jeudi 16 juillet 2020

Les Juifs sont pires qu'Hitler. Au XXIe siècle, 4 fois plus de musulmans que la population d'Israël ont été massacrés


Holocauste est un mot que les propagandistes sionistes ont réservé à l'expérience juive. Cependant, dans un nouveau livre,   Holocauste et génocide des musulmans par les États-Unis après le 11 septembre (Korsgaard Publishing, 2020), le Dr Gideon Polya démontre que, 21e siècle, trois à quatre fois plus de musulmans ont été tués par les guerres menées par Washington qu'il n'y a Juifs en Israël. Polya conclut que l'holocauste des musulmans par Washington représente 5 à 6 fois le prétendu nombre  de 6 millions de juifs de l'holocauste.[1]

Le coût en dollars pour les États-Unis du meurtre gratuit de 32 millions de musulmans se chiffre en milliers de milliards, avec des milliers de soldats américains morts et mutilés et 88.000 suicides de vétérans américains depuis le 11 septembre 2001. Les Américains ont payé cher le canular de la «guerre  sur la terreur » qu’on leur a imposé à coups de mensonges et de tromperies.
Polya présente au lecteur un certain nombre d'holocaustes: l'holocauste bengali, l'holocauste somalien, l'holocauste aux opiacés, et les génocides yéménite, palestinien, rohingya et autres. Dans le chapitre 20, Polya parle de l'Holocauste américain, qui consiste en des morts américaines prématurées et inutiles dues au détournement vers Israël de milliards de dollars alors que les besoins américains en santé et en bien-être restent en plan.
Le livre regorge d'informations factuelles et il est largement documenté.
Il y a tellement de crimes d'état non reconnus d'une proportion horrible, et qui ne reçoivent aucune attention du public et des médias contrairement à la fausse nouvelle du «meurtre par la police raciste blanche» de George Floyd. Floyd est mort d'une overdose du dangereux opioïde Fentanyl, comme le montre le rapport toxicologique. Si le livre de Polya a une deuxième édition, le chapitre 22, War on Truth (Guerre contre la vérité), mérite une section sur la façon dont les fausses nouvelles sur la mort de Floyd ont causé des milliards de dollars de dommages matériels aux États-Unis et ont irrémédiablement nui aux relations raciales dans le pays. En effet, à mon avis, les dommages matériels causés par les mensonges des médias dépassent la valeur combinée de toutes les sociétés de médias. [2]
Le livre de Polya peut être acheté ici:  https://korsgaardpublishing.com  

Source Jews Officially Worse Than Hitler: # of Muslims Killed in 21st C. US Wars 4x Higher Than Population of Israel


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NOTES de H. Genséric
[2] P. C. Roberts oublie un peu vite que Trump a toujours été raciste, et les gens de couleur ne se révoltent pas uniquement à cause de la mort de Floyd, mais à cause de toutes les déclarations et les comportements de Trump depuis toujours.
Trump a été à l'école de Roy Cohn (voir ici, et ici), le principal adjoint de Joe McCarthy. Trump s'est adjoint Cohn comme principal avocat. Ce dernier lui a enseigné comment tricher avec le système, comment détruire des preuves pour éviter de se faire poursuivre, l'importance en toute chose de refuser de reconnaître ses torts et de ne pas hésiter à mentir si c'était nécessaire.
Donald Trump a si bien appris sa leçon que les observateurs américains ont inventé le terme de « bullshittage » pour décrire la façon dont il se comporte avec la vérité. Habituellement, un politicien ment en ajustant les faits à la réalité dans 10 à 15 % des cas. Des observateurs indépendants ont démontré que 95 % des déclarations de Trump étaient fausses ou trafiquées. Plus encore, il projette sur ses adversaires ses propres comportements.
Depuis 1970, Donald Trump s'est démarqué comme un promoteur immobilier qui n'hésitait pas à discriminer systématiquement   les noirs sur le plan du logement ou de l'emploi. Son racisme l'a amené au début des années 1980 à payer une pleine page de publicité dans le New York Times contre quatre noirs qui avaient été faussement accusés de viol, afin que l'État de New York rétablisse la peine de mort. Comme les quatre individus furent exonérés par des tests d'ADN après 14 ans de prison, Trump refusa ensuite de s'excuser, affirmant même que c'était la faute du système qui était vicié.
Son comportement ne s'est pas démenti depuis. Il n'a pas hésité à blâmer les Afro-Américains pour les bavures policières dont ils sont régulièrement les victimes. Selon lui, le mouvement « Black Lives Matter » est la principale cause des violences dont les noirs sont victimes.
Or, son racisme ne s'arrête pas aux Afro-Américains. Il inclut aussi les Hispaniques et les personnes d'origine musulmane. D'ailleurs, toute sa campagne présidentielle a visé à mousser la peur de la population blanche à l'égard des minorités visibles. Il n'a pas hésité pour ce faire à les caricaturer systématiquement comme des paresseux, des violeurs ou des terroristes. Trois jours après l'élection, il a remis sur son site internet l'objectif de bloquer l'entrée de tout musulman aux États-Unis et d'établir un registre pour la population musulmane.
Hannibal GENSÉRIC

