dimanche 3 avril 2022

Comment le "super menteur" Zemmour déforme l’Histoire (4/5)

Le point commun à toutes les idées de Zemmour, c’est la laideur.

Zemmour – c’est son principal trait psychologique et il est inconscient – est attiré d’abord par les thèses qui lui semblent les plus laides, comme un papillon par la lumière. Comme il est intelligent, il développe par la suite les arguments, parfois brillants, pour les justifier. La plupart d’entre nous fonctionnons de façon opposée : nous choisissons ce qui nous plaît et justifions a posteriori nos choix, d’une façon ou d’une autre, en leur donnant une apparence de rationalité.

Zemmour - caricaturiste et caricature 

AVANT-PROPOS

La principale raison structurelle pour laquelle Zemmour choque tant: ce fonctionnement « à l’envers ». Nous avons tous envie de croire en quelque chose de beau et Zemmour va présenter un raisonnement qui tend à nous faire croire en quelque chose de laid – le but auquel il tend est donc toujours en opposition avec le nôtre. C’est pourquoi Zemmour, même s’il est classé à droite, choque à droite comme à gauche.

C’est aussi la principale raison pour laquelle Zemmour se trompe souvent, car une idée laide n’est pas plus vraie, en moyenne, qu’une idée belle. Toujours croire en la beauté, c’est sans doute de la bêtise. Toujours croire en la laideur nécessite sans doute plus de qualités intellectuelles, mais c’est aussi être victime de son tempérament.

Et là n’est pas le moindre de ses paradoxes : Zemmour, qui ne cesse d’invoquer la victoire de la raison, qui se targue d’une hyper-rationalité, est en fait de tous les commentateurs celui dont les prises de position sont les plus subjectives. Tous ses beaux raisonnements ne sont que des justifications a posteriori, au sens freudien du terme, d’un trait psychologique qui lui fait choisir d’abord la laideur, contrairement à un homme « normal ».

Pourquoi avoir choisi la laideur ?

On peut faire diverses hypothèses mais très probablement, Zemmour a choisi la laideur parce qu’il est très laid et qu’il en a souffert. A 18 ans, il n’y avait sans doute pas plus romantique, pas plus fleur bleue que Zemmour. Il a dû se prendre quelques claques et les a imputées à son aspect physique. Idée inconsciente : « Pourquoi moi, Eric Zemmour, le plus intelligent, le plus tendre et le plus gentil des hommes suis-je rejeté ? – Parce qu’au fond, il n’y a que la laideur qui compte vraiment. Le rejet que je subis, ce n’est pas vraiment moi, c’est même le contraire de moi. Conclusion : c’est la laideur qui mène le monde et je renonce définitivement à la beauté, que ce soit dans les idées ou pour ma cravate – voir la façon incroyable dont Zemmour est fringué ! ».

Camus nous dit qu’il faut imaginer Sisyphe heureux, je dis à Zemmour qu’il peut s’imaginer beau.

Source : L’hypothèse Zemmour : l’homme dont le principe est la laideur 26 mai 2009 Par Thierry Klein

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1940 – PÉTAIN N’A PAS PRÉPARÉ LA REVANCHE 

 « Dès son arrivée au pouvoir, Pétain voulut rendre à l ’Allemagne la monnaie de sa pièce ; imiter la conduite souterraine de la république de Weimar après l’armistice du 11 novembre 1918 ; préparer en douce une armée pour la revanche de la revanche de la revanche ; et en attendant, finassieren... » Éric Zemmour, Mélancolie française, op. cit., p. 45-46.  

Après la défaite de 1940, il n’est pas question de revanche nationale comme après la défaite contre la Prusse en 1871 mais d’expiation générale. Plutôt que de fourbir ses armes en contournant les termes de l’armistice comme l’Allemagne après le traité de Versailles, Pétain se sert de la défaite pour culpabiliser les Français et, plus particulièrement, les élites de la IIIe République. Si revanche il y a, elle ne vise pas l’Allemagne nazie mais le Front populaire, dont l’ancien président du Conseil, Léon Blum, est traduit comme « fauteur de guerre », avec d’autres dirigeants, à Riom en 1942 devant une Cour suprême de justice spécialement créée. La « revanche » est bien politique, et tournée vers les « ennemis de l’intérieur ». À l’inverse, sur le plan international, l’État français se considère « neutre », hors la guerre et prétend défendre sa flotte et son Empire « contre quiconque », c’est-à-dire contre les Britanniques mais surtout contre les gaullistes. Et loin de « finasser » avec l’Allemagne dans un jeu de dupes maîtrisé, le régime de Vichy s’engage délibérément à l’automne 1940 dans une collaboration à sens unique. Cela conduit même à proposer au Reich en 1941 l’utilisation d’installations militaires françaises en Syrie et en Afrique du Nord pour faciliter la guerre contre l’Empire britannique : pas exactement une politique de « revanche » contre l’Allemagne...

