Il est précisé qu’ils ont chanté pendant la minute de silence pour les victimes des intempéries de Valence. L’article ajoute qu’ils ont entonné des chants racistes envers les Arabes… Bref, le texte reprend toutes les preuves qui sont disponibles par centaines sur Internet.
Choquant, consternant et déplorable de voir la presse parisienne soutenir des actions barbares de hooligans indignes qui n’ont pas hésité une seconde à salir la mémoire des 300 victimes des intempéries de Valence. Comment la France peut-elle expliquer, aussi bien son exécutif que son quatrième pouvoir médiatique, avoir soutenu l’entité sioniste criminelle contre un peuple frère européen, le peuple espagnol ?
On vous laisse également imaginer le cas inverse, des supporters russes siffler une minute de silence contre les victimes ukrainiennes voire entonner des chants racistes appelant au meurtre de toute une population !
La presse française est la pire du monde
On peut également remarquer dans le papier ci-dessous d’El Salto que le journaliste a immédiatement repris une analyse politique de ce qui se passe à Tel-Aviv, notamment le départ du ministre de la Défense Yoav Galant et les émeutes locales contre Benyamin Netanyahou. Ce dernier est également empêtré dans de graves affaires de corruption, il doit passer au tribunal bientôt. Du coup, on comprend beaucoup mieux sa volonté de faire mousser un pseudo pogrom qui n’a jamais existé afin de maximiser la victimisation et pouvoir être maintenu à son poste encore quelques mois. C’est une fuite en avant ridicule qui démontre à quel point Netanyahou est un grand psychopathe.
Il est triste de constater encore une fois, c’est un fait, que la presse parisienne mais aussi la presse française en général, est la pire presse du monde entier. Il sera très compliqué de trouver un corps de métier aussi servile et aussi pathétique ailleurs dans le monde. Le journalisme français est devenu l’agence de propagande de l’armée sioniste reprenant systématiquement et docilement tous leurs communiqués.
Hooligans du Maccabi Tel-Aviv sifflant la minute de silence pour les victimes de Valence : vidéo
Les adeptes du Maccabi israélien jouent le rôle principal dans une journée d’émeutes et d’affrontements à Amsterdam
Israël envoie deux avions militaires aux Pays-Bas pour "sauver" les ultras de l’équipe de Tel-Aviv, tout en tuant au moins une centaine de personnes à Gaza et au Liban en seulement 24 heures.
Bien qu’Israël poursuive son agression contre la Palestine et le Liban, il n’a été retiré d’aucun organisme sportif ou culturel international. L’équipe Maccabi de Tel-Aviv, connue pour l’extrémisme de ses supporters, venait cette semaine jouer contre l’Ajax Amsterdam, dans le cadre de l’UEFA League. Bien que les organisations sportives lui aient permis de jouer le match jeudi après-midi, la présence de cette équipe en plein génocide n’a pas été saluée par une grande partie de la population. Pendant le match, les supporters israéliens ont boycotté la minute de silence dédiée aux victimes de Valence.
Déjà à la veille de la réunion sportive, les partisans de Maccabi ont décidé de montrer leur présence dans la ville, déchirant et brûlant les drapeaux palestiniens qu’ils ont trouvés sur leur chemin et mettant en vedette des affrontements avec la police quand ils se sont concentrés sur le quartier général de Dam Square. Les autorités de police ont en effet affirmé qu’il y avait eu une vingtaine d’arrestations pour désordre public et possession illégale d’explosifs. Vidéo
Après un match dans lequel ils ont perdu 5 – 0 contre l’Ajax à Amsterdam, les ultras – qui ont scandé des chansons contre les Arabes et justifiant les attaques contre Gaza – ont organisé des affrontements avec des manifestants pro-palestiniens qui étaient venus à proximité du stade pour montrer leur indignation. Après les incidents, le ministère sioniste des Affaires étrangères a dénoncé que 10 partisans de Maccabi avaient été blessés, Israël va donc assigner une mission militaire avec des avions médicaux pour sauver et rapatrier ses citoyens. Benjamin Netanyahou lui-même était chargé d’annoncer la mission de sauvetage.
Crise en Israël
Le limogeage du ministre de la Défense Joav Gallant, rapporté au milieu de la nuit électorale des États-Unis, le 5 novembre, a conduit à une émeute dans la vie politique israélienne déjà mouvementée. Le licenciement a produit des émeutes à travers le pays, exigeant la démission de Netanyahou, qui a justifié sa décision en se référant à une crise de confiance «avec son détenteur de la défense. Les manifestants ont également exigé un accord pour libérer les prisonniers du Hamas, dans un cadre indiquant que le Premier ministre a échoué à cet égard, l’un des fronts de choc entre le ministre des Affaires étrangères sortant et le chef du pays».
