Alors que pour Rached Ghannouchi « la porte de la pénitence est
toujours ouverte pour les égarés », selon Béji Caïd Essebsi, « on ne
pourra pas tous les mettre en prison ». Très subtile répartition des
rôles entre le Calife de Tunisie et son vieux Vizir qui dissimule ce que
le criminel et le traître réservent aux Tunisiens dans les mois et les
années qui viennent.
Pour préparer l’opinion publique au pire, on parle depuis trois
semaines des terroristes tunisiens qui sont partis faire le djihad en
Syrie et en Irak et qu’il va falloir désormais rapatrier et recycler
dans la société tunisienne. C’est que ce dossier inquiète au plus haut
niveau les Frères musulmans locaux ainsi que leurs complices au pouvoir.
Non guère par rapport au danger que ces islamo-terroristes constituent
sur la sécurité des Tunisiens et des Algériens, mais par rapport aux
secrets qu’ils détiennent sur leurs recruteurs et sur leurs crimes
abominables en Syrie et en Irak.
Les Daéchiens ne vont pas revenir, ils sont déjà en Tunisie
Première chose que l’on cache à l’opinion tunisienne : le retour « éventuel » de ces terroristes. On remarquera que, aussi bien pour Rached Ghannouchi que pour Béji Caïd Essebsi ainsi que pour leurs relais médiatiques, on parle du futur alors que c’est du passé et du présent dont il s’agit ! En d’autres termes, plus de 50% de ces terroristes de Daech, d'Al-Nosra et d'Al-Qaïda sont déjà revenus en Tunisie. Mieux encore, jusqu’à présent, tout a été fait pour les concentrer géographiquement sur Sfax et Ben Gardane dans le sud-est du pays.
Seconde chose qu’on cache aux Tunisiens, leur nombre. En effet, il ne s’agit pas de 3000 « dijihadistes » comme beaucoup le croient depuis longtemps, mais de plus de 7600 terroristes. S’il est certain, selon les Nations Unies et certaines instances spécialisées, que les Tunisiens sont en tête des « djihadistes », loin devant les Saoudiens, les Algériens, les Tchétchènes… (1), selon une estimation des autorités syriennes, leur nombre atteindrait les 10000. Ce sont les plus barbares et les plus fanatiques, disent tous les rapports et médias occidentaux qui ont pu accéder aux zones de combat.
Endoctrinés par Ennahdha, financés par le Qatar, cautionnés par l’Occident
Pour ceux qui semblent l’avoir déjà oublié, ou qui feignent de l’ignorer, les 7600 jeunes terroristes Tunisiens ont été expédiés en Syrie sur une décision politique prise dès 2011, lorsque Béji Caïd Essebsi n’était encore que premier ministre. Le mouvement s’est accéléré de janvier 2012 à décembre 2014, au moment où Moncef Marzouki a été « élu » par Ennahdha président de la République. Des centaines et des milliers de candidats au djihad ont été alors recrutés, payés puis expédiés en Syrie via la Turquie, notamment par l’éphémère compagnie aérienne Syphax Airlines. Si l’endoctrinement et la logistique étaient purement tunisiens, le financement de cette opération cautionnée par certaines puissances occidentales était exclusivement qatari.
Troisième chose que l’on dissimule aux tunisiens, les accords secrets qui ont été établis entre le gouvernement tunisien et certains pays européens pour accueillir, non seulement ce qu’ils appellent les « combattants djihadistes » tunisiens, mais aussi les terroristes de la « diversité », à savoir tous les arabes de nationalités belge, française, allemande, suédoise…qui ont rejoints Daech en Syrie et en Irak. Plus exactement ceux qui vont survivre au feu de l’armée arabe syrienne et aux éliminations ciblées des forces spéciales occidentales !