Quant aux moyens militaires, Pétain s’accommode d’une armée d’armistice, réduite à environ cent mille hommes en métropole, privée de l’essentiel de son matériel saisi par les autorités d’occupation suivant les termes des deux conventions d’armistice signées avec les Allemands le 22 juin 1940 et avec les Italiens le 24 juin. Dissoute le 27 novembre 1942, au moment où la zone sud est envahie par la Wehrmacht, l’armée d’armistice voit certains de ses cadres passer ouvertement à la résistance, mais il s’agit de décisions individuelles sévèrement réprimées par le gouvernement de Vichy et par les occupants. Donc l’armée dont parle Éric Zemmour n’est ni celle de Pétain, ni celle de De Gaulle. L’image du « glaive et du bouclier », qui suppose une connivence entre de Gaulle et Pétain, une sorte de partage des rôles, l’un continuant la guerre aux côtés des Alliés et l’autre ayant « fait don de sa personne à la France », resté pour protéger les Français d’un traitement aussi dur que celui infligé à la Pologne, est une fiction présentée par les défenseurs du maréchal lors de son procès devant la Haute Cour, à l’été 1945. Le jour même du débarquement en Normandie, le 6 juin 1944, le maréchal Pétain et Pierre Laval, chacun de son côté, demandent aux Français de ne pas prendre part à un conflit qui ne les concernait pas. Peut-on plus clairement dire que la guerre ou la revanche contre l’Allemagne n’était pas et n’avait jamais été un objectif de Pétain et de son régime ?

1940 – PÉTAIN A BEL ET BIEN TUÉ LA RÉPUBLIQUE 

 « Les historiens prétendent aujourd’hui unanimement que Pétain a tué la République, tandis que de Gaulle l ’a rétablie. Mais ce sont les parlementaires d’une majorité de “front populaire” qui ont aboli la IIIe République [...] [De Gaulle] soumettra sa Constitution au référendum, ce que Pétain avait promis mais jamais fait. Il a eu grand tort. Non seulement la Constitution de 1944 – que le Maréchal voulait léguer à la France mais qui ne verra jamais le jour – aurait été plébiscitée, mais elle ressemblait comme une sœur aînée à celle de 1958. »
Éric Zemmour, Destin français, op. cit., p. 394.
   

Difficile de faire plus faux en aussi peu de phrases. 

Pour réhabiliter Pétain, Éric Zemmour établit un parallèle trompeur avec de Gaulle en 1958, qui occulte la véritable négation de la République que fut Vichy. Les différentes affirmations méritent d’être démenties une à une. D’abord les historiens ne « prétendent » pas que Pétain a tué la République : c’est un fait attesté durant toute la durée du régime de Vichy, et dès son origine. Celui-ci remonte à l’acte constitutionnel no 1 du 11 juillet 1940 : « Nous, Philippe Pétain maréchal de France [...] déclarons assumer les fonctions de chef de l’État français. » Renouant avec le « nous » de majesté des rois, Pétain instaure un régime sans élections ni parlementaires (les Chambres sont « ajournées » et jamais réunies), où le « chef » concentre les pouvoirs et désigne un successeur. La devise républicaine est remplacée par « travail, famille, patrie ». Les fonctionnaires doivent prêter serment au Maréchal, qui a le pouvoir de les sanctionner individuellement. Enfin, la législation républicaine est reniée, ouvrant la voie à toutes les discriminations, dès le 3 octobre 1940 avec le « statut des juifs ».

Pouvoir personnel quasi absolu, suppression de la souveraineté populaire et du principe représentatif, arbitraire des sanctions, fin de l’égalité devant la loi : un siècle et demi de principes républicains disparaissent en un été.  

