Le
plus révoltant, dans le drame palestinien, c’est, bien sûr, la brutalité
de l’occupant, sa morgue coloniale, son mépris pour la vie des autres,
son aplomb dans le meurtre, son arrogance de vainqueur à la victoire
facile, sa bonne conscience lorsqu’il appuie sur la gâchette, sa lâcheté
lorsqu’il assassine des civils, son accoutumance au crime.
En France, contents d'eux, plutôt que de s'excuser pour
un siècle de batailles perdues, des officiers qui se jugent essentiels
veulent "nettoyer" les banlieues, ratisser comme au bon vieux temps.
Hasard, tous ces signataires d'un appel lancé à Macron, ou presque, sont
des militants d'extrême droite.
En Inde, les musulmans sont le bouc émissaire du coronavirus.
Mais c’est aussi cette mauvaise foi abyssale, cette hypocrisie de l’agresseur qui joue à l’agressé, ce mensonge qui sort de sa bouche lorsqu’il prétend se défendre, lorsqu’il condamne le terrorisme, lorsqu’il ose invoquer la légitime défense, lorsqu’il parle d’antisémitisme.
Des terroristes, les combattants palestiniens ? Non, ce sont des résistants, des vrais, de ceux qui se battent pour la patrie, pour la terre de leurs ancêtres, pour vivre en paix, un jour, dans cette Palestine dont l’envahisseur veut les spolier, pour cette Palestine dont l’État-colon se croit dépositaire, alors qu’il n’est qu’un occupant illégitime, un usurpateur. La légitime défense d’Israël ? Soyons sérieux : la seule légitime défense qui vaille, c’est celle du peuple palestinien, pas celle de la soldatesque coloniale ; celle de l’occupé qui résiste, pas celle de l’occupant qui opprime. Des résistants qui ont raison de se battre, et qui savent que si l’honneur est de leur côté, le déshonneur est dans le camp adverse.
On nous raconte que l’affrontement actuel est dû à l’intransigeance des extrémistes des deux camps. Mais ce renvoi dos-à-dos de l’occupant et de l’occupé est grotesque, c’est une supercherie. Depuis quand la résistance est-elle extrémiste ? C’est l’occupation qui est extrémiste, avec sa violence de tous les instants, cette humiliation permanente infligée aux populations, cette domination structurelle, cette insupportable chape de plomb qui pèse sur un peuple meurtri, et dont les sursauts de révolte, heureusement, montrent qu’il n’est pas vaincu. Non, la responsabilité ultime de la violence, en Palestine, n’est pas partagée, ce n’est pas 50/50, car cette violence est le fruit de l’occupation et de la colonisation, et les Palestiniens ne sont pas responsables de l’injustice qu’on leur fait subir.
Il y a des morts des deux côtés, oui, et aucune victime civile n’est justifiée. Mais lorsque le rapport des victimes est de 1 à 30, il est scandaleux de faire comme s’il s’agissait d’une guerre classique opposant deux armées dans une bataille rangée. Car cette guerre n’a pas commencé aujourd’hui, c’est un ethnocide, une tentative d’effacement des Palestiniens que l’on veut parquer dans les bantoustans de l’apartheid sioniste. Cette guerre n’est pas une guerre ordinaire, c’est la lutte entre une puissance occupante et une résistance armée, et il ne suffira pas d’appeler à la cessation des violences pour y mettre fin. Ce qui est à la fois odieux et ridicule, dans les déclamations de la diplomatie occidentale, c’est cet appel implicite au désarmement des Palestiniens. On leur demande de baisser les bras, de se résigner, d’accepter le joug, en feignant d’ignorer les raisons pour lesquelles ils ne le feront pas, ni aujourd’hui ni demain.