L’ancien ministre, remplacé par celui lié à Netanyahou et jusqu’à mardi ministre des Affaires étrangères, Israël Katz, a expliqué jeudi aux médias que son licenciement répondait à plusieurs désaccords : le premier concernant le prix à payer pour récupérer les captifs à Gaza. L’ancien ministre a déclaré que dès juillet, lui et les dirigeants militaires considéraient que c’était le bon moment pour parvenir à un cessez-le-feu, et a également défendu le fait que les objectifs à Gaza étaient atteints, de sorte que la présence de troupes israéliennes dans la bande n’aurait pas de sens. Un autre désaccord concernait le recrutement obligatoire des ultra-orthodoxes, un pari décidé par le déjà ex-ministre.
Alors que Netanyahou a profité mardi pour annoncer le retrait de Gallant, la victoire de Trump a apporté de la joie parmi les troupes sionistes, en particulier l’un de ses soldats a été filmé tirant un lance-grenades sur les bâtiments de Gazati, un fait que l’armée israélienne a affirmé à l’agence Associated Press qui sanctionnerait. Dans la vidéo, qui a largement circulé sur les réseaux sociaux, le soldat, avant de tirer sur les bâtiments résidentiels déjà détruits, a déclaré avec rire «cela vaut pour la présidence de Donald Trump. Que Dieu bénisse l’Amérique ! Que Dieu bénisse Israël !».
Les émeutes internes n’ont pas ralenti le nettoyage ethnique à Gaza ni l’offensive contre le Liban : en seulement 24 heures, 100 personnes ont été tuées dans les deux territoires, dont 42 seules dans le nord assiégé de Gaza, 12 dans une attaque contre une école qui abritait des personnes déplacées dans le camp de réfugiés de Shati dans la ville de Gaza. Au total, 43 469 Palestiniens sont tués et 102 561 blessés, selon les chiffres officiels de Gaza. Dans le nord de la bande, au moins 95 000 personnes n’ont pas accès à la nourriture ou à l’eau à la suite du siège israélien, selon les Nations unies. Hier, jeudi, une porte-parole de l’agence, Stephanie Tremblay, a déclaré que l’accès n’avait été autorisé qu’une seule fois au cours du dernier mois pour transporter des fournitures médicales.
Le 5 novembre, le journal Haaretz a publié des déclarations de hauts niveaux de l’armée israélienne dans lesquelles il a été souligné que les personnes expulsées du Nord de la bande ne pourront pas revenir, conformément aux soupçons de nettoyage ethnique programmé que les organisations de défense des droits de l’homme dénoncent depuis longtemps dans le cadre du soi-disant Plan général, qui comprendrait l’annexion de parties considérables de la bande. Pendant ce temps, l’armée d’occupation s’est distanciée jeudi des déclarations divulguées aux médias israéliens, insistant sur le fait que leur plan n’est pas l’adhésion du territoire.
En Cisjordanie, les forces israéliennes ont tué treize Palestiniens en un peu plus d’une semaine, faisant 26 blessés. Outre les attaques de l’armée, qui empêchent également le Croissant-Rouge d’avoir accès aux blessés, les colons ont mené 35 attaques contre des Palestiniens en Cisjordanie, selon des informations des Nations unies. Parallèlement à l’offensive militaire continue, Israël renforce l’apartheid du flanc législatif. Une loi adoptée cette semaine sur le Knesset permet la déportation de citoyens israéliens d’origine palestinienne lorsque quelqu’un autour d’eux «a planifié ou commis une attaque contre Israël».
«La loi autorise également cette expulsion s’il est déterminé que la personne était au courant des intentions du membre de sa famille et ne l’a pas signalé ou s’il soutient ou sympathise avec ce qu’Israël appelle les organisations terroristes». Il convient de rappeler que le Parlement israélien a également voté le 28 octobre pour interdire l’Agence des Nations unies pour les Réfugiés Palestiniens (UNRWA), une décision aux conséquences désastreuses pour des centaines de milliers de Palestiniens, selon les organisations de défense des droits de l’homme.
«Dans le cas du Liban, les personnes tuées atteignent déjà 3102, avec 13.819 blessés. Dans le sud du pays, Israël a blessé hier six membres de la FINUL malaisienne dans une frappe aérienne sur un véhicule voisin dans la ville de Saida dans laquelle l’armée sioniste a tué trois personnes, une action militaire que les autorités libanaises ont définie comme un crime de guerre». Compte tenu de la situation, l’évacuation des citoyens étrangers se poursuit, les derniers ont été les Russes, avec un avion qui a rapatrié 89 citoyens de ce pays hier. La décision fait suite à celle prise précédemment par des pays tels que l’Australie, le Canada, le Royaume-Uni, la Chine, la Turquie ou la France.
source : via Réseau International
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VOIR AUSSI :
- Le Mossad a organisé un "spectacle de pogrom" à Amsterdam. Fera-t-il la même chose à Saint-Denis ?
- L'Occident enterre le génocide en cours et promeut la violence islamophobe et anti-arabe
Hannibal Genséric
L'espagne est frappée, je pense, par les armes climatiques car elle a refusé de livrer des munitions aux ashkénazes qui occupent Jérusalem
RépondreSupprimerJ'ai eu la même pensée. Et il y a de forte chance que ce soit vrai.
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