Éric Zemmour recourt ensuite à une technique rodée par plusieurs générations de polémistes en désignant les « parlementaires d’une majorité de “front populaire” qui ont aboli la IIIe République ». En réalité, le parlement qui vote les pleins pouvoirs à Pétain est celui qui a renversé le Front populaire en 1938, réuni à Bordeaux dans un contexte menaçant, privé d’une centaine de parlementaires déchus ou exilés. Surtout, le vote du 10 juillet 1940 désigne le « gouvernement de la République, sous l’autorité et la signature du maréchal Pétain », en le chargeant d’écrire et de faire ratifier une nouvelle constitution. Le pouvoir que s’arroge ensuite Pétain, qui remplace Marianne sur les timbres- poste, est donc un abus et une tromperie. Reste justement la fiction de la « Constitution de 1944 [...] que le maréchal voulait léguer à la France ». Le moins qu’on puisse dire est qu’il ne s’est pas pressé ! En réalité, ce projet esquissé fin 1943, jamais officialisé, n’avait pour seul but que d’essayer de ménager une porte de sortie honorable à Pétain, Vichy et ses dignitaires, en suggérant aux Américains qu’ils pouvaient redevenir présentables, maintenant que la défaite allemande était inéluctable. On avait mal choisi son camp en 1940 : peut-être qu’il était encore temps de donner l’illusion d’un vague parlementarisme ? 

La légalité républicaine, la vraie, fut heureusement rétablie cette même année 1944 : par un certain de Gaulle dirigeant le Gouvernement provisoire de la République française. 

1942 – VICHY N’A PAS PROTÉGÉ LES JUIFS FRANÇAIS  

« Vichy a protégé les juifs français et donné les juifs étrangers. » Éric Zemmour, sur Europe 1, 26 septembre 2021.   

Éric Zemmour enrobe d’un vernis de connaissance la défense de Vichy depuis 1945 : face à la pression nazie, les dirigeants de l’État français auraient mené une politique de « moindre mal » destinée à protéger les « israélites », au prix de l’abandon des étrangers. Telle est, à propos des rafles qui ont visé en 1942 des dizaines de milliers d’innocents, la thèse canonique de la littérature pro-pétainiste (Me Isorni, René de Chambrun, l’amiral Auphan ou Alfred Fabre-Luce). 

Un simple regard sur la chronologie et les chiffres de la déportation raciale suffit pourtant à démontrer l’inanité de la thèse du « moindre mal » :
– Quand Vichy met toute la puissance de l’État dans la politique d’arrestation des juifs étrangers et de leurs enfants (la plupart français, car nés en France !), un maximum de victimes sont livrées aux nazis. Du 17 juillet au 11 novembre 1942, sous l’effet de l’« arrangement » négocié par le chef de la police de Vichy René Bousquet avec les chefs de la police allemande, trente-six mille juifs sont déportés – trente-six mille en moins de quatre mois !
– Quand au contraire, après novembre 1942, la France est entièrement
occupée, que son gouvernement est dépouillé de tout ce qui lui restait de souveraineté (la zone libre, l’Empire, son armée d’armistice) et réduit au rang d’État fantoche, il faut vingt mois aux autorités allemandes pour obtenir la déportation de trente-deux mille juifs.  

Depuis plus de cinquante ans, la recherche historique a établi, à partir de patientes investigations, que, si les trois quarts des juifs ont survécu en France, ils le doivent d’abord et avant tout à l’aide de la population et au manque de zèle des agents ordinaires de l’État chargés de les arrêter. Dès la première grande opération visant en juillet 1942, à Paris (la rafle dite du Vel d’Hiv), des femmes et des enfants, parmi les plus pauvres, des Polonais pour l’essentiel, près des deux tiers sont parvenus à échapper à l’arrestation – malgré les ordres draconiens de Bousquet et la pression invisible mais redoutable de l’occupant.
C’est un cas unique en Europe, dû à l’intégration plus forte qu’ailleurs des juifs
dans la société environnante. Certes, Vichy ne voulait pas déporter les juifs français les plus « enracinés ». Son projet était de se débarrasser des étrangers et des naturalisés. (Le programme de Zemmour aujourd'hui)
Mais, en
persécutant l’ensemble des juifs dès 1940 (les lois d’exclusion et la spoliation visent avant tout les Français), en jouant pleinement la carte de la victoire d’Hitler à l’été 1942 et en souhaitant la déportation des juifs étrangers « indésirables », Vichy ne s’est absolument pas mis en situation de protéger ses nationaux. Dès l’été 1942, tous les juifs, français comme étrangers, en zone libre comme en zone occupée, se sentent en danger. Beaucoup tentent de fuir, d’entrer dans la clandestinité, et donc s’exposent à des arrestations individuelles, dans la rue, sur la ligne de démarcation, etc. De fait, sur les 74.150 juifs déportés vers les camps et centres de mise à mort, 24.000, dont plus de 7.000 enfants, avaient la nationalité française...

