IL N’Y A ABSOLUMENT
AUCUN TERRORISTE D’ISIS À IDLIB ... PAS D'ISIS, PAS DE BAGHDADI, PAS DE CHIENS MECHANTS,
PAS DE BAGHDADI QUI PLEURE ... QUE DES CONNERIES BOITEUSES
Pas d’Isis à
Idlib, pas de Baghdadi à Idlib, pas d’Isis à Deir Ezzor avec le pétrole syrien. Par contre, ui, il y a des djihadistes d’ISIS au sein et près des bases
américaines en Syrie et en Irak.
Pire encore,
VT, la Maison Blanche, tout le monde est inondé, même les médias russes (ils
ont aussi de faux médias) avec une nouvelle histoire, selon laquelle ISIS et al-Nosra
/ al Qaïda ont toujours été les mêmes, même s'ils se sont combattus les uns
contre les autres depuis des années.
Pourquoi?
La réponse est
simple, Trump a été pris dans une erreur puérile, tuant un faux Baghdadi au
milieu d'une zone contrôlée à 100% par les ennemis de ce dernier.
Pire encore,
dans une zone contrôlée par les milices turques (i.e. véritables services de
renseignement turcs) et al Nosra. Les deux organisations, les services de
renseignement turcs et Al-Qaïda, sont sur la liste de paye de l'Arabie
saoudite.
Trump, qui ne
sait vraiment pas lire et dont l’attention ne dépasse pas celle d’un moucheron,
a organisé un autre enterrement factice en mer. Cette fois-ci, Trump est dans un
sac lourd avec les chaînes, les boîtes de conserve et les déchets qui composent
ces enterrements factices.
Attendons des
témoins, des navires sans personne à bord, ou pire encore, nous pouvons nommer
l’unité responsable, puis les tuer tous dans un accident d’hélicoptère, comme
ce fut le cas après la mort du faux Ben Laden.
De Spoutnik News:
Dans une
allocution inhabituelle, le président des États-Unis, Donald Trump, a eu
beaucoup à dire sur le décès d'Abou Bakr al-Baghdadi à la suite d'une opération
des forces spéciales qui a eu lieu samedi soir. Bien que des tests ADN aient
été utilisés pour identifier le corps du dirigeant de Daech, les questions
concernant à la fois l'opération et le lieu de détention de Baghdadi en général
doivent encore être examinées.
Après avoir
passé sa matinée au Trump National Golf Club, le président est retourné à la
Maison Blanche dimanche après-midi et a posé pour quelques photos avec son
personnel dans la salle de crise avant de prononcer un discours à la population
américaine sur la récente opération de l'armée américaine et la mort de
Baghdadi.
Mark Sleboda,
un analyste des affaires internationales et de la sécurité, a rejoint lundi à Loud
and Clear Radio Sputnik pour disséquer le récit de la mort du chef de Daech
par Trump et approfondir les détails de l’opération des forces spéciales.
«Il a
manifestement l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien après les
multiples promesses de retirer les forces d’occupation de la Syrie», a
déclaré Sleboda à ses hôtes Brian Becker et John Kiriakou. "Il a
maintenant l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien et le ministère russe
de la Défense a été jusqu’à dire que les États-Unis étaient déjà impliqués dans
la contrebande de pétrole."
S'exprimant sur
les images satellites publiées samedi par le ministère russe de la Défense, le
major-général Igor Konashenkov a qualifié de "banditisme international"
la présence persistante des États-Unis en Syrie et son réaménagement autour des
gisements riches en pétrole du gouvernorat d'Al-Hasakah.
L’une des
compagnies visées par Konashenkov est «Sadcab» (également appelée «Sedcab»),
contrôlée par les États-Unis. Bien que créée avec le soutien de la communauté
kurde locale, ses profit remplissent les poches des services de renseignement
et des sous-traitants militaires des États-Unis.
Sleboda a
expliqué le point de vue du responsable de la défense, soulignant que les
produits américains provenant de la contrebande de pétrole étaient utilisés
pour soutenir les "opérations clandestines militaires ... de Washington
dans la région".