Reste, bien sûr, cette accusation d’antisémitisme, indéfiniment reconduite, pavlovienne, pathétique de bêtise et répugnante d’hypocrisie, que l’on jette à la face de tous ceux qui soutiennent la lutte des Palestiniens. Et pourtant, s’ils savaient, ces imposteurs, à quel point l’antisionisme nous suffit, à quel point il exprime avec assez de clarté ce qu’il s’agit de défendre. L’antisémitisme, lorsqu’il est avéré, est une souillure pour celui qui l’éprouve. Mais lorsqu’il sert à accuser l’antisionisme, c’est une souillure pour celui qui profère cette accusation mensongère. Vous pouvez toujours brandir cette calomnie, mais prenez garde, elle risque de vous revenir un jour sur la figure.
Force incoercible de la propagande, lorsqu’elle provoque le passage insidieux d’un terme à l’autre, qu’elle génère l’inversion maligne par laquelle le bourreau se fait victime, et l’antisionisme est qualifié d’antisémitisme. Cette accusation, on l’a compris, est une arme d’intimidation massive, qui permet à des gouvernements serviles, tout heureux de servir l’impérialisme et le sionisme, de s’acheter une pseudo-bonne conscience. Pitoyable diplomatie, complicité avec le crime qui se pare de toutes les vertus, et qui n’en finit plus de toucher le fond. Les Palestiniens, eux, ont compris depuis longtemps qu’ils n’avaient rien à attendre de ces Européens qu’étouffera un jour leur lâcheté.
URL https://www.legrandsoir.info/honneur-aux-resistants.html
Ces officiers, défaits par le FLN, mais qui rêvent d’une revanche de la Guerre d’Algérie dans les banlieues de France
Il
est sot, mais n’est-ce pas leur domaine d’application, que ces
militaires qui ont regroupé assez de neurones pour rédiger un « Appel à
Macron », aient omis de nous préciser qu’ils entendaient gagner
aujourd’hui une guerre qu’ils ont perdue hier : celle d’Algérie.
Cette fois le djebel aurait nos banlieues pour décor. En préambule signalons que la qualité de la langue française, celle mobilisée pour annoncer l’offensive, est d’un médiocre rare. Que, dans le 9-3 on trouve aisément de petites « hordes » de scribes capables de mieux écrire que ces cerveaux trop confinés sous feuilles de chêne. Puisque nos traineurs de sabres ont placé le débat sur le « Français », qu’ils sachent qu’ils ont déjà perdu cette guerre. Mais ils en ont l’habitude.
Nos journalistes saute-info n’ont pas cherché à informer le public, alors qu’il lui aurait été utile d’en savoir plus sur ces héros lanceurs « d’Appel ». Inexpugnables guerriers qui s’apprêtent pourtant à mourir dans leurs lits. Utile d’en savoir un peu plus sur la vraie nature des pétitionnaires, ces gens d’Arc qui veulent sauver la Patrie. S’il m’arrive de lire Le Monde, souvent équipé de gants de ménage, je dois reconnaitre que, cette fois encore c’est Ariane Chemin, la dame de fer du vespéral, qui sauve l’honneur d’un métier perdu.
La talentueuse consœur nous signale que Jean-Pierre Fabre-Bernadac, l’ex-capitaine de gendarmerie qui, le premier, a lancé « l’Appel » à Macron afin que l’on ouvre la chasse en banlieue, est un ancien patron du DPS, le service d’ordre du Front National. Brave fille, Ariane ajoute « qu’il n’a jamais milité en politique ». Sans nous expliquer comment il est possible, par exemple, de commander aux barbouzes du FN tout en étant, pourquoi pas, un membre du NPA ? Donc, tout en étant aussi neutre qu’un PH de chimie peut l’être, Fabre-Bernadac mouline de la copie, en musclé qui pense. Dans certains courriers, nous dit Chemin, « il évoque à mots à peine couverts, la possibilité d’un coup d’Etat militaire. Il créé pour cela un site, Place d’armes ». Ne voilà-t-il pas un rebelle de qualité, un révolté qui a mal à la France dès qu’il entend les chants des patriotes du FN ?
