Erika Kirk liée à des accusations criminelles de trafic d'enfants en Roumanie – Black-out médiatique

Des documents juridiques explosifs révèlent que l' association à but non lucratif d' Erika Kirk était liée à une enquête officielle sur le trafic d'enfants en Roumanie - une enquête menée par les autorités locales, et plus tard discrètement rejetée.

Selon les médias grand public, l'affaire est close. Mais en creusant un peu plus, on commence à comprendre.

Parce que ces enquêteurs n'ont jamais eu le contrôle total. Leur juridiction avait déjà été cédée à des structures de commandement étrangères opérant en Roumanie.

Le même réseau dans lequel les parents d’Erika étaient profondément intégrés.

Et voici la partie qu’ils ne veulent pas que vous sachiez : nous avons les reçus, la correspondance et les documents officiels pour prouver chaque élément.

Donc oui, l'affaire a été classée. Mais pas parce qu'il n'y avait rien à trouver… Parce qu'on ne leur a jamais  permis  de le trouver.

Pendant des années, Ana Maria Nuciu a mené une vie apparemment normale. Elle travaillait comme traductrice à la base militaire de l'OTAN à Kogălniceanu, en Roumanie, une professionnelle discrète parmi les militaires.

Mais Ana Maria n'était pas une traductrice comme les autres. Sa position lui donnait accès à des cercles de haut rang : officiers supérieurs, envoyés diplomatiques, et même à des visites de responsables américains comme le vice-président de l'époque, Joe Biden.
Elle était digne de confiance. Connectée. Intime.

Et c’est exactement ce qui a rendu ce qu’elle a découvert si explosif.

Son bureau était juste à côté de celui du commandant de la base, le colonel Otto Busher de l’équipe de soutien de la zone de la mer Noire.

Elle a vu qui allait et venait. Elle a entendu les conversations. Elle a signalé avoir vu des mineurs emmenés à la base – et, après vérification, ils n'étaient pas enregistrés comme visiteurs.

Elle en avait vu assez pour savoir que quelque chose se passait derrière ces portes, mais elle ne pouvait simplement pas le prouver.

Puis un jour, une simple erreur a tout changé.

On lui a accidentellement donné un ordinateur portable qui n'avait pas été correctement effacé par le service informatique, un ordinateur qui avait été utilisé auparavant par l'un des assistants de Busher.

À l'intérieur se trouvaient des dossiers, des courriels et des journaux qui, selon elle, révèlent ce qui se passait réellement sur la base :
un bordel secret fonctionnant sous le nez du commandement de l'OTAN, où des filles mineures étaient amenées pour divertir les soldats de l'OTAN.

Et au centre de tout cela — Busher lui-même, avec son bras droit, l'adjudant principal Lloyd Sparks.

Le même Busher qu'Erick Kirk a un jour remercié publiquement  « pour tout »  ce qu'il avait fait pour son association à but non lucratif créée pour aider les jeunes enfants et les orphelins — et qui était située à l'intérieur de cette même base.

Lorsqu'Ana Maria a tenté de parler, les menaces ont immédiatement fusé. Un soldat l'a avertie –  sur bande sonore  – qu'il la renverserait avec sa voiture si elle parlait. Mais elle n'a pas arrêté.

Elle s'est rendue directement au parquet et a déposé plainte. Une enquête a été ouverte, mais elle n'a pas duré longtemps.

Car, en vertu d'un accord de 2001 entre la Roumanie et les États-Unis, les autorités locales n'avaient aucune compétence pour enquêter sur les soldats américains. Elles avaient les mains liées avant même le début de l'affaire.

Le dossier a été discrètement clos, et l'histoire enterrée.

Car une fois que vous comprenez qui étaient réellement les parents d’Erika – tous deux profondément ancrés dans le complexe militaro-industriel, avec des liens de longue date avec Israël – le tableau commence à changer.

Comment une jeune fille de l'Arizona peut-elle se retrouver à diriger une organisation à but non lucratif axée sur les enfants  dans  une base de l'OTAN en Roumanie ?

Et lorsque vous reliez ces points, il devient clair pourquoi une affaire de trafic d’enfants liée à elle n’aurait jamais été étudiée.

Mais Ana Maria n'a pas cédé. Elle a déposé une nouvelle plainte, cette fois auprès de la DIICOT, l'agence roumaine contre le crime organisé, et a exigé que le « dossier Kogălniceanu » soit lié à la tristement célèbre  affaire Caracal-Deveselu , où deux adolescentes ont été enlevées et prétendument tuées.

Elle a affirmé que les mêmes réseaux de trafic opéraient dans les deux pays.

Et elle dit qu’elle peut le prouver — avec des documents, des enregistrements et cet ordinateur portable rempli de preuves.

Donc oui, l'affaire a été classée. Mais pas parce qu'ils n'ont rien trouvé… Parce qu'ils n'ont jamais été  autorisés  à le trouver.

Mais tout cela est sur le point de changer.

Des liens étroits d'Erika Kirk avec un homme accusé de manière crédible dans la presse roumaine de trafic sexuel d'enfants, au siège discret de sa mère au conseil d'administration d'une société qui aurait transmis les données des utilisateurs de TPUSA à Israël, le schéma devient impossible à ignorer.

Cette histoire est dénuée de tout sens. Les grands médias et l'État d'Israël soutiennent Erika Kirk et TPUSA, clamant leur innocence. Ils parlent d'une campagne de diffamation, d'un malentendu, d'une affaire classée.

Mais dans les rangs, patriotes et lanceurs d'alerte affirment le contraire. Des hommes et des femmes qui ont porté l'uniforme, qui ont vu ce qui se passe derrière les grilles, se manifestent pour dire que la version officielle ne tient pas.

Le rapport balistique ? Incohérent. L'autopsie ? Couverte. Le « pigeon » accusé ? Une fiction bien commode.

Tout cela fait partie d'un plan visant à dissimuler la vérité, selon l'homme qui a tué Ben Laden, Rob O'Neill.

Il y a eu bien assez de conneries. Des affaires criminelles discrètement étouffées aux mensonges et illusions propagés par les médias grand public et leurs soi-disant vérificateurs de faits, cette campagne incessante vise à vous maintenir dans la confusion et à vous maintenir dans l'obéissance.

Et maintenant, le récit officiel du FBI ? Il est tellement incomplet que c'en est presque insultant – comme s'ils vous mettaient au défi de remettre en question la réalité elle-même.

George Orwell nous avait prévenus que ce jour viendrait, où l'on nous dirait que le haut est le bas, que la guerre est la paix et que l'ignorance est la force. Et c'est exactement ce qui se passe actuellement.

21 octobre 2025

Jonas E. Alexis, rédacteur en chef