Le pétrole mis
à part, l’analyste a comparé le discours embelli de Trump et ses affirmations d’un
Baghdadi gémissant et pleurant à la déclaration cynique de l’ancienne
Secrétaire d’État Hillary Clinton en 2011, devant le cadavre violé et mutilé du
leader libyen Kadhafi, : «Nous
sommes venus, nous avons vu, il est mort».
En ce qui
concerne le raid lui-même, Sleboda a trouvé un certain nombre de choses
intéressantes liées aux détails bruts de l'opération nocturne.
Il a d'abord
souligné que Baghdadi avait été tué à Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie - «un
territoire que même la presse occidentale reconnaît être contrôlé presque
entièrement par Al-Qaïda», une entité historiquement hostile à Daesh.
"C'est
étrange que Baghdadi s'enfuie vers Idlib, [contrôlé] par ceux qui sont
maintenant ses ennemis", a-t-il affirmé, voyant qu'il y avait là une
sorte de compétition pour être le "maître incontesté des groupes
djihadistes".
En outre, le
chef de Daech a été tué à cinq kilomètres seulement de la frontière entre la
Syrie et la Turquie.
«Pour y
arriver, Baghdadi aurait dû traverser beaucoup de territoires hostiles, contrôlés
par les Kurdes, par les Américains, par des proxies mercenaires de la Turquie,
par le gouvernement syrien et la Russie », a déclaré Sleboda. "Alors
que, bien sûr, il aurait pu simplement prendre un bus pour aller en Turquie et
y revenir, compte tenu de la nature poreuse de la frontière turque, car le
président Recep Tayyip Erdogan a déménagé tout ce qu’il a pu voler en Syrie de
la trégion d’Idlib : usines, machines, pétrole, d'autres Ressources."
Il a poursuivi
en soulignant que l'on peut présumer que Washington n'avait pas confiance en
Erdogan, l'opération militaire ayant été menée non pas par la Turquie, alliée
des États-Unis à l'OTAN, mais à partie d’Erbil, en Irak, ce qui aurait forcé
ses troupes américaines à traverser le territoire et l’espace aérien en Syrie.
"
Source : Trump Caught or Duped? Baghdadi Could Have Never Been in Al Qaeda’s Idlib Zone
Hannibal
GENSÉRIC
IL N’Y A ABSOLUMENT
AUCUN TERRORISTE D’ISIS À IDLIB ... PAS D'ISIS, PAS DE BAGHDADI, PAS DE CHIENS MECHANTS,
PAS DE BAGHDADI QUI PLEURE ... QUE DES CONNERIES BOITEUSES
Pas d’Isis à
Idlib, pas de Baghdadi à Idlib, pas d’Isis à Deir Ezzor avec le pétrole syrien,
mais oui, il y a des djihadistes d’ISIS au sein et près de nos bases
américaines en Syrie et en Irak.
Pire encore,
VT, la Maison Blanche, tout le monde est inondé, même les médias russes (ils
ont aussi de faux médias) avec une nouvelle histoire, selon laquelle ISIS et al-Nosra
/ al Qaïda ont toujours été les mêmes, même s'ils se sont combattus les ,uns
contre les autres depuis des années.
Pourquoi?
La réponse est
simple, Trump a été pris dans une erreur puérile, tuant un faux Baghdadi au
milieu d'une zone contrôlée à 100% par les ennemis de ce dernier.
Pire encore,
dans une zone contrôlée par les milices turques (i.e. véritables services de
renseignement turcs) et al Nosra. Les deux organisations, les services de
renseignement turcs et Al-Qaïda, sont sur la liste de paye de l'Arabie
saoudite.
Trump, qui ne
sait vraiment pas lire et dont l’attention ne dépasse pas celle d’un moucheron,
a organisé un autre enterrement factice en mer. Cette fois-ci, Trump est dans un
sac lourd avec les chaînes, les boîtes de conserve et les déchets qui composent
ces enterrements factices.
Attendons des
témoins, des navires sans personne à bord, ou pire encore, nous pouvons nommer
l’unité responsable, puis les tuer tous dans un accident d’hélicoptère, comme
ce fut le cas après la mort du faux Ben Laden.