 1949 – SIMONE DE BEAUVOIR N’EST PAS MADAME JEAN-PAUL SARTRE  

« En cet été 1940, Simone de Beauvoir admire sans se lasser pendant des heures un détachement de la Wehrmacht à travers les persiennes de la maison de La Pouëze (Maine-et-Loire) où elle s’est réfugiée, après la débâcle. » Éric Zemmour, Destin français, op. cit., p. 474.  

Rien de surprenant à ce que l’auteur du Premier Sexe (2006) déteste l’autrice du Deuxième Sexe (1949). Éric Zemmour incarne et défend, encore en 2021, tout ce que Simone de Beauvoir déconstruisait et attaquait soixante-dix ans auparavant, à savoir la conviction que la femme est biologiquement déterminée à être dominée par l’homme et reléguée hors de toutes les sphères de pouvoir.
« Les règles de l’évolution darwinienne démontrent pourtant à l’envi qu’on ne devient femme que parce qu’on est née femme », écrit-il.
Mais rien ne
l’obligeait pourtant à tordre faits et mots pour délégitimer la philosophe, pire, la salir. Pour Éric Zemmour, Beauvoir n’est rien sans les hommes de sa vie, son père d’abord, Sartre ensuite, « son maître, son roi, [...] son homme », qui « vint. Pour l’éclairer, l’édifier, l’éduquer ». 

Rappelons que Simone de Beauvoir était déjà certifiée en mathématiques, latin, littérature, éthique et psychologie quand elle rencontre Jean-Paul Sartre.
Le Deuxième Sexe ne serait, à en croire Éric
Zemmour, que l’application « laborieuse » des « catégories philosophiques chères à son compagnon ». Femme, Beauvoir ne saurait penser par elle-même. C’est bien méconnaître non seulement la richesse des échanges intellectuels entre les deux philosophes, mais également l’originalité de la pensée de Beauvoir comme l’importance du Deuxième Sexe, réduit par Éric Zemmour à quelques petites phrases.  

Éric Zemmour s’emploie ensuite à la brosser sous les traits d’une bourgeoise naïve, sorte de Fabricette à Waterloo dans l’Europe tourmentée des années 1930, pire, en midinette enamourée devant les soldats allemands. La description que fait la philosophe de l’entrée de la Wehrmacht en juin 1940 devient sous la plume d’Éric Zemmour une « admiration contemplative », une préférence érotique dédaignant les pauvres Français de la débâcle. Pourtant, quand on lit le Journal de guerre de la philosophe, ce n’est pas ce qu’on trouve : « Les officiers sanglés, gantés, conscients de leurs gants [...] étaient d’une morgue épaisse et odieuse », écrit-elle ; plus loin « Ceux que je vois passer ont de telles têtes d’imbéciles » ; ou encore « Ces gueules d’Allemands sont infâmes ».
Des passages qu’Éric Zemmour omet
soigneusement de citer.
Mais sans doute est-ce parce qu’il a préféré lire et
reprendre quasi mot à mot 1940-1949. Années érotiques de Patrick Buisson plutôt que d’aller vérifier la source et lire les Mémoires de Beauvoir. Or ce portrait à charge est une stratégie récurrente chez Éric Zemmour qui fait le même reproche à la féministe Benoîte Groult, précisant qu’ensuite elle se « rattrapera » avec les Américains.
De toute façon, pour lui, « les Françaises de
la plus haute naissance s’étaient jetées au cou des cosaques qui défilaient sur les Champs-Élysées en 1814, comme, quelques années plus tôt, les Italiennes et les Allemandes avaient jeté leur dévolu sur les beaux officiers de la Grande Armée ».
À l’en croire, les femmes n’ont pas de patrie, pas de colonne
vertébrale, pas de cerveau, juste des émotions érotiques pour les hommes de pouvoir...

