Et la recommandation amplement exécutée. À Preuve : la majorité des États européens a adopté la politique "d’exécution ou d'élimination" des personnes âgées vulnérables. En l’espace de trois ans, à la faveur de la pandémie de Covid-19 politiquement instrumentalisée, plusieurs pays ont légalisé «le permis de tuer» les malades, dénommé par euphémisme «loi de fin de vie». Autrement dit euthanasie, qui rime avec nazi (eutha-nazie).
Le dernier chef d’État européen à initier l’adoption d’une loi ouvrant, selon la terminologie euphémisante élyséenne, une «aide à mourir»,
est le président français, Emmanuel Macron. Mais en fait de loi pour
une «aide à mourir», il s’agit plutôt d’une loi qui fait mourir. Qui
nourrit la mort. Une loi assassine ! «Il
ne s’agit pas d’aide à mourir dans la dignité mais du business
d’élimination des plus faibles» (Louis Fouché) – les 7 du quebec.
Pour rappel, euthanasie signifie faciliter la mort au moyen d’une injection ou administration d’une substance létale, par conséquent cela revient à provoquer la mort... à tuer, "légalement". Or, en l’espèce, le corps médical, totalement aligné sur l’idéologie belliqueuse et génocidaire de leurs gouvernements atlantistes, transgresse le Serment d’Hippocrate : «Je ne provoquerai jamais la mort délibérément».
Si, depuis le début de l’ère moderne, le cabinet médical d’un médecin servait jusqu’à présent à soigner, à sauver la vie, dorénavant il servira à abréger la vie, à donner la mort, c’est-à-dire à tuer des patients. C’est un basculement anthropologique et sociologique. Une "entreprise" (un crime) étatique euthanasique génocidaire... un crime contre l'humanité.
En cette période de crise économique et, surtout, de guerre généralisée, donc de réarmement nécessitant des centaines de milliards d’investissement, l’euthanasie devient un moyen de régulation des coûts des retraites et de la santé. Autrement dit, pour les gouvernants et puissants européens l’euthanasie (médicale, sociale et économique) constitue une variable d’ajustement radicale censée réduire les coûts d’entretien de personnes «improductives», «inutiles», incapables de mourir sur le front de guerre du capital... en Ukraine ou ailleurs.
En ces temps troublés, le capitalisme occidental, renouant avec sa culture mortifère et ses démons génocidaires, s’apprête en effet à livrer à la mort, et sa jeunesse endoctrinée et ses seniors vulnérables et abrutis de propagande guerrière. La première, par la guerre généralisée déjà engagée en Ukraine (bientôt étendue à la Russie, puis à la Chine, cible principale de l’OTAN). La seconde, par la politique d’euthanasie (politique d’État nazi) en voie de légalisation dans tous les pays européens.
Quant au reste de la population européenne, elle est déjà précipitée dans la paupérisation absolue du fait des mesures sociales criminelles instaurées par tous les gouvernements européens : sanctions économiques irrationnelles contre la Russie, orchestration des pénuries des matières énergétiques, de l’inflation spéculative. Les populations européennes, après avoir été gouvernées par la peur (terreur) au moment de la pandémie de Covid-19 politiquement instrumentalisée, elles sont désormais gouvernées par la mort. La mort est devenue leur unique horizon (oraison) funèbre.
Ainsi, l’Occident, en particulier l’Europe, renoue avec son culte du meurtre collectif, ses traditions mortifères, ses mœurs macabres. Cela a commencé avec la "plandémie" du Covid où l’Occident aura profité de l’opportunité virale "épidémique" instrumentalisée pour faire le vide démographique, c’est-à-dire purger de ses habitants surnuméraires (sur 6 millions de décès liés au Covid, plus de 70% des morts ont été enregistrés en Occident décadent et sénile : 2,3 millions en Europe otanienne, 1,1 million aux États-Unis, sans compter les autres pays occidentaux, Australie, Canada, etc.). Cela continue avec la guerre en Ukraine, provoquée, attisée et alimentée par les pays atlantistes, première étape de la guerre généralisée planifiée par l’Occident belliqueux, guerrier et génocidaire.
Somme toute, l’Europe parachève sa politique exterminatrice, outre par l’application de mesures antisociales meurtrières, matérialisées par l’inflation et la dette spéculative socialement assassine et les pénuries énergétiques machiavéliquement orchestrées, par l’adoption de la loi légalisant la mise à mort des personnes âgées vulnérables et dites improductives (sic). Ce n’est pas étonnant. Ni détonant.
