mercredi 1 février 2017

Obama faisait prévenir les convois de DAECH, 45 minutes avant chaque bombardement



On s’étonne que l’État islamique ait pu prospérer et résister pendant des années, au grand ébahissement de tous les observateurs…

En lisant le livre de Guy Millière  Après Obama, Trump ? On apprend des choses surprenantes et surtout soigneusement cachées par les médias dominants.

Aujourd’hui nous vous livrons quelques savoureux passages consacrés à la lutte (si on peut appeler cela) d’Obama contre l’État islamique. Édifiant.

La coalition contre l’État Islamique élaborée en juillet 2014 par Obama n’agit quasiment pas, non : seules les forces aériennes américaines sont intervenues, à l’exception de quelques actions françaises et d’une action jordanienne (menée après l’assassinat d’un pilote de la Royal Jordanian Air Force). Il y a eu jusqu’à présent (NDLR le livre a été publié début 2016), en moyenne, moins de bombardements américains en un mois qu’il n’y en eut en une demi-journée lors des opérations menées en Afghanistan en octobre 2001. 
Les règles d’engagement de l’armée de l’air américaine contre l’État Islamique ont stipulé jusqu’à une date récente qu‘aucun camp d’entraînement ne devait être visé, et les bombes étaient lâchées, surtout, sur des installations vides, ou dans le désert. Nombre d’avions de combat américains rentrent encore sans avoir largué leurs bombes : l’ordre de larguer des bombes est annulé dès qu’il semble exister le moindre risque qu’il y ait  » des victimes civiles ». Un convoi routier de l’État Islamique a été attaqué par des avions américains en novembre 2015, mais d’autres avions américains étaient venus quarante-cinq minutes auparavant disséminer des messages avertissant que le convoi allait être bombardé (1).
L’immense majorité des attaques contre l’État Islamique viennent, pour l’heure, du protectorat iranien en place à Bagdad et de milices chiites armées par l’Iran. La seule ville de Syrie arrachée à l’État islamique, Palmyre, l’a été par l’action de l’armée russe.

Cela nous rappelle, en plus grave, les activités de Marzouki, ex président provisoire, ivrogne et falot, du Tunistan islamiste. Dans "HAUTE TRAHISON. Moncef Marzouki aidait les terroristes contre l'Armée Nationale," nous écrivions : Décidément, Mohamed Moncef Marzouki (MMM) n'aime ni la Tunisie ni les Tunisiens. De nationalité marocaine, fils d'un goumier, c'est à dire d'un traître, il n'aurait jamais dû être  nommé comme président, même provisoire, de la Tunisie. MMM a doublement piégé cette armée (1) en achetant des blindés israéliens pourris, et (2) En communiquant aux terroristes toutes les infos relatives aux opérations planifiées contre eux. Un CRIME DE HAUTE TRAHISON : il porte la responsabilité de la mort de dizaines de soldats, de policiers et de gendarmes tunisiens.

…….Après les salamalecs d’usage, les deux délégations (tunisienne et algérienne) sont entrées dans le vif du sujet, et c’était une sacrée surprise : les Algériens ont les preuves matérielles que le président provisoire, M. M. Marzouki, était en cheville avec les terroristes du Mont Chaâmbi et d'ailleurs.  La délégation algérienne avait exprimé sa grande préoccupation à ce sujet, car les services secrets algériens ont intercepté des communications téléphoniques extrêmement graves et dangereuses entre MMM et les services secrets qataris. MMM utilisait un téléphone satellitaire de marque « Thuraya » , avec l’indicatif international +88216, car ce téléphone est protégé contre les tentatives d’écoute et d’espionnage éventuels, et MMMM l’utilisait dans toutes ses communications internationales.

Grâce à leurs outils sophistiqués, nos frères algériens ont quant même pu écouter les communications de MMM, les ont enregistrées, et les ont fait écouter à la délégation tunisienne. Il s’avère que MMM communiquait aux Qataris toutes les manœuvres et toutes les opérations de l’armée tunisienne aux frontières algéro-tunisiennes. En tant, que Président, il était le chef suprême des armées, et disposait donc de tous les détails, y compris les plans, les horaires, le type d’armement utilisé, le nombre de militaires etc. Il s’empressait de transmettre tout cela aux Qataris.  Ces derniers s’empressaient, naturellement, de tout communiquer aux terroristes des monts Chaâmbi et du djebel Semama et ailleurs le long de la frontière. Ce qui expliquait les échecs répétés de l’armée et la réussite des pièges tendus par les terroristes à nos militaires, et le nombre anormalement élevé de militaires tués.

Hannibal GENSERIC