'auteur ou les auteurs de l'incident? Mais il existe d'autres ambiguïtés : Selon la version émiratie, 4 pétroliers ont pris feu mais aucune victime ni perte n'est à déplorer. Les experts qui s'y connaissent, affirment pourtant que ce genre d'incident ne pourrait se produire sans qu'il y aient des dégâts à moins que les pétroliers eurent été évacués avant. Et puis il y a la réaction particulièrement paradoxale des Émiratis qui est allié du démenti, dans les premières heures suivant les explosions, aux suppositions plus calibrées le soir de l'incident. Vient ensuite la version saoudienne qui elle, évoque "une attaque" qui ne fait pas de victimes mais qui a visé "le pétrole destiné aux États-Unis".
Mais les explosions qui ont secoué Fujaïrah et que l'Iran a qualifiées de "préoccupantes" et dignes "d'être soumises à une enquête bien approfondie et propre à être rendue publique dans les détails", sont entourées de quelques zones d'ombre : comment se fait-il par exemple que de si vastes déflagrations puissent avoir lieu sans que les militaires américains et français largement présents dans des bases aux Émirats se doutent de quelque chose? Ou encore comment se fait-il que l'armée émiratie, en pleine guerre contre le Yémen et donc bien alerte sur le plan militaire, n'ait pu agir contre l'auteur ou les auteurs de l'incident? Mais il existe d'autres ambiguïtés : Selon la version émiratie, 4 pétroliers ont pris feu mais aucune victime ni perte n'est à déplorer. Les experts qui s'y connaissent, affirment pourtant que ce genre d'incident ne pourrait se produire sans qu'il y aient des dégâts à moins que les pétroliers eurent été évacués avant. Et puis il y a la réaction particulièrement paradoxale des Émiratis qui est allié du démenti, dans les premières heures suivant les explosions, aux suppositions plus calibrées le soir de l'incident. Vient ensuite la version saoudienne qui elle, évoque "une attaque" qui ne fait pas de victimes mais qui a visé "le pétrole destiné aux États-Unis".
"False flag" israélien
Dans notre article intitulé Un
initié de la Maison Blanche : L'invasion et la destruction de l'Iran planifiées
pour l'automne 2019, nous avons vu que les États-Unis et Israël ont décidé de perpétrer des attentats sous faux drapeau ,
qu'on attribuerait à l'Iran, afin de justifier une attaque militaire contre ce
pays.
Notre prévision n'a pas
tardé à se réaliser.
Voici ce que
publie le site militaire israélien
DEBKAfile. L’Iran a choisi ce lieu dans les eaux du golfe d’Oman, aux
Émirats arabes unis, pour sa première attaque proactive contre les sanctions
américaines, car il se situe à l’écart des sentiers battus des routes
d’exportation de pétrole du Golfe.
Il y avait deux autres
raisons :
(a) Montrer aux Etats-Unis et aux pays pétroliers du
Golfe que Téhéran n’a pas besoin de bloquer le détroit d’Ormuz pour perturber
les exportations de pétrole du Golfe vers les marchés internationaux.
(b) Les EAU ont construit le nouvel oléoduc
Habshan-Fujairah dans le but de contourner le détroit d’Hormuz. En
frappant Fujairah, les Iraniens ont démontré que les routes de navigation
alternatives sont tout aussi vulnérables aux attaques iraniennes que le golfe
d’Hormuz.
La photo
ci-dessus montre un impact direct sur le pétrolier Andre
Victoria, battant pavillon norvégien, qui a presque été
sabordé.
Nos sources
notent que, même si les tensions entre les États-Unis et l’Iran sont en nette
augmentation, les services de renseignements occidentaux et les émirats du
Golfe ont été pris au dépourvu par le lieu de l’attaque iranienne et son
ciblage précis. On estime maintenant que Téhéran a soigneusement calibré les
explosions pour causer des dommages, tout en évitant de couler les navires ou
d’infliger des pertes humaines, au risque de déclencher la fameuse “Troisième
Guerre du Golfe”.
