Un nouveau
rapport préparé par le Bureau du Président (OP)
Poutine circulant dans le Kremlin d'aujourd'hui (17/12/2015) indique que des
événements d’une importance historique viennent d’avoir lieu ces dernières 72
heures entre la Russie et les États-Unis.
Ils consacrent la victoire totale du Président Poutine et la défaite de Barack Obama. Ce dernier vient d'ordonner un
"repli stratégique pour réévaluation" des forces américaines opérant
contre l’État islamique (Daech) et contre d’autres terroristes au
Levant.
Ceci signifie aussi une "débâcle
complète" des médias américains, et plus particulièrement des deux supers
menteurs de l’"Axe
de la propagande" que sont le New York Times et le Washington Post,
dont les mensonges éhontés sont maintenant patents pour le monde entier.
Selon ce
rapport, dans une série de réunions tenues à Moscou entre le secrétaire d’État
américain John Kerry, le M.A.E. Lavrov, et le président Poutine, les Russes ont
soumis aux Américains un "avis immédiat" disant que « le jeu de gamins » des États-Unis en
Syrie et en Irak était terminé et que l’option d'une guerre nucléaire entre
l'Amérique et la Russie était "sur la table".
Après avoir
présenté au secrétaire Kerry l'ensemble des preuves que la Russie possède,
concernant les nations et les services de renseignement qui soutiennent DAECH,
ainsi que des courriels secrets compromettants de l’ex-secrétaire d’État américaine Hillary Clinton, et de l’actuel secrétaire à la Défense, Ash
Carter, obtenus par le Service fédéral de sécurité (FSB)
, Obama a immédiatement "jeté l’éponge"
et a décidé des évènements historiques suivants en vue d'obtenir la
paix dans cette région.
- Les USA ne
demandent plus de changement de régime en Syrie, ce que demandait Obama il y a à
peine 4 semaines.
- Le vice-président
américain Joseph Biden a ordonné à la Turquie de retirer immédiatement ses
troupes d'Irak, alors qu’il y a seulement 6 jours, le Département d’État américain a refusé de reconnaître l'existence de troupes turques
en Irak.
- Le
Pentagone a ordonné le retrait immédiat des avions de combat F-15 américains stationnés en Turquie et qui constituaient une
menace pour les forces aérospatiales russes.
- Obama a accepté de se joindre à la
Russie pour présenter une résolution à l'ONU visant à couper tout financement à
Daech, et de sanctionner les États récalcitrants.
Afin d’aider Obama à changer d’attitude vis-à-vis de Daech, un autre document essentiel lui a été soumis. Il détaille les tentatives de DAECH, ces dernières semaines, de détruire ou de bloquer INTERNET au niveau mondial. En effet, une attaque massive a été menée par DAECH, qui, si elle avait abouti, aurait plongé les États-Unis dans un chaos total. L’expert en cyber sécurité bien connu, John McAfee, a averti que l’effet d’une telle attaque aurait été "plus dévastateur que toute guerre nucléaire».
Cette attaque a été lancée à partir
de serveurs et d’adresses
IP appartenant au gouvernement britannique , mais ce dernier prétend
les avoir vendus à l'Arabie Saoudite.
Sachant qu’Obama
a décidé de suivre Potine, l'Arabie saoudite a immédiatement annoncé qu'elle
formait sa propre coalition de 34 pays, essentiellement musulmans sunnites [1] , pour
lutter contre l'État islamique sans le soutien américain, et que la Turquie
considère comme une association idéologique plutôt qu'une alliance militaire.
Pour montrer
que cette évaluation turque de la coalition saoudite contre l’État islamique est
vraie, la première «attaque» de cette coalition a été lancée contre le candidat présidentiel
américain Donald Trump et non pas contre des terroristes, alors que le
président Poutine a salué Donald Trump [3] en disant que c’est une personnalité brillante et
talentueuse et qu’il est
certainement le leader absolu de la course présidentielle .
Heureusement
pour Obama, qui, évidemment, ne veut pas participer à la Troisième
Guerre mondiale, le rapport conclut, que les Forces aérospatiales russes pourront
désormais se concentrer entièrement sur le «coup de poignard dans le dos"
du gouvernement turc (qui a abattu un bombardier russe au-dessus de la Syrie)
sans trop se soucier des avions américains.