4 commentaires:

  1. Le titre de l'article n'est pas très en phase avec son contenu.

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  2. C'est celui de Roberts. ... Mais il faut lire entre les lignes, Roberts ne dit pas tout, sinon il serait accusé d'antisémitisme et serait banni de partout...

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  3. Alors si j'ai bien compris le silence est d'or. Voilà pourquoi les riches achètent les médias car pour eux la parole est d'argent. La charte de Munich sur les droits et devoirs des journalistes est morte. Souhaitons qu'un monde nouveau arrive bientôt.

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  4. La Russie ; un système de pouvoir composite unique au monde.
    Il faut redéfinir tous les systèmes de pouvoir planétaires, car on assiste à une innovation généralisée, avec l’apparition concomitantes de systèmes de pouvoir inconnus précédemment. Commençons par celui de la Russie, qui est l’unique état au monde à être un hybride services secrets-maffia, une sorte de chimère (un animal imaginaire composé de plusieurs autres animaux). Les informations sur la réalité de la Russie datent du dernier livre d’Anna Politkovskaia publié en 2014, laquelle a été assassinée par le pouvoir russe en 2016. L’oeuvre de Politkovskaia trouve sa place après celle d’Arcady Vaskberg qui décrivait la réalité du régime soviétique dans ses derniers instants. La Russie est l’équivalent sur la planète terre des trous noirs cosmiques, des lieux où la lumière ne peut s’échapper. On ne sait plus rien de la réalité de la Russie, c’est devenu l’une des terra incognita de la planète. Ce qu’en décrit Politkovskaia en 2014 est comparable à l’un des plus centraux cercles de l’enfer. Un monde en soi, constitué de maîtres et d’esclaves, gérés avec une brutalité absolue et inouïe, une population de base réduite au néant pour qui la notion même de droit n’existe pas, une caste issue des services secrets spécialisée dans la répression de la population, le KGB, intimement hybridée comme lors des expérimentations génétiques des modernes docteurs Franksenstein, avec le crime organisé, lequel a pris la main sur l’ensemble de l’économie et l’industrie, dont les membres au sommet sont principalement juif, un lien très étroit voire organique avec Israël, l’emploi de la psychiatrie politique comme du temps de l’ère soviétique, un capitalisme dont la qualification de sauvage est réductrice, plutôt comparable aux chevauchées dévastatrices des anciennes hordes mongoles, et enfin, un système gigantesque de propagande internationale, visant à anoblir ce système unique, en lui assurant une apparence aux antipodes de sa réalité. Il est notable que plus rien de se crée en Russie dans les domaines intellectuels et artistiques. Quant à l’écologie, elle ne compte que pour la propagande, le territoire russe est devenu l’un des plus empoisonnés du monde en raison des accidents radiologiques militaires et civils à répétition, qui eux sont impossibles à masquer aux regards extérieurs, ce qui n’est pas le cas pour les autres causes de pollution. De même en science et en technologie, même militaire, on peut constater que la Russie ne fait que copier et suivre ce que l’Occident imagine de nouveau. La régression est même devenue visible politiquement, avec le drapeau russe hérité de celui des tsars et le retour en force de l’église orthodoxe, dont tout le monde sait qu’elle n’est qu’un des départements de l’actuel FSB-KGB. Pour finir, il faut mentionner la guerre d’anéantissement menée par le nouvel état russe en Tchétchénie, les attentats attribués aux Tchétchènes en Russie, mais opérés probablement par les services russes, et le racisme et le nationalisme délibérément exacerbés par le pouvoir russe au sein de la population.
    Suivrons les descriptions des systèmes occidental et chinois.
    Illustration : http://aredam.net/russie-egale-services-secrets-plus-mafia.pdf

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