FN un jour FN toujours, voilà que Fabre-Bernadac, obsédé mais non lecteur du Coup d’Etat Permanent, retombe par hasard sur une noble et vieille connaissance, le général trois étoiles (ce qui est faible au Michelin) Emmanuel de Richoufftz. Rencontré jadis dans un régiment de biffins. Voilà une bien belle corniche pour exposer les théories de notre sauveur de la Nation. Bon. Il y a bien sûr un nouveau bémol dans la fanfare de nos amis claironnant leur « Appel » totalement « apolitique » : cet idiot utile de Richoufftz ne trouve rien de plus valorisant que de se présenter, en 2014, aux municipales du Grau-du-Roi, sur la liste d’un dissident du FN, néanmoins ami de Gilbert Collard. Ce qui indique un vrai ancrage non partisan.
Le général de Villiers, frère de l’autre, « l’agité du bocage » qui surfe sur l’eau bénite du Puy du Fou, a mis la barre à belle hauteur en publiant un livre dans lequel, il appelle « à l’Insurrection ». Nom de Dieu, il faut faire plus ! En professionnels de la position du tireur couché, Fabre-Bernadac et son commando décident donc de désigner une cible. Ce sera la remise en ordre de l’immigration et la mise au pas des hordes de banlieue. « Vaste programme », pour s’en tenir au célèbre jugement d’un autre homme des casernes.
J’allais oublier une autre star dans cette constellation d’étoiles, signataire de « l’Appel » de Fabre-Bernadac : le général Christian Piquemal. Le 6 février 2016, ce démocrate est interpellé à Calais par la police après une prise de parole lors d’une manifestation contre les migrants et l’ « islamisation de l’Europe ». Cette manifestation, interdite par la préfecture, était organisée à l’initiative du mouvement d’extrême droite PEGIDA, qui défend le nationalisme Allemand.
« L’Appel », rédigé en langue de chêne, est publié dans Valeurs Actuelles. Un opuscule de mieux en mieux nommé, vue la rapide ascension des droites extrêmes qui trouvent là un polygone de sustentation. Cette publication s’est naguère mise en surbrillance en publiant un entretien, plus que complaisant, de Samir Geagea, l’un des bourreaux du massacre Sabra et Chatila, crime qualifié « d’acte de génocide » par l’Assemblée générale de l’ONU en décembre 82. Entretien réalisé par un ami de Trump et de la vérité : André Bercoff.
Le reste de la copie étant plate comme un béret de chasseur alpin,
je me borne à vous soumettre deux extraits de cette prose signée par les
héros qui défendent le pays.
« Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieues, entraine
le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer
en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution... »
« Or, nous, serviteurs de la Nation (sic, cette fois avec
majuscule) qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de
notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons
être devant de tels agissements des spectateurs passifs. »
« Comme le disait le cardinal Mercier (vous ne rêvez pas...), primat
de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle
part. »
Magnifique, et je vous ai prévenus : ces militaires veulent enfin gagner, cette fois à Saint Denis et aux Mureaux, la guerre perdue en Algérie.
L’allusion au cardinal Mercier, né en 1851, indique à elle seule l’état poussiéreux régnant dans ces esprits. Appelons Wikipédia à l’aide :
« Dans sa lettre pastorale de carême de 1908, le Cardinal Mercier soutient l’encyclique Pascendi Dominici Gregis
qui rejette le modernisme, et dénonce la théorie de l’évolution, une
hypothèse « même pas avérée dans le champ restreint de la formation des
espèces végétales ou animales. Selon un prêtre flamand, il lui aurait
expliqué lors d’un entretien sa vision sur la coexistence des Flamands
et francophones en Belgique : « Moi, je suis d’une race destinée à
dominer, et vous d’une race destinée à servir. » Mercier ? Voilà un top
model. [on croirait entendre le rabbin Kahane déclarant que la seule justification de l'existence des goyim sur terre est de servir les Juifs]
Ce que je déplore, et Ariane Chemin a fait le travail, quotidien
oblige, un peu trop vite, c’est que l’absence d’informations sur
l’engagement d’extrême droite de ces candidats au ratissage des
banlieues, n’ait pas été exposé. Ce qui a conduit 58 pour cent des
français à approuver la position de cette bande de factieux, dignes de
jouer dans la pièce de Boris Vian Le Goûter des généraux ou de vivre désormais au métro « Muette ». [1]
Jacques-Marie BOURGET
https://www.legrandsoir.info/ces-officiers-defaits-par-le-fln-mais-qui-revent-d-une-revanche-de-la-guerre-d-algerie-dans-les-banlieues-de-france.html
Inde. Les musulmans comme « bouc émissaire » pour le coronavirus
À la fin du mois de mars 2020, un nouvel hashtag a fait son apparition sur Twitter. #CoronaJihad, qui accuse les musulmans de propager le coronavirus en Inde, est apparu plus de 300.000 fois sur Twitter, début avril, et a été potentiellement vu par 165 millions de personnes selon Equality Labs, un collectif numérique de défense des droits humains basé aux États-Unis.