La Tunisie, future poubelle de la « racaille » terroriste européenne
Estimé à 5000 djihadistes par Soufan Group basé à New York (1), les terroristes européens inquiètent beaucoup et à juste titre les autorités françaises, belges, allemandes, autrichiennes… Raison pour laquelle une décision commune a été prise d’en éliminer le maximum avant qu’ils ne regagnent le continent européen, maintenant que leur mission de faire tomber l’Etat syrien a échoué.
Interrogé en novembre dernier par le journal The Sunday Times (2), un haut gradé de l’armée britannique a déclaré « qu’une liste de cibles à abattre a été établie ». Afin d’éviter leur retour au Royaume Unies, 200 djihadistes en Syrie et en Irak seront éliminés sur place, avait indiqué cet officier sous l’anonymat en précisant qu’il s’agit d’une « opération regroupant des forces spéciales de plusieurs pays » !
Si personne ne sait encore combien de ces terroristes vont fuir l’Irak et la Syrie, nous savons déjà que leur destination finale sera la Tunisie. Cela arrangera tout aussi bien Rached Ghannouchi qui fera de ses enfants « égarés » une armée de réserve au cas où les choses tourneraient mal pour lui, ou qu'on lui demandera d'allumer le feu en Algérie, que les pays européens en question, qui ne savent plus quoi faire de leur racaille islamo-terroriste d’autant plus que leurs programmes de déradicalisation s’est avéré inepte et inopérant.
Recevoir ces terroristes de nationalité européenne en Tunisie a été la condition sine qua non de soutenir économiquement la Tunisie. C’est la face cachée du Forum économique Tunisia 2020, que les pays du Benelux ont vivement soutenu. Sur les 5000 terroristes européens recensés par Soufan Group, 82% sont originaires du Benelux !
Les Daéchiens ne vont pas revenir, ils sont déjà en Tunisie
Première chose que l’on cache à l’opinion tunisienne : le retour « éventuel » de ces terroristes. On remarquera que, aussi bien pour Rached Ghannouchi que pour Béji Caïd Essebsi ainsi que pour leurs relais médiatiques, on parle du futur alors que c’est du passé et du présent dont il s’agit ! En d’autres termes, plus de 50% de ces terroristes de Daech, d'Al-Nosra et d'Al-Qaïda sont déjà revenus en Tunisie. Mieux encore, jusqu’à présent, tout a été fait pour les concentrer géographiquement sur Sfax et Ben Gardane dans le sud-est du pays.
Seconde chose qu’on cache aux Tunisiens, leur nombre. En effet, il ne s’agit pas de 3000 « dijihadistes » comme beaucoup le croient depuis longtemps, mais de plus de 7600 terroristes. S’il est certain, selon les Nations Unies et certaines instances spécialisées, que les Tunisiens sont en tête des « djihadistes », loin devant les Saoudiens, les Algériens, les Tchétchènes… (1), selon une estimation des autorités syriennes, leur nombre atteindrait les 10000. Ce sont les plus barbares et les plus fanatiques, disent tous les rapports et médias occidentaux qui ont pu accéder aux zones de combat.
Endoctrinés par Ennahdha, financés par le Qatar, cautionnés par l’Occident
Pour ceux qui semblent l’avoir déjà oublié, ou qui feignent de l’ignorer, les 7600 jeunes terroristes Tunisiens ont été expédiés en Syrie sur une décision politique prise dès 2011, lorsque Béji Caïd Essebsi n’était encore que premier ministre. Le mouvement s’est accéléré de janvier 2012 à décembre 2014, au moment où Moncef Marzouki a été « élu » par Ennahdha président de la République. Des centaines et des milliers de candidats au djihad ont été alors recrutés, payés puis expédiés en Syrie via la Turquie, notamment par l’éphémère compagnie aérienne Syphax Airlines. Si l’endoctrinement et la logistique étaient purement tunisiens, le financement de cette opération cautionnée par certaines puissances occidentales était exclusivement qatari.