C’est dans les périodes troublées que la bourgeoisie occidentale dévoile sa véritable nature barbare, ses pulsions meurtrières, sa hideuse figure psychopathique... À titre d'exemple voir le génocide sioniste/nazi contre Gaza: Pour 84% des Israéliens: Tsahal, l’armée terroriste du génocide à Gaza, fait un « excellent travail d’extermination » (!?…) – les 7 du quebec
Au vrai, l’Europe n’a jamais renoncé à son culte de la mort, à son addiction aux jeux de massacre, c’est-à-dire à ses activités compulsives génocidaires. Son Addiction aux crimes de masse n’est plus à démontrer. On peut dire que la Guerre est l’opium de la classe dirigeante européenne... toujours à la poursuite du profit, de la plus-value et du capital à accumuler.
Les dirigeants européens passent leur temps à se shooter à la poudre explosive, à se défoncer à mort (mais en faisant éclater les corps de leurs respectifs peuples et des peuples aux richesses convoitées).
L’Europe, en particulier son avorton, les États-Unis, ce «Frankenstein étatique», devenu le monstre dominateur, incontrôlable et exterminateur du monde, sans oublier son dernier né, Israël, est dirigée depuis des siècles par des serial killers gouvernementaux. Des tueurs étatiques en série. Des chefs d’État psychopathes, qui n’hésitent pas à appuyer sans état d’âme sur le Bouton nucléaire (Hiroshima et Nagasaki), à ériger des camps d’extermination (Hitler et Netanyahu), à décimer le jour de la fête des Libérations nationales du joug nazi des milliers d’habitants d’un pays colonisé, car ils se sont joints aux festivités des Libérations pour réclamer également l’indépendance de leur nation : l’Algérie (Sétif, Guelma et Kherrata, 8 mai 1945). Cette France massacreuse réitérera son entreprise génocidaire au cours des années 1954-1962 en exterminant 1,5 millions de martyrs algériens... et ça continue dans les néo-colonies arabes...
Quand on sait que tous les gouvernants occidentaux inhalent la funèbre «philosophie attalienne» saupoudrée de sionisme suprémaciste et génocidaire, on comprend mieux pourquoi leur gouvernance exhale (exalte) la mort.
À cet égard, il est utile de rappeler que, bien avant le début de notre millénaire apocalyptique (marqué par deux profondes crises économiques en l’espace d’une décennie – 2008 et 2020/2024 -), à la fin du siècle dernier, lors de la réunion des principaux dirigeants du monde capitaliste, tenue à Hôtel Fairmont de San Fransisco en 1995, cinq cents convives (parmi lesquels figuraient George Bush père, Margaret Thatcher, Václav Havel, Bill Gates, Ted Turner, Zbigniew Brzezinsky) avaient envisagé que, dans la future société hautement technologique, 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale pour les riches. En d’autres termes, 80% de la population mondiale deviendraient inemployables, donc inutiles, surnuméraires. Avec la volonté du grand capital occidental d’accélérer actuellement la robotisation et la dématérialisation de l’économie, donc l’expulsion de millions de salariés de la production, les prévisions des puissants du monde se concrétisent. Et, par extension, le programme d’élimination des surnuméraires en voie d’exécution par les autorités étatiques, ces succursales du grand capital financier.
C’est dans cette dynamique génocidaire mondialisée orchestrée par les puissants qu’il faut inscrire la politique de dépénalisation de l’euthanasie médicale actée par l’arrêt des soins des malades ; la politique d’euthanasie sociale matérialisée par le démantèlement des services sociaux, la destruction des hôpitaux, l’institutionnalisation de l’hyperinflation, cet impôt indirect structurel.
Tout comme la politique d’euthanasie nutritionnelle, expérimentée actuellement en Palestine occupée, notamment à Gaza. Cette politique de l’extermination nutritionnelle est appelée à se généraliser à l’échelle planétaire. Gaza constitue le laboratoire de cette politique d’anéantissement nutritionnel, La préfiguration d’un ordre mondial où la vie des uns, les nantis, le peuple élu des riches, vaut moins que celle des autres, prolétaires et colonisés. Voir à propos de cette problématique «Il ne s’agit pas d’aide à mourir dans la dignité mais du business d’élimination des plus faibles» (Louis Fouché) – les 7 du quebec
Cette politique d’euthanasie nutritionnelle ne relève pas d’une dérive improvisée, elle prolonge cette logique euthanasique sociale et médicale organisée depuis longtemps par les capitalistes occidentaux. Cette politique de sous-nutrition méthodique et de privation alimentaire systématique vise à provoquer l’épuisement absolu des populations et, à terme, leur extermination.
