On s’étonne
que l’État islamique ait pu prospérer et résister pendant des années, au grand
ébahissement de tous les observateurs…
En lisant le
livre de Guy Millière Après Obama, Trump ? On apprend des
choses surprenantes et surtout soigneusement cachées par les médias dominants.
Aujourd’hui
nous vous livrons quelques savoureux passages consacrés à la lutte (si on peut
appeler cela) d’Obama contre l’État islamique. Édifiant.
La coalition contre l’État Islamique
élaborée en juillet 2014 par Obama n’agit quasiment pas, non : seules les
forces aériennes américaines sont intervenues, à l’exception de quelques
actions françaises et d’une action jordanienne (menée après l’assassinat d’un
pilote de la Royal Jordanian Air Force). Il y a eu jusqu’à présent (NDLR le
livre a été publié début 2016), en moyenne, moins de bombardements américains
en un mois qu’il n’y en eut en une demi-journée lors des opérations menées en Afghanistan
en octobre 2001.
Les règles d’engagement de l’armée de l’air
américaine contre l’État Islamique ont stipulé jusqu’à une date récente qu‘aucun camp d’entraînement ne devait être visé, et
les bombes étaient lâchées, surtout, sur des installations vides, ou dans
le désert. Nombre d’avions de combat américains rentrent encore
sans avoir largué leurs bombes : l’ordre de
larguer des bombes est annulé dès qu’il semble exister le moindre risque qu’il
y ait » des victimes civiles ». Un
convoi routier de l’État Islamique a été attaqué par des avions américains en
novembre 2015, mais d’autres avions américains étaient venus quarante-cinq
minutes auparavant disséminer des messages avertissant que le convoi allait
être bombardé (1).
L’immense majorité des attaques contre l’État
Islamique viennent, pour l’heure, du protectorat iranien en place à Bagdad et
de milices chiites armées par l’Iran. La seule ville de Syrie arrachée à l’État
islamique, Palmyre, l’a été par l’action de l’armée russe.
Cela nous rappelle, en plus grave, les activités de Marzouki, ex président provisoire, ivrogne et falot, du Tunistan islamiste. Dans "HAUTE TRAHISON. Moncef Marzouki aidait les terroristes contre l'Armée Nationale," nous écrivions : Décidément, Mohamed Moncef Marzouki (MMM) n'aime ni la Tunisie ni les Tunisiens. De nationalité marocaine, fils d'un goumier, c'est à dire d'un traître, il n'aurait jamais dû être nommé comme président, même provisoire, de la Tunisie. MMM a doublement piégé cette armée (1) en achetant des blindés israéliens pourris, et (2) En communiquant aux terroristes toutes les infos relatives aux opérations planifiées contre eux. Un CRIME DE HAUTE TRAHISON : il porte la responsabilité de la mort de dizaines de soldats, de policiers et de gendarmes tunisiens.
…….Après les salamalecs d’usage, les deux délégations (tunisienne et algérienne) sont entrées dans le vif du sujet, et c’était une sacrée surprise : les Algériens ont les preuves matérielles que le président provisoire, M. M. Marzouki, était en cheville avec les terroristes du Mont Chaâmbi et d'ailleurs. La délégation algérienne avait exprimé sa grande préoccupation à ce sujet, car les services secrets algériens ont intercepté des communications téléphoniques extrêmement graves et dangereuses entre MMM et les services secrets qataris. MMM utilisait un téléphone satellitaire de marque « Thuraya » , avec l’indicatif international +88216, car ce téléphone est protégé contre les tentatives d’écoute et d’espionnage éventuels, et MMMM l’utilisait dans toutes ses communications internationales.
Grâce à leurs outils sophistiqués, nos frères algériens ont quant même pu
écouter les communications de MMM, les ont enregistrées, et les ont fait
écouter à la délégation tunisienne. Il s’avère
que MMM communiquait aux Qataris toutes les manœuvres et toutes les opérations
de l’armée tunisienne aux frontières algéro-tunisiennes. En tant, que
Président, il était le chef suprême des armées, et disposait donc de tous les
détails, y compris les plans, les horaires, le type d’armement utilisé, le
nombre de militaires etc. Il s’empressait de transmettre tout cela aux Qataris. Ces derniers s’empressaient, naturellement,
de tout communiquer aux terroristes des monts Chaâmbi et du djebel Semama et
ailleurs le long de la frontière. Ce qui expliquait les échecs répétés de
l’armée et la réussite des pièges tendus par les terroristes à nos militaires,
et le nombre anormalement élevé de militaires tués.
Hannibal GENSERIC