Le président
Poutine a averti sans ambages les amis de l’État islamique:
«Ils
[les autorités turques] pensaient que nous allions fuir, la queue entre les pattes!
Non, la Russie n’est pas ce genre de pays. Nous avons augmenté notre présence en
Syrie, nous avons augmenté le nombre d'avions de combat. Il n'y avait pas de
système de défense antiaérienne russe en Syrie. Maintenant il y a des S-400.
Si, auparavant, la Turquie avait l’habitude de violer impunément l'espace
aérien syrien, qu’ils essayent maintenant [2] ".
Les S-300 et S-400 russes clouent les avions américains
au sol
Le déploiement par la Russie des systèmes sophistiqués de
défense aérienne en Syrie, dans le cadre de la campagne aérienne de Moscou
contre Daesh (ISIL) et d’autres terroristes, a forcé les Etats-Unis à mettre
fin aux « vols habités » dans certaines parties du pays, dit un
responsable du Pentagone.
Selon BloombergView de jeudi, le porte-parole du Pentagone
actuel, Jeff Davis, a admis que ces
systèmes de défense aérienne russes ont compliqué la situation pour la
coalition menée par les USA dans le ciel syrien. Le gouvernement américain
pourrait décider de reprendre les vols destinés à aider de ce qu'il appelle les
« djihadistes «modérés», mais cela pourrait risquer d’entraîner un
accident mortel avec l'armée russe, a ajouté le responsable.
La Russie a déployé son système de missiles de défense
aérienne S-400 près de la ville syrienne de Lattaquié, suite à la destruction
par la Turquie du bombardier SU-24 russe,
le mois dernier.
Le S-400 a une portée d'environ 400 km et peut détruire des
aéronefs tactiques et stratégiques ainsi que des missiles balistiques et de croisière.
Un débat a cours actuellement à Washington sur la façon de
répondre.
Le responsable de l'administration a noté que les Russes
visent à autoriser les vols américains habités sur certaines parties du ciel de
la Syrie et de Washington semble avoir accepté " leur règle de jeu."
NOTES
[1] Pompiers Pyromanes. Les Saoudiens vont lutter contre DAECH !!
[2] Les alliés des USA impuissants face à la guerre électronique russe
Hannibal GENSERIC
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Du Communiqué de Genève à la Résolution 2254
Les
termes de la Résolution 2254 confirment pour l’essentiel ceux du
Communiqué de Genève adopté il y a trois ans. Les deux plus grandes
puissances militaires du monde s’accordent pour le maintien de la
République arabe syrienne, tandis que les impérialistes —au premier rang
desquels la France— poursuivent leur rêve de changer le régime par la
force. Mais le monde s’est transformé durant ces années et il semble
difficile de faire capoter ce nouvel accord comme cela avait été fait en
2012.
***
Les relations Washington-Moscou
Les
États-Unis et la Russie viennent, pour la seconde fois, de trouver un
accord entre eux et de conclure un plan de paix pour la Syrie.
La première fois, c’était lors de la Conférence de Genève de juin 2012 [1].
Il s’agissait d’apporter la paix à la fois en Syrie et dans l’ensemble
du Proche-Orient en se divisant la région en zones d’influence [2].
Cependant cet accord fut immédiatement saboté par la secrétaire d’État
Hillary Clinton et son groupe de « faucons libéraux » et de
« néo-conservateurs ». De sorte que la France organisa moins de deux
semaines plus tard la relance de la guerre, lors de la conférence de
Paris des « Amis de la Syrie » [3], puis avec l’opération « Volcan de Damas et tremblement de terre de la Syrie » [4].
À ce contentieux s’ajouta, fin 2013, le coup d’État en Ukraine. Les
deux événements marquèrent la suspension quasi-complète des relations
diplomatiques entre Washington et Moscou.
La seconde, c’est lors de la visite de John Kerry à Vladimir Poutine au Kremlin, le 15 décembre 2015 [5].