Les
États-Unis accusent l’Iran
Comme tout le
monde s’y attendait, le WSJ a rapporté lundi soir que, selon une première
évaluation américaine, “l’Iran est probablement derrière l’attaque” contre les
deux pétroliers saoudiens et deux autres navires endommagés ce week-end près du
détroit d’Ormuz, a déclaré un responsable américain, une conclusion qui,
confirmée ou non, va certainement attiser les tensions militaires du Golfe et
entraîner une guerre mondiale par procuration entre les Etats-Unis, la Chine et
la Russie. Cette fois-ci on parlera de "l'incident du golfe Persique"
comme des incidents "le golfe du Tonkin" [1],
qui est l’endroit où s’est produit un autre False Flag.
[1] Les incidents du golfe
du Tonkin sont survenus les 2 et 4 août 1964. Des torpilleurs nord-vietnamiens
et deux destroyers américains, le USS Maddox (DD-731) et le USS Turner
Joy (en)(DD-951), ont échangé des tirs de canons le 2 août, et le 4 août,
les destroyers ont ouvert le feu sur des cibles détectées au radar.
L'existence de l'affrontement du 4 août a
longtemps été controversée. Des éléments ultérieurs, dont un rapport rendu
public en 2005 par la National Security Agency, indiquent qu'il n'y a pas eu
d'attaque nord-vietnamienne le 4 août. Cette révélation a mis au jour le
mensonge du Président des États-Unis d'Amérique au moment du conflit, Lyndon
Johnson, qui cherchait une raison valable pour déclencher la guerre du Vietnam.
Hannibal Genséric
La photo
ci-dessus montre un impact direct sur le pétrolier Andre
Victoria, battant pavillon norvégien, qui a presque été
sabordé.
Nos sources
notent que, même si les tensions entre les États-Unis et l’Iran sont en nette
augmentation, les services de renseignements occidentaux et les émirats du
Golfe ont été pris au dépourvu par le lieu de l’attaque iranienne et son
ciblage précis. On estime maintenant que Téhéran a soigneusement calibré les
explosions pour causer des dommages, tout en évitant de couler les navires ou
d’infliger des pertes humaines, au risque de déclencher la fameuse “Troisième
Guerre du Golfe”.
Les
États-Unis accusent l’Iran
Comme tout le
monde s’y attendait, le WSJ a rapporté lundi soir que, selon une première
évaluation américaine, “l’Iran est probablement derrière l’attaque” contre les
deux pétroliers saoudiens et deux autres navires endommagés ce week-end près du
détroit d’Ormuz, a déclaré un responsable américain, une conclusion qui,
confirmée ou non, va certainement attiser les tensions militaires du Golfe et
entraîner une guerre mondiale par procuration entre les Etats-Unis, la Chine et
la Russie. Cette fois-ci on parlera de "l'incident du golfe Persique"
comme des incidents "le golfe du Tonkin" [1],
qui est l’endroit où s’est produit un autre False Flag.
[1] Les incidents du golfe
du Tonkin sont survenus les 2 et 4 août 1964. Des torpilleurs nord-vietnamiens
et deux destroyers américains, le USS Maddox (DD-731) et le USS Turner
Joy (en)(DD-951), ont échangé des tirs de canons le 2 août, et le 4 août,
les destroyers ont ouvert le feu sur des cibles détectées au radar.
L'existence de l'affrontement du 4 août a
longtemps été controversée. Des éléments ultérieurs, dont un rapport rendu
public en 2005 par la National Security Agency, indiquent qu'il n'y a pas eu
d'attaque nord-vietnamienne le 4 août. Cette révélation a mis au jour le
mensonge du Président des États-Unis d'Amérique au moment du conflit, Lyndon
Johnson, qui cherchait une raison valable pour déclencher la guerre du Vietnam.
Hannibal Genséric
vous avez vos plans et ALLAH a son plan.Epargnez nous de ces satanistes et montre au MONDES ENTIER leurs COMPLOT.
RépondreSupprimerL'Iran c'est la boite de Pandore qui va exploser à la gueule des sionistes de tout bord, qui seraient les 1ers en ligne de mire... L'Iran appartient à l'ancien empire perse qui comprend les républiques persanophones d'Asie Centrale...Laisseront ils leur sœur l'Iran se faire écraser impunément. Leur arsenal nucléaire hérité de l'URSS est à la disposition de Téhéran
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