Bien que l’Inde ait enregistré son premier cas confirmé de COVID-19 le 30 janvier, « ce n’est qu’après que l’incident du Jamaat a été rendu public que l’on a vu la [désinformation] à caractère sectaire se propager à travers l’Inde », explique Rakesh Dubbudu, fondateur de Factly, un site Internet de vérification des faits, basé à Hyderabad.
Rakesh Dubbudu fait allusion à un rassemblement religieux organisé début mars par le Tablighi Jamaat, un groupe islamique revivaliste, de New Delhi. Plus de 2.000 personnes y ont assisté, dont 250 ressortissants étrangers de pays comptant des cas actifs de COVID-19. Depuis que les participants sont rentrés chez eux dans différentes régions du pays, des rapports ont établi un lien entre ces personnes et plus de 1.000 cas de coronavirus dans 17 États.
Ceci a conduit à une « stigmatisation de la communauté musulmane [qui a été] très visible, flagrante et vitriolique », explique le professeur Sundararaman, coordinateur mondial du People’s Health Movement – un réseau international de militants de base dans le domaine de la santé. Selon lui, l’idée que la congrégation du Jamaat ait contribué à doubler le nombre de cas de virus en Inde donne « une image très trompeuse. Ce groupe était surreprésenté dans l’échantillon de personnes testées ».
M. Sundararaman explique qu’en ne testant qu’un groupe démographique particulier, les autorités ont relevé des cas positifs qui étaient bénins ou asymptomatiques, qui n’auraient autrement pas pu être testés. « S’ils avaient testé de la même manière des cohortes analogues, y compris d’autres rassemblements religieux qui avaient lieu au même moment, les résultats des tests auraient été comparables », explique M. Sundararaman.
« Le terme “CoronaJihad” non seulement attribue la responsabilité du virus à la communauté musulmane, mais implique également que par ce biais, cette communauté s’attaque à la majorité hindoue de l’Inde », indique Hatem Bazian, cofondateur et professeur de droit islamique et de théologie au Zaytuna College, le premier collège musulman d’arts libéraux accrédité aux États-Unis.
En plus du fameux hashtag, un certain nombre de fausses vidéos ont circulé, qui établissent un lien entre les musulmans indiens et la propagation du nouveau coronavirus. Une vidéo montrait des enfants musulmans léchant leur assiette dans ce qui semblait être un rassemblement communautaire. La vidéo avertissait les spectateurs que les musulmans agissaient de la sorte pour propager le virus au sein de la population. Cependant, Factly a pu établir que ces images avaient été tournées en 2018 et qu’elles dépeignaient une tradition de la branche musulmane des Dawoodi Bohras symbolisant la valeur de la nourriture et l’importance de ne pas la gaspiller.
M. Dubbudu a identifié entre huit et dix vidéos similaires, traduites dans différentes langues indiennes, qui ont toutes pour fil conducteur de présenter les musulmans comme « des propagateurs acharnés du virus ». Ce type de contenu a été téléchargé et partagé des millions de fois sur de multiples réseaux sociaux, dont Twitter, Facebook, TikTok et WhatsApp.
« Si vous deviez procéder à un classement de la désinformation la plus virale diffusée dans le monde au sujet du coronavirus, certaines de ces vidéos figureraient assurément dans le top 10 », a signalé M. Dubbudu.