De Spoutnik News:
Dans une
allocution inhabituelle, le président des États-Unis, Donald Trump, a eu
beaucoup à dire sur le décès d'Abou Bakr al-Baghdadi à la suite d'une opération
des forces spéciales qui a eu lieu samedi soir. Bien que des tests ADN aient
été utilisés pour identifier le corps du dirigeant de Daech, les questions
concernant à la fois l'opération et le lieu de détention de Baghdadi en général
doivent encore être examinées.
Après avoir
passé sa matinée au Trump National Golf Club, le président est retourné à la
Maison Blanche dimanche après-midi et a posé pour quelques photos avec son
personnel dans la salle de crise avant de prononcer un discours à la population
américaine sur la récente opération de l'armée américaine et la mort de
Baghdadi.
Mark Sleboda,
un analyste des affaires internationales et de la sécurité, a rejoint lundi à Loud
and Clear Radio Sputnik pour disséquer le récit de la mort du chef de Daech
par Trump et approfondir les détails de l’opération des forces spéciales.
«Il a
manifestement l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien après les
multiples promesses de retirer les forces d’occupation de la Syrie», a
déclaré Sleboda à ses hôtes Brian Becker et John Kiriakou. "Il a
maintenant l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien et le ministère russe
de la Défense a été jusqu’à dire que les États-Unis étaient déjà impliqués dans
la contrebande de pétrole."
Parlant des images satellites publiées samedi par le ministère russe de la Défense, le
major-général Igor Konashenkov a qualifié de "banditisme international"
la présence persistante des États-Unis en Syrie et son réaménagement autour des
gisements riches en pétrole du gouvernorat d'Al-Hasakah.
L’une des
compagnies visées par Konashenkov est «Sadcab» (également appelée «Sedcab»),
contrôlée par les États-Unis. Bien que créée avec le soutien de la communauté
kurde locale, ses profit remplissent les poches des services de renseignement
et des sous-traitants militaires des États-Unis.
Sleboda a
expliqué le point de vue du responsable de la défense, soulignant que les
produits américains provenant de la contrebande de pétrole étaient utilisés
pour soutenir les "opérations clandestines militaires ... de Washington
dans la région".
Le pétrole mis
à part, l’analyste a comparé le discours embelli de Trump et ses affirmations d’un
Baghdadi gémissant et pleurant à la déclaration cynique de l’ancienne
Secrétaire d’État Hillary Clinton en 2011, devant le cadavre violé et mutilé du
leader libyen Kadhafi, : «Nous
sommes venus, nous avons vu, il est mort».
En ce qui
concerne le raid lui-même, Sleboda a trouvé un certain nombre de choses
intéressantes liées aux détails bruts de l'opération nocturne.
Il a d'abord
souligné que Baghdadi avait été tué à Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie - «un
territoire que même la presse occidentale reconnaît être contrôlé presque
entièrement par Al-Qaïda», une entité historiquement hostile à Daesh.
"C'est
étrange que Baghdadi s'enfuie vers Idlib, [contrôlé] par ceux qui sont
maintenant ses ennemis", a-t-il affirmé, voyant qu'il y avait là une
sorte de compétition pour être le "maître incontesté des groupes
djihadistes".
En outre, le
chef de Daech a été tué à cinq kilomètres seulement de la frontière entre la
Syrie et la Turquie.
«Pour y
arriver, Baghdadi aurait dû traverser beaucoup de territoires hostiles, contrôlés
par les Kurdes, par les Américains, par des proxies mercenaires de la Turquie,
par le gouvernement syrien et la Russie », a déclaré Sleboda. "Alors
que, bien sûr, il aurait pu simplement prendre un bus pour aller en Turquie et
y revenir, compte tenu de la nature poreuse de la frontière turque, car le
président Recep Tayyip Erdogan a déménagé tout ce qu’il a pu voler en Syrie de
la trégion d’Idlib : usines, machines, pétrole, d'autres Ressources."
Il a poursuivi
en soulignant que l'on peut présumer que Washington n'avait pas confiance en
Erdogan, l'opération militaire ayant été menée non pas par la Turquie, alliée
des États-Unis à l'OTAN, mais à partie d’Erbil, en Irak, ce qui aurait forcé
ses troupes américaines à traverser le territoire et l’espace aérien en Syrie.
"
Info pravda URSS guepeou tcheka??? 🙄 🍄 Delirium?
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