Nous allons avoir un gros problème avec la Russie selon le commandant des forces américaines en Europe.

Voilà ce que vient de déclarer le Général commandant les forces américaines en Europe : “Nous ne pouvons nous faire aucune illusion. À la fin du conflit en Ukraine, quelle qu’en soit l’issue, nous serons confrontés à un très, très gros problème russe. Nous nous retrouverons dans une situation où la Russie retrouvera son pouvoir, atteindra les frontières de l’OTAN, dirigée par presque les mêmes personnes qu’aujourd’hui, et ils seront convaincus que nous sommes des ennemis et très, très méchants.”

Chay Bowes

@BowesChay

The commander of American forces in Europe, General Christopher Cavoli He basically accepts that the Russians will win in Ukraine and "End up on NATOs borders" "We will have a big Russia problem"

Vidéo

Il a évidemment raison dans son analyse.

Si les données des pertes Russes sont justes, je parle de celles communiquées par "le camp du bien" l’Otan, les centaines de milliers de jeunes russes tués ou blessés dans la guerre en Ukraine seront des centaines de milliers de bonnes raisons pour les Russes de nous traiter comme les ennemis que nous sommes objectivement. Dire cela ne fait pas de moi un pro-russe pas plus que de ce Général.

Soyons clairs.

Il y aura la paix et elle est inévitable. La seule question c’est après combien de morts se fera-t-elle ?

La Russie sera toujours là ce qui est moins sur pour l’Ukraine.

Si certaines guerres ne peuvent être gagnées, il en est de même de la paix.

La paix est très difficile à gagner.

Pourtant c’est elle qui mérite tous nos efforts.

Enfin, laissez tomber la propagande des médias qui vous font détester Poutine, exactement de la même manière qu’ils vous ont fait aimer un vaccin dont vous ne vouliez pas.

Préparez-vous !

Charles SANNAT                                          25 juillet 2024

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Washington déplore les effets dont il chérit les causes De son côté, Moscou dénonce régulièrement le rôle néfaste joué par l'OTAN à l'est de l'Europe et plus précisément dans le conflit ukrainien, la décrivant comme une «alliance ennemie». «Il s'agit d'une alliance créée dans une époque de confrontation et dans le but de maintenir la confrontation», a dernièrement dénoncé ce 11 juillet à la presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, au lendemain du sommet de l'Alliance atlantique à Washington. La Russie prendra des «mesures réfléchies, coordonnées et efficaces» afin de «contrer la menace sérieuse» posée le bloc militaire occidental, a-t-il ajouté. La Russie a dénoncé durant de nombreuses années l'élargissement de l'alliance militaire occidentale près de ses frontières. Une exigence que l'OTAN n'a pas écouté, conduisant selon Moscou à son opération en Ukraine. La neutralité de Kiev à l'égard de l'Alliance atlantique reste un objectif du Kremlin. Dans un discours de politique étrangère prononcé le 14 juin, le président russe avait indiqué que des négociations avec l’Ukraine pourraient être entamées dès lors que celle-ci retirerait ses troupes de ces régions, et accepterait d’opter pour un «statut neutre – non aligné, non nucléaire», évoquant aussi une «démilitarisation», une «dénazification» et une levée des sanctions contre la Russie.

En savoir plus sur RT en français: https://francais.rt.com/international/112599-ukraine-fin-conflit

Washington déplore les effets dont il chérit les causes De son côté, Moscou dénonce régulièrement le rôle néfaste joué par l'OTAN à l'est de l'Europe et plus précisément dans le conflit ukrainien, la décrivant comme une «alliance ennemie». «Il s'agit d'une alliance créée dans une époque de confrontation et dans le but de maintenir la confrontation», a dernièrement dénoncé ce 11 juillet à la presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, au lendemain du sommet de l'Alliance atlantique à Washington. La Russie prendra des «mesures réfléchies, coordonnées et efficaces» afin de «contrer la menace sérieuse» posée le bloc militaire occidental, a-t-il ajouté. La Russie a dénoncé durant de nombreuses années l'élargissement de l'alliance militaire occidentale près de ses frontières. Une exigence que l'OTAN n'a pas écouté, conduisant selon Moscou à son opération en Ukraine. La neutralité de Kiev à l'égard de l'Alliance atlantique reste un objectif du Kremlin. Dans un discours de politique étrangère prononcé le 14 juin, le président russe avait indiqué que des négociations avec l’Ukraine pourraient être entamées dès lors que celle-ci retirerait ses troupes de ces régions, et accepterait d’opter pour un «statut neutre – non aligné, non nucléaire», évoquant aussi une «démilitarisation», une «dénazification» et une levée des sanctions contre la Russie.

En savoir plus sur RT en français: https://francais.rt.com/international/112599-ukraine-fin-conflit

Washington déplore les effets dont il est la cause

De son côté, Moscou dénonce régulièrement le rôle néfaste joué par l'OTAN à l'Est de l'Europe et plus précisément dans le conflit ukrainien, la décrivant comme une «alliance ennemie». «Il s'agit d'une alliance créée dans une époque de confrontation et dans le but de maintenir la confrontation», a dernièrement dénoncé ce 11 juillet à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, au lendemain du sommet de l'Alliance atlantique à Washington. La Russie prendra des «mesures réfléchies, coordonnées et efficaces» afin de «contrer la menace sérieuse» posée le bloc militaire occidental, a-t-il ajouté. La Russie a dénoncé durant de nombreuses années l'élargissement de l'alliance militaire occidentale près de ses frontières. Une exigence que l'OTAN n'a pas écoutée, conduisant selon Moscou à son opération en Ukraine. La neutralité de Kiev à l'égard de l'Alliance atlantique reste un objectif du Kremlin. Dans un discours de politique étrangère prononcé le 14 juin, le président russe avait indiqué que des négociations avec l’Ukraine pourraient être entamées dès lors que celle-ci retirerait ses troupes de ces régions, et accepterait d’opter pour un «statut neutre – non aligné, non nucléaire», évoquant aussi une «démilitarisation», une «dénazification» et une levée des sanctions contre la Russie.

Hannibal Genséric