Il reconnait qu’il n’est pas possible de remonter à la source des vidéos, bien que la diffusion de ces contenus se déroule en grande partie sur des pages et des groupes spécifiques des réseaux sociaux qui « adhèrent à une idéologie à laquelle profitent ces contenus ».
Les activistes s’accordent à dire que seuls les leaders de la société civile, les élus et les personnalités religieuses de premier plan sont en mesure d’exercer suffisamment d’influence sur l’opinion publique pour freiner les discours haineux contre les musulmans. M. Bazin doute que cela soit encore possible : « Lorsque vous monnayez le fanatisme à des fins électorales, cela devient la seule façon de maintenir et de conserver le pouvoir politique », dit-il en faisant référence à la politique anti-musulmane du BJP (parti du président Modi), qui reste un pilier central de ses campagnes. « Et c’est précisément ce qui arrive en Inde. »
Par Payal Mohta ; 6 mai 2020
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Les semaines précédentes, Médiapart avait fait état de l’apparition de réseaux néo-nazis dans l’armée tandis qu’une libraire libertaire, « La Plume Noire », était attaquée par des identitaires à Lyon et que le Conseil régional d’Occitanie était envahi à Montpellier par l’Action Française.
La création
d’un bouc émissaire pour la politique de la peur
L’assassinat
djihado-fasciste de Samuel Paty a mis une nouvelle fois la question de l’Islam
au centre du débat public. L’exécutif, l’extrême droite et le « Printemps
Républicain » s’acharnent à construire une représentation du monde où tout
musulman devient un ennemi potentiel. Il s’agit de créer de toute pièce un bouc
émissaire en se fondant sur la politique de la peur. La peur que l’Occident
soit « submergé » par les réfugiés, et que « la migration
illégale » accroisse cet « afflux ». La Droite, En Marche comme
la Gauche vallsiste reprennent en chœur l’amalgame entre immigration et
terrorisme.
Ce processus s’appelle « fascisation ».
Le mot provient des années
1920, juste avant la prise du pouvoir par Hitler en 1933. À l’époque, un
processus de droitisation, de mesures autoritaires, de lois répressives et
d’idées racistes ont progressivement très bien préparé le terrain à la prise du
pouvoir par les nazis. D’une part, un processus supprime de plus en plus
d’acquis démocratiques et sociaux. De l’autre, un processus par lequel
l’opinion publique est pas à pas gagnée aux idées de la droite extrême.
Dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme, le premier article
énonce : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité
et en droits. ». C’est cette égalité que le libéralisme autoritaire veut
anéantir pour à nouveau diviser les êtres humains en catégories différentes
avec des droits différents. Il le fait en s’attaquant aux droits humains
universels, en promotionnant le nationalisme et le racisme, en mettant hors-la
loi les mouvements sociaux.
Hannibal GENSERIC
En fait on a que deux choix...le fascisme de droite ou celui de gauche ? Ça c'est pour les peuples,les "grands" de ce monde comptent les points!
RépondreSupprimerIl faut arrêter une fois pour toutes de continuer à parler de droite et de gauche, d'extrême droite et d'extrême gauche, aussi de centre bien sur, car ce sont toutes des catégories dementielles créées par le judaïsme pour maintenir les Goyms éternellement divisés, pour les exploiter, pour les opposer les uns aux autres afin qu'ils s'annihilent reciproquement. Continuer à utiliser ce langage et ces catégories, outre que démontrer son idiotie à soi, signifie jouer le jeu de nos propres bourreaux judeo-maçonniques qui les ont créés. Si nous n'arrivons pas à le comprendre, cela signifie que les Juifs ont pas mal raison de nous considérer les Goyim comme des animaux dereasonnables et aussi pas mal betes.
RépondreSupprimer100% d'accord et en même temps bravo à l'auteur de l'article d'avoir abordé ces sujets là, et surtout celui du peuple palestinien, fier combattant afin d'arracher sa liberté...
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