La rencontre fut immédiatement suivie de la réunion de la Haute
commission de l’opposition syrienne, et de l’adoption des résolutions
2253 [6], interdisant le financement d’Al-Qaïda et de Daesh, et 2254 [7],
institutionnalisant les efforts déployés à Genève et à Vienne pour la
Syrie. À la surprise générale, la Haute commission de l’opposition élit
l’ancien Premier ministre baasiste Riad Hijab —issu d’une tribu présente
en Arabie— pour conduire sa délégation. Pour éviter les erreurs
d’interprétation, le secrétaire d’État Kerry déclara au Kremlin que
l’avis des États-Unis sur le président Assad ne ferait pas obstacle au
vote des Syriens, puis il affirma au Conseil de sécurité que le
« processus politique n’offre pas un choix entre Assad et Daech, mais
entre la guerre et la paix ».
Le retrait des conseillers militaires iraniens avait débuté peu avant le sommet du Kremlin.
La
Russie s’est mise en conformité avec le Communiqué de Genève. Celui-ci
prévoir en effet d’intégrer des éléments de l’opposition dans une sorte
de gouvernement d’union nationale de la République arabe syrienne. Afin
de montrer qu’elle lutte contre les terroristes, mais pas contre les
opposants politiques fussent-ils armés, la Russie a conclu un accord
avec l’Armée syrienne libre et avec son sponsor, la France. Alors que
cette armée n’a jamais eu l’importance sur le terrain que les médias
atlantistes lui ont donnée et qu’elle n’existe plus depuis la fin 2013,
5 000 combattants, sortis d’on ne sait où, collaborent désormais aussi
bien avec l’armée russe qu’avec celle de la Syrie contre Al-Qaïda et
Daesh ; une mise en scène bien surprenante lorsqu’on sait que l’ASL
était censée être implantée au Sud, mais qu’elle combat désormais au
Nord du pays.
Depuis
le fiasco de la Conférence de Genève de juin 2012, beaucoup d’eau a
coulé sous les ponts. Certains protagonistes ont été éliminés et les
rapports de force se sont inversés.
Le
président Obama semble avoir retrouvé une partie de son pouvoir et clos
le projet du « Printemps arabe ». Ainsi, il est parvenu à se
débarrasser successivement du général David Petraeus (qu’il fit arrêter
menottes au poignet, en novembre 2012), d’Hillary Clinton (en janvier
2013) et du général John Allen (contraint à la démission il y a juste
deux mois, en octobre 2015). De même, il a épuré son administration —y
compris le Conseil national de sécurité— des Frères musulmans. Toutefois
Jeffrey Feltman reste le numéro 2 des Nations unies. Il y a rédigé un
plan de capitulation totale et inconditionnelle de la Syrie et a fait
trainer les négociations de paix en espérant la défaite de l’Armée arabe
syrienne [8].
La
Maison-Blanche a contraint, en juin 2013, l’émir Hamad al-Thani du
Qatar à abdiquer et son Premier ministre Hamad ben Jassem à se retirer
de la vie politique [9].
Toutefois, ce dernier est devenu le co-président de la Brookings
Intitution Doha, tandis que le nouvel émir Tamim a maintenu le
financement des Frères musulmans et de leurs organisations terroristes
jusqu’à la crise diplomatique avec son voisin saoudien, en mars 2014 [10].
Malgré
les mises en garde de la Defense Intelligence Agency (DIA), le groupe
de David Petraeus est parvenu, à la mi 2014, à piloter le développement
d’une organisation qu’il avait créée en 2004, avec le colonel James
Steele, le colonel James Coffman et l’ambassadeur John Negroponte, sous
le nom d’« Émirat islamique en Irak ». Ils l’ont utilisée pour nettoyer
ethniquement une partie de ce pays en vue de sa partition. Cette
opération a été soutenue par des États (l’Arabie saoudite, Chypre, les
Émirats arabes unis, la France, l’Italie, Israël, le Qatar, la Turquie
et l’Ukraine) et des multinationales (Exxon-Mobil, KKR, Academi).
La
Maison-Blanche est parvenue à éliminer aussi bien le clan de l’ancien
roi Abdallah que celui du prince Bandar ben Sultan de la direction
saoudienne et de ne confier celle-ci qu’aux princes Mohamed ben Nayef et
Mohamad ben Salmane, sous l’autorité du nouveau roi Salmane. Cette
nouvelle distribution affaiblit le pouvoir, mais rend un changement de
politique envisageable.
