mardi 17 septembre 2024

Branlant OTAN. Le changement s’est produit si vite que certains membres de l’OTAN ont eu le coup du lapin !

MIEUX encore :

Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a provoqué un tollé en annonçant aujourd'hui que « les pays de l'OTAN n'ont pas encore de consensus pour inviter l'Ukraine à rejoindre l'Alliance ».

Eh bien. Qu'en pensez-vous, ÇA, pour un sérieux revirement ?  

Il me semble que les États-Unis et l’OTAN ont finalement commencé à comprendre que les Russes ne plaisantent pas, et ne bluffent pas. 

ENFIN une brève pause dans la folie qui pousse les USA et l'UE vers une guerre que personne ne veut et que personne ne gagnera. Une guerre que nous perdrions tous.

Voyons si ce bref accès de raisonnement tient. CELA PEUT NE PAS tenir, compte tenu des précédents mensonges et arnaques... Il est déjà question d'autoriser cela après une prochaine réunion des Nations Unies.

Plus que je ne le pense...

La Grande-Bretagne ne permettra pas à l’Ukraine d’utiliser des missiles à longue portée contre des cibles en Russie sans l’accord des États-Unis.

Le Royaume-Uni ne fera pas cavalier seul, car les systèmes de guidage américains sont considérés comme essentiels pour garantir que les missiles atteignent leurs cibles.

(C'est précisément le point soulevé par le président russe Poutine jeudi dernier dans une interview télévisée. Il a déclaré au journaliste que les armes occidentales ont besoin de satellites pour les guider, et l'Ukraine n'a pas de satellites. Ces armes devraient donc utiliser des satellites américains, européens et de l'OTAN et si elles le font, CELA constituerait une implication directe des États-Unis, de l'UE et de l'OTAN dans le conflit. Ce serait une attaque de l'OTAN contre la Russie.)

Le gouvernement britannique estime que les États-Unis sont toujours susceptibles de donner leur feu vert lors de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, bien qu'il existe des divisions au sein de l'administration du président Biden.

Plus si je comprends...

Hal Turner Monde

L’administration Biden se prononce, pour l’instant, contre des frappes à longue portée sur la Russie

Il semble que l’administration Biden ait décidé, pour une fois, d’écouter ce que le président russe Poutine avait à dire.

Poutine a mis en garde contre une guerre entre la Russie et l’OTAN si les États-Unis et leurs alliés autorisaient l’Ukraine à utiliser les armes à longue portée qu’ils ont données contre des cibles en Russie. Poutine a affirmé à juste titre que ces armes ne peuvent être programmées et tirées que par du personnel formé dans le pays donateur.

La décision de ne pas autoriser de telles frappes était la bonne chose à faire, mais elle pourrait malheureusement être révisée ultérieurement :

Sir Keir Starmer quittait Washington vendredi soir sans qu’aucune annonce n’ait été faite quant à l’autorisation accordée à l’Ukraine de tirer des missiles à longue portée sur la Russie.

Le Premier ministre s’est entretenu avec Joe Biden à la Maison Blanche pour discuter des demandes de Volodymyr Zelensky à autoriser le pays à utiliser les missiles Storm Shadow.

Mais John Kirby, porte-parole du Conseil national de sécurité des États-Unis, a déclaré qu’il n’y aurait pas d’annonce sur les missiles à longue portée après la réunion. Il n’a pas exclu qu’une annonce soit faite ultérieurement.

Des sources du Foreign Office avaient indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un feu vert à la fin de la visite de Starmer, mais qu’il serait décevant qu’il reparte sans avoir pris de décision.

Après la réunion, Sir Keir a déclaré que les deux hommes étaient parvenus à une « position forte », mais il a laissé entendre que la décision finale sur le Storm Shadow avait été reportée à l’Assemblée générale des Nations unies, qui se tiendra à la fin du mois.

Il semble qu’il y ait une lutte au sein de l’administration Biden, où une partie des faucons du département d’État et du Conseil national de sécurité avait informé les médias d’une décision en faveur de frappes en profondeur, alors que le Pentagone s’oppose fermement à provoquer la Russie.

Les généraux savent ce que les armes russes pourraient faire à leurs actifs si la Russie décidait d’autoriser quelqu’un à leur tirer dessus.


Par Moon of Alabama – Le 14 septembre 2024

 

4 commentaires:

  1. Le Rosbifland hésite peut-être parce qu'au moins trois sous-marins russes montent la garde autour de lui avec des missiles hypersoniques sous le bras.

    Les Rothschild n'ont peut-être pas encore déménagé dans leur bunker en Australie parce que leur soucoupe volante est en panne ?

    Machin

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    1. Je pensais justement à ces trois sous-marins.

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  2. Et bien voilà une bonne nouvelle !
    Le "Rothschild Band" n'a pas pu jouer son morceau de musique préféré : "la guerre avec intérêt".
    Visiblement, ça a coincé du coté des militaires, de la Navy plus exactement. Même le Pentagone, avec tous ses bras cassés ultra bien payés et corrompus, a du la fermer et écouter ceux qui tiennent le pays, les marins.
    Bon, ceci dit, attendons de voir ce qui va se passer au sommet des Brics.
    Si réellement 159 pays peuvent échanger avec le "Brics Pay", c'est la mort du SWIFT ... et du dollar (et de l'Europe, et de l'Euro ?).
    Cet espèce de Bancor (voulu par Keynes, refusé par les Rothschild il y a plus de 80 ans), serait une monnaie mondiale, non adossée à un pays. Grosso modo un pays achète du Bancor dans sa monnaie pour échanger quelque chose avec son voisin.
    Le Grèce avait du sortir son drapeau blanc parce qu'on lui avait bloqué l'accès au SWIFT.

    Si cela va vraiment au bout, les implications seront très importantes :

    1/ mort à terme des échanges mondiaux (90% du volume des échanges commerciaux) sur la finance monétaire (les PIB occidentaux vont baisser)
    2/ si un pays est en déficit commercial, sa monnaie perdra de la valeur, mais d'un autre coté il deviendra plus compétitif et devra se serre la ceinture sur ses importations.
    3/ l'exportateur fou, verra sa monnaie prendre de la valeur, et sa compétitivité baisser
    4/ la création monétaire sera punie de suite avec ce système et les financiers qui vivent de la dette ne pourront plus nous faire les poches par les impôts pour payer l'intérêt (et le capital)
    5/ le dollar est mort à terme (quelques mois à quelques années en fonction de la négociation qui va s'engager), ou c'est la guerre, mais visiblement l'empire recule.

    C'est une attaque directe à la finance occidentale !

    Donc il y a 3 solutions : 1 système mondiale basé sur "Brics Pay", 2 systèmes hermétiques qui ne commercent presque plus ensemble (SWIFT et Brics Pay, mais à terme le clan du swift se fracturera), soit c'est la WW3 (mais visiblement les US ne sont pas disposés "aujourd'ui").
    Attendons de voir la suite des évènements.

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  3. Ca se chie dans son froc de rabbi pedo

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