Troisième chose que l’on dissimule aux tunisiens, les accords secrets qui ont été établis entre le gouvernement tunisien et certains pays européens pour accueillir, non seulement ce qu’ils appellent les « combattants djihadistes » tunisiens, mais aussi les terroristes de la « diversité », à savoir tous les arabes de nationalités belge, française, allemande, suédoise…qui ont rejoints Daech en Syrie et en Irak. Plus exactement ceux qui vont survivre au feu de l’armée arabe syrienne et aux éliminations ciblées des forces spéciales occidentales !
La Tunisie, future poubelle de la « racaille » terroriste européenne
Estimé à 5000 djihadistes par Soufan Group basé à New York (1), les terroristes européens inquiètent beaucoup et à juste titre les autorités françaises, belges, allemandes, autrichiennes… Raison pour laquelle une décision commune a été prise d’en éliminer le maximum avant qu’ils ne regagnent le continent européen, maintenant que leur mission de faire tomber l’Etat syrien a échoué.
Interrogé en novembre dernier par le journal The Sunday Times (2), un haut gradé de l’armée britannique a déclaré « qu’une liste de cibles à abattre a été établie ». Afin d’éviter leur retour au Royaume Unies, 200 djihadistes en Syrie et en Irak seront éliminés sur place, avait indiqué cet officier sous l’anonymat en précisant qu’il s’agit d’une « opération regroupant des forces spéciales de plusieurs pays » !
Si personne ne sait encore combien de ces terroristes vont fuir l’Irak et la Syrie, nous savons déjà que leur destination finale sera la Tunisie. Cela arrangera tout aussi bien Rached Ghannouchi qui fera de ses enfants « égarés » une armée de réserve au cas où les choses tourneraient mal pour lui, ou qu'on lui demandera d'allumer le feu en Algérie, que les pays européens en question, qui ne savent plus quoi faire de leur racaille islamo-terroriste d’autant plus que leurs programmes de déradicalisation s’est avéré inepte et inopérant.
Recevoir ces terroristes de nationalité européenne en Tunisie a été la condition sine qua non de soutenir économiquement la Tunisie. C’est la face cachée du Forum économique Tunisia 2020, que les pays du Benelux ont vivement soutenu. Sur les 5000 terroristes européens recensés par Soufan Group, 82% sont originaires du Benelux !
Karim Zmerli
Notes :
- http://www.huffingtonpost.fr/2015/12/08/nombre-origine-les-affolants-chiffres-des-jihadistes-en-syri/
- http://www.thetimes.co.uk/edition/news/sas-in-iraq-gets-kill-list-of-british-jihadis-p9l9s6vr7
Les
autorités syriennes procéderont cette semaine à l’exécution de plus de
100 terroristes tunisiens, parmi les 300 tunisiens détenus dans les
prisons syriennes depuis 2014 pour leur implication dans la mort de
centaines de citoyens syriens. Ils sont également impliqués dans
l’exécution de plusieurs attentats terroristes contre des patrouilles de
l’armée syrienne.
De son coté, le conseiller auprès de la présidence de la République
Noureddine Ben Ticha, avait affirmé récemment que le gouvernement
tunisien détient actuellement plusieurs chiffres clés sur le nombre de
tunisiens qui se trouvent actuellement dans les zones de conflits dont
notamment la Syrie, la Libye et l’Irak. D’après lui, le nombre de ces
terroristes s’élèverait à 3600.
Il a par ailleurs démenti catégoriquement les informations selon
lesquelles, des négociations auraient récemment eu lieu en vue d’assurer
le retour des terroristes tunisiens repentis en Tunisie. Il a dans ce
contexte ajouté que tout terroriste sera jugé par la loi. En ce qui
concerne les dépouilles des terroristes tunisiens, abattus dans les
zones de conflits, le conseiller du président de la République a indiqué
que cette affaire ne concerne pas l’Etat tunisien, mais plutôt leurs
familles.
VOIR AUSSI :
- Tapis rouge pour les terroristes revenant de Syrak
- Tunistan. Ennahdha qualifie ses terroristes de "martyrs"
- Nom d'une pipe! D'où vient "Caïd Essebsi" ?