L’accord 5+1 avec l’Iran a marqué le renoncement de Téhéran à son ambition révolutionnaire [11], de sorte qu’unmodus vivendi avec les Saoudiens devient envisageable [12], même si l’épisode yéménite est venu compliquer la tâche.
Aussi bien Washington que Moscou ont pris en grippe le président turc, Recep Tayyip Erdoğan [13].
Cependant, l’appartenance de la Turquie à l’Otan contraint la
Maison-Blanche à la prudence, d’autant qu’Ankara s’est allié à Kiev [14], autre théâtre de guerre important pour la stratégie globale des États-Unis [15].
Le
rapport de forces entre Washington et Moscou s’est progressivement
inversé, en juin 2012 et en septembre 2015. L’Otan a perdu sa
supériorité à la fois en matière de missiles intercontinentaux [16] et en matière de guerre conventionnelle [17] de sorte que la Russie est désormais la première puissance militaire du monde.
Par
conséquent, les rôles se sont inversés. En 2012, le Kremlin entendait
se hisser à un niveau d’égalité avec la Maison-Blanche. Aujourd’hui,
cette dernière a besoin de négocier au plan politique la perte de sa
domination militaire.
Signe du temps, la Rand Corporation, think tank emblématique du complexe militaro-industriel, vient de publier son Plan de paix pour la Syrie.
Ce puissant groupe de réflexion avait déjà choqué l’establishment
états-unien, en octobre 2014, en affirmant que la victoire du président
el-Assad était la meilleure issue pour Washington [18].
Il propose désormais un cessez-le-feu qui permette de justifier la
présence de représentants de l’opposition et des Kurdes dans le futur
gouvernement d’union nationale [19].
L’opposition à la nouvelle donne mondiale
L’opposition à la politique de Barack Obama n’a pas pour autant disparue. Ainsi, le Washington Post l’accuse d’avoir capitulé sur la question du changement de régime en Syrie face à la Russie [20].
En
2012, on pouvait interpréter l’opposition du clan Petraeus-Clinton à la
paix comme une volonté de profiter au maximum de la supériorité
militaire US. Mais avec le développement des nouvelles armes russes,
cela n’a plus de sens. Dès lors, la seule interprétation possible est le
pari de provoquer sans tarder un affrontement mondial, sachant que les
Occidentaux pourraient éventuellement encore le gagner ; chose qu’ils ne
pourraient aucunement espérer lorsque la Chine sera capable d’aligner
également son armée.
Comme
lors de la Conférence de Genève, la France est intervenue dès la
résolution 2254 adoptée. Son ministre des Affaires étrangères, Laurent
Fabius, a à nouveau déclaré que si tous les groupes d’opposition
devaient pouvoir participer à la transition en Syrie, le seul président
el-Assad devait en être exclu ; une idée contraire aux principes du
Communiqué de Genève et de la résolution 2254.
Si
l’on pouvait interpréter, en 2012, la position française comme une
volonté de changer le régime en substituant un gouvernement des Frères
musulmans à celui du Baas, dans la continuité du renversement des
régimes laïques arabes (« Printemps arabe ») ; ou comme une tentative de
« faire saigner l’armée syrienne » pour faciliter la domination
régionale par Israël ; ou tout simplement comme une ambition de
recolonisation ; ce n’est plus possible aujourd’hui parce que chacun de
ces trois objectifs passe par une guerre contre la Russie.
La
France instrumente la question syrienne pour le compte des faucons
libéraux et des néo-conservateurs US. Ce faisant, elle est soutenue par
les sionistes messianistes qui, comme Benjamin Netanyahu, considèrent
comme un devoir religieux de hâter la venue du Messie en provoquant
l’affrontement eschatologique.
La paix en Syrie ou la Guerre nucléaire ?
Il
serait extrêmement étonnant que les faucons libéraux, les
néo-conservateurs et les sionistes messianiques parviennent à imposer
leur politique aux deux Grands. Toutefois, il sera difficile de parvenir
un résultat définitif avant janvier 2017 et l’arrivée d’un nouveau
président à la Maison-Blanche. Dès lors, on comprend mieux le soutien
affiché de Vladimir Poutine pour Donald Trump qui semble le mieux placé
pour faire barrage à son amie Hillary Clinton [21].