Articles précédents : 
-  Comment le "super menteur" Zemmour déforme l’Histoire (1/5)

Comment le "super menteur" Zemmour déforme l’Histoire (2/5)
- Comment le super menteur Zemmour déforme l'Histoire (3/5)
 

à suivre 


VOIR AUSSI :
-   Zemmour versus BHL, les deux faces du judaïsme politique, Par Youssef Hindi
-   La Clé du Mystère (Partie-6). "Nous, les Juifs, vous avons conduits dans un nouvel enfer ", avoue le Dr. Oscar Lévy
-   De quoi Zemmour est-il le nom ? Les chroniques d'un pyromane impuni
-   « Les fils de Zem », mise au point sur Zemmour par François-Xavier Rochette

Hannibal Genséric

 

 


7 commentaires:

  1. Il est dit que 6 millions de juifs ont été déportés, est-ce vrai ? Sujet sensible.

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    1. il n y avait pas 6 millipns de juifs en europe a cet époke -a peine 3 millions

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    2. faites une recherche dans ce blog avec :

      six millions
      6 millions

      et vous aurez des réponses argumentées.

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    3. Merci, j'ai visité les liens, et je m'aperçois aussi que les livres contradictoires sont censurés. La société était déjà dans la pensée unique.

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  2. LES DEUX HOLOCAUSTES

    Il semble que le père d'Hitler était un fils illégitime né d'une relation délibérée d'un Rothschild avec la grand-mère du futur Furher, qui était femme de chambre chez lui. Hitler avait donc du sang juif Rothschild dans les veines. et probablement aussi la syphilis, qui affecte gravement le cerveau. C'est plausible, car les Rothschild, qui ont financé la creation des Illuminati de Bavière (1776) et qu'ils adorent lucifer/satan, recourent à des expédients diaboliques similaires pour créer des marionnettes à surveiller en permanence et les pousser à agir comme des automates (voir aujourd'hui Mk-ultra) d'une manière qui est presque complètement incompréhensible pour l'homme "ordinaire", comme dans le cas présent, où la haine d'Hitler à moitié juif (et des hiérarques nazis juifs ou d'origine juive) envers les Juifs, en vue de la création du mythe de l'Holocauste. Probablement, ni Hitler ni les hiérarques étaient pleinement conscients qu'ils étaient des marionnettes Rothschild. Il est évident qu'il y a eu des victimes juives (comme avec le Covid d'aujourd'hui en Israel) dans les camps de concentration, comme il y en a peut-être eu en plus grand nombre, des victimes d'autres ethnies ou catégories sociales, mais seuls les juifs (evidemment les chefs religieux/politiques, qui n'ont aucun scrupule à sacrifier meme leur camarades ordinaires), ont pu créer une sorte de religion dogmatique et intouchable, qui est l'Holocauste, sur la croyance mondial du quel, selon le professeur Faurisson, est basé le pouvoir énorme et démesuré que le monde judaique exerce sur l'humanité, surtout des derniers deux ou trois siècles. Le professeur Faurisson a été « crucifié » par les Juifs durant toute sa vie pour avoir démontré avec des preuves scientifiques accablantes que les chambres à gaz n'ont jamais existé et que le nombre de six millions est une ahurissante absurdité.

    Pour établir la vérité une fois pour toutes il suffirait de mener des enquêtes, des études, des recherches, avec des scientifiques et des spécialistes du plus haut niveau mondial, mais cela n'arrivera jamais (exactement comme pour la fausse Pandemie) car, en claire confirmation des conclusions de Faurisson, les chefs religieux, politiques ne veulent pas de la manière la plus absolue. Cette attitude objectivement inacceptable d'un membre du consortium humain dont le judaïsme evidemment fait partie, est pourtant passivement et lâchement acceptée par un monde pratiquement au bord d'un VRAI Holocauste, auquel le judaïsme lui-même est en train de le conduire. Car oeuvrer à la destruction de la Russie (revenue avec Poutine au Christianisme), comme l'Occident sioniste/mondialiste/sataniste est en train de faire, equivaut à provoquer une guerre nucleaire inimaginable.

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  3. C'est un casse tête chinois pour choisir un candidat à la Présidence de la REPUBLIQUE !

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  4. Pour mettre 6 000 000 de personnes dans un ascenseur vers ailleurs c'est compliqué.

    Perso je dis environs plusieurs millions, 4,5,6...

    C'est toujours pénible de chiffrer, mais quelle importance ?

    Je soufre tous les jours depuis que je suis né.
    Je souffre depuis 20 ans et j'en ai quarante.
    J'ai souffert à partir de mes 65 ans.
    Je ne souffre plus depuis je ne souffre rien.

    Comment mesurer la souffrance ? Est elle seulement mesurable ?

    Chaque souffrance est louable, il va sans dire je pense donc qu'il nous appartient de souffrir de moins en moins, voire pas du tout et de plus en plus.

    Et tout ceci en silence, à tout le moins dans l'intimité, si possible, évidemment.

    Bien à vous.

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