Comme on le constate actuellement à Gaza. Par la stratégie du blocus prolongé, des destructions des infrastructures agricoles, anéantissement des systèmes d’eau et d’assainissement, interruptions d’approvisionnement, Israël ne vise pas seulement à affaiblir les Palestiniens, mais à produire l’effondrement social et économique de toute la société palestinienne. Ultime étape avant sa disparition nationale et ethnique définitive.
Cette politique d’affamement nutritionnel s’inscrit dans une logique de normalisation et de banalisation d’extermination de certaines populations considérées comme inutiles ou nuisibles au maintien du capital dans sa forme purifiée de ses surnuméraires, tel qu’il a été planifié lors de la réunion organisée à l’Hôtel Fairmont de San Fransisco en 1995.
Cette politique d’euthanasie nutritionnelle appliquée à Gaza ne peut donc être dissociée d’une économie capitaliste mondialiste plus globale, où la privation alimentaire devient un instrument de gouvernance des puissants plus que jamais déterminés à mettre en œuvre leur plan d’anéantissement des populations considérées comme inutiles et indésirables, par la destruction méthodique de leurs conditions de vie.
L’euthanasie nutritionnelle se fonde non pas sur le massacre instantané mais sur l’anéantissement différé, soutenu par la stratégie de normalisation de la déshumanisation des populations ciblées.
Comme cela s’expérimente actuellement à Gaza où l’affamement systématique participe d’une politique d’anéantissement différé des populations palestiniennes soumises à une nouvelle forme de colonisation fondée sur la raréfaction, la disparition graduée, l’extinction lente. À Gaza, laboratoire d’expérimentation, la faim devient une politique de l’extermination différée, une méthode d’euthanasie par privation alimentaire, par épuisement progressif, rendus possibles par l’ensemble des complicités étatiques internationales. Voir
En Palestine occupée, en particulier à Gaza, Israël mène une guerre euthanasique opérée au moyen de la destruction de la santé, du bien-être, du tissu social et du cadre politique et institutionnel, prémices de la disparition de la nation palestinienne.
L’anéantissement
des Palestiniens s’inscrit dans le cadre de la future société mondiale
hautement technologique où 20% de la population active suffiraient pour
faire fonctionner l’économie capitaliste planétaire. En d’autres termes,
où 80% de la population mondiale deviendraient inemployables, inutiles,
surnuméraires. Donc vouée à disparaître par euthanasie notamment
nutritionnelle, ou sous d'autres formes, c’est-à-dire pénuries
alimentaires et malnutrition orchestrées par les puissants.
Source
Par Khider Mesloub et Robert Bibeau.
Oui, mais à part la poignée de lecteurs de ce site et de quelques autres sites d'information alternative, est-ce que les gens vont se réveiller, ou continuer à dormir devant leur télé de propagande et de lavage de cerveau ?
RépondreSupprimerLagarde n'est-elle pas en fin de vie, elle aussi ?
RépondreSupprimerOui, elle devrait donner l'exemple en mettent fin à ses jours.
SupprimerQuoi d'étonnant ? Dans leur esprit c' LOGIK.....Ce n'est pas rentable pour un kapitaliste de supporter durant des années des gens qui ne produisent plus RIEN ! Les vieilles vaches laitières sont toujours envoyées à l'abattoir.....Comme ils considèrent les peuples comme du bétail...La boucle est bouclée......Et on a achève bien les chevaux.......
RépondreSupprimerQu'en pense J. Attali maintenant qu'il a 82 ans ?
Comme Lagarde, ce monsieur Attali devrait donner l'exemple....
SupprimerC' DISCUTABLE......car à y regarder de trop près.....Au moins 60% des humains sont du BETAIL..... Aussi la question se pose: On leur donne à manger,boire, jouer, forniquer et dormir et ils sont contents.....HEUREUX MÊME! De NATURE..... La MASSE est DOCILE et SOUMISE......SEUL 1% BOUGE..... et ce sont ceux là que les tenants du POUVOIR de TOUS les POUVOIRS cherchent à amadouer....intimider...à contrôler et au besoin à ÉLIMINER.....Et si la CAROTTE et le BÂTON ne suffisent plus.....Alors on fait rentrer la RELIGION.....
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