En réalité, tout est prêt pour conclure une paix qui permette aux perdants de conserver la tête haute.
À retenir :
La Résolution 2253 interdit aux sponsors de Daesh et d’al-Qaïda de poursuivre leur action. La Résolution 2254 confirme le Communiqué de Genève de juin 2012. Les deux Grands s’accordent pour maintenir la République arabe syrienne et soutenir un gouvernement d’union nationale.
L’opposition armée soutenue par l’Arabie saoudite a élu l’ancien Premier ministre bassiste Riad Hijab, en fonction à l’époque du Communiqué de Genève, pour conduire sa délégation. Tandis que la Russie a conclu un accord avec l’Armée syrienne libre et son sponsor, la France.
Tout est prêt pour conclure une paix qui permette aux perdants de garder la tête haute. Mais, comme en 2012, la France a relancé ses exigences dès la Résolution 2254 adoptée.
[2] « Obama et Poutine vont-ils se partager le Proche-Orient ? », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie), Réseau Voltaire, 26 janvier 2013.
[3] « Discours de François Hollande à la 3ème réunion du Groupe des amis du peuple syrien », par François Hollande, Réseau Voltaire, 6 juillet 2012.
[4] « L’Occident et l’apologie du terrorisme », par Thierry Meyssan, Tichreen (Syrie), Réseau Voltaire, 1er août 2012.
[5] “Press meeting by Sergey Lavrov and John Kerry”, by John F. Kerry, Sergey Lavrov, Voltaire Network, 15 December 2015.
[6] « Résolution 2253 (financement des groupes terroristes) », Réseau Voltaire, 17 décembre 2015.
[7] « Résolution 2254 (Plan de paix pour la Syrie) », Réseau Voltaire, 18 décembre 2015.
[8] « Deux épines dans le pied d’Obama », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 août 2015.
[9] « L’émir de Qatar contraint par Washington de céder son trône », « L’ex-Premier ministre du Qatar écarté du Fonds souverain », Réseau Voltaire, 13 juin et 3 juillet 2013.
[10] « L’Arabie saoudite durcit le ton face aux Frères musulmans », « Guerre secrète entre le Qatar et l’Arabie saoudite », Réseau Voltaire, 4 et 13 mars 2014.
[11] « Ce que vous ignorez sur les accords états-uno-iraniens », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 6 avril 2015.
[12] « Que deviendra le Proche-Orient après l’accord entre Washington et Téhéran ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 mai 2015.
[13] « Syrie : Obama désavoue le général Allen et le président Erdoğan », « Washington interdit à Ankara de frapper les Kurdes de Syrie », « Frictions entre le Pentagone et son allié turc », « L’Otan refuse de s’impliquer dans la guerre secrète russo-turque », Réseau Voltaire, 28 juillet, 13 et 15 août, 8 octobre 2015.
[14] « L’Ukraine et la Turquie créent une Brigade internationale islamique contre la Russie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 août 2015.
[15] “The Geopolitics of American Global Decline”, by Alfred McCoy, Tom Dispatch (USA), Voltaire Network, 22 June 2015.
[16] « 7 juin 2012 : la Russie manifeste sa supériorité balistique nucléaire intercontinentale », « Coups de semonce russes », par Thierry Meyssan,Réseau Voltaire, 8 et 9 juin 2012.
[17] « L’armée russe affirme sa supériorité en guerre conventionnelle », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 19 octobre 2015.
[18] « Bouleversement des intérêts US au Levant », par Thierry Meyssan,Réseau Voltaire, 3 février 2015.
[19] A Peace Plan for Syria, James Dobbins, Philip Gordon & Jeffrey Martini, Rand Corporation, December 17, 2015.
[20] “On regime change in Syria, the White House capitulates to Russia”, Editorial board, The Washington Post, 17 décembre 2015.
[21] “Vladimir Putin’s annual news conference”, by Vladimir Putin, Voltaire Network, 17 December 2015.