Décidément, Mohamed Moncef Marzouki (MMM) n'aime ni la Tunisie ni les Tunisiens. De nationalité marocaine, fils d'un goumier, c'est à dire d'un traître, il n'aurait jamais dû être nommé comme président, même provisoire, de la Tunisie. MMM a doublement piégé cette armée (1) en achetant des blindés israéliens pourris, et (2) En communiquant aux terroristes toutes les infos relatives aux opérations planifiées contre eux. Un CRIME DE HAUTE TRAHISON : il porte la responsabilité de la mort de dizaines de soldats, de policiers et de gendarmes tunisiens.
L’après midi
du lundi 21/07/2014 fut exceptionnel au siège du premier ministère à la Kasbah. En effet, le premier ministre Mehdi Jomâa s’y entretenait avec le ministre de
la Défense, Ghazi Jribi, et avec un certain nombre de ses conseillers, afin de
préparer une visite rapide en Algérie, après que le premier ministre algérien,
Abdelmalek Sallal l’eut contacté pour l’inviter à venir d'urgence en Algérie…à
ce moment-là, le duo formé de Nidhal Ouerfelli et Mohamed Habib Kchou a insisté
lourdement pour accompagner Jomâa, mais ce dernier a refusé catégoriquement,
arguant du fait que la visite a un caractère spécifiquement sécuritaire et
militaire.
Grâce à
leurs outils sophistiqués, nos frères algériens ont quant même pu écouter les
communications de MMM, les ont enregistrées, et les ont fait écouter à la
délégation tunisienne. Il s’avère que MMM communiquait aux Qataris toutes les manœuvres
et toutes les opérations de l’armée tunisienne aux frontières
algéro-tunisiennes. En tant, que Président, il était le chef suprême des armées,
et disposait donc de tous les détails, y compris les plans, les horaires, le
type d’armement utilisé, le nombre de militaires etc. Il s’empressait de
transmettre tout cela aux Qataris. Ces derniers
s’empressaient, naturellement, de tout communiquer aux terroristes des monts
Chaâmbi et du djebel Semama et ailleurs le long de la frontière. Ce qui
expliquait les échecs répétés de l’armée et la réussite des pièges tendus par
les terroristes à nos militaires, et le nombre anormalement élevé de militaires
tués. De plus, nos informateurs précisent que les Algériens ont déclaré que le
chef d’état major de l’armée terrestre, le général Hamdi, refusait de coopérer
avec les Algériens, ce qui pouvait avoir pour conséquence la détérioration
sérieuse des relations bilatérales. En réponse, le premier ministre Jomaâ a
demandé à ce général de quitter immédiatement la réunion, qui s’est poursuivie
sans sa présence. Sur son chemin du retour, ce général a été sommé de présenter
sa démission, faute de quoi, il serait démis d’office et probablement poursuivi
pour haute trahison.
Dans la
dernière semaine de juillet 2014, les bruits de la démission du général ont été
propagés dans les médias, et cette information provenait, selon toute vraisemblance
du premier ministère. Elle n’a pas été démentie ni par le ministère de la
défense, ni par la présidence de la république. Le 29/07/2014, cette démission
a été confirmée par le Président de la République, la mort dans l’âme. En
effet, comme Mehdi Jomaâ n’a pas hésité à dire la vérité à MMM et à l’accuser
de connivence avec les terroristes, celui-ci s’est trouvé coincé et de dans de
sales draps
Cette très
grosse affaire a été volontairement cachée par Mehdi Jomaâ, car il était
convaincu que sa diffusion publique pouvait entraîner le pays vers la guerre
civile, surtout lorsqu’on connaît les connivences de MMM, non seulement avec
les terroristes tunisiens, mais aussi, par l’entremise du Qatar, avec les
groupes terroristes libyens, syriens et autres. Maintenant que MMM est hors
jeu, il est temps que le tribunal militaire de première instance de Tunis
prenne cette affaire en mains et poursuive MMM et ses acolytes pour Haute
Trahison.
SOURCE, en
arabe : Athawra News , vendredi 30 janvier 2015
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Plusieurs modèles de téléphones sont disponibles, ils permettent la connexion par satellite ainsi que par les réseaux GSM via des accords de roaming.
Hannibal GENSERIC
Rappels1- Marzouki et Ennahdha ont envoyé des milliers de Tunisiens en Syrie
Depuis le début de la guerre syrienne en
2011, plus de 3.000 ressortissants tunisiens ont quitté le pays pour
aller se battre, formant le plus grand contingent de combattants
étrangers là-bas. Certains d’entre eux sont de la ville de El Me Hamdia.
Ben Ibrahim Abdelrahman a un ami, Marwan, qui en fait partie :
“Il a commencé à les suivre, Jabhat al-Nusra en Syrie, ISIS,
il est pratiquement devenu l’un d’eux. Il était même devenu takfiriste,
ultra-sectaire, voyant des apostats partout… Dès que nous lui parlions,
tout était interdit, il n’y avait pas de débat possible”.
Selon Alaya Allani, historien et spécialiste des mouvements islamistes en Afrique du nord, le lavage de cerveau n’est pas le seul outil de recrutement :
“Un lavage de cerveau, sur le plan idéologique, mais il y a aussi
des promesses à ces gens là, c’est à dire : ils promettent à ces
jihadistes qu’ils vont faire fortune lorsqu’ils iront là bas, en Syrie.”
Dans le camp d’entraînement où s’est retrouvé Marwan, environ 120
jeunes de différentes nationalités étaient réunis. Entraînements, repas
et prières en commun, mais pas seulement :
Ibrahim Ben Abdelrahman raconte : “ il voyait des gens boire, et ce
n‘était pas ceux qui avaient voyagé avec lui, mais les formateurs et les
chefs. Leur justification, c’est qu’il faut faire semblant d‘être des
gens normaux. Quand ils quitteront le camp, ils devront avoir une vie
normale, comme s’ils n’avaient pas été entraînés, ou n‘étaient même pas
musulman pratiquant.”
Mehdi Akkari, un rappeur tunisien bien connu, a vu son frère Youssef
se radicaliser et partir en Syrie. Ce fut un cauchemar pour le jeune
homme, qui finalement a réussi à rentrer en Tunisie.
Mehdi Akkari estime que “la police tunisienne a été un nouveau
problème. Ils le harcelaient, ils l’ont poussé à partir, en quelque
sorte, ils voulaient se débarrasser de lui. Ils ont peur de ces
djihadistes.”
Alaya Allani : “Une bonne partie des gens qui y sont allés
n’arrivent pas à rentrer au pays, puisqu’il y a eu une loi qui
criminalise ces gens, donc ils ont préféré ou bien rester là-bas, ou
bien aller dans d’autres pays comme la Libye, l’Irak, etc…’”
Youssef est reparti, et a trouvé la mort dans un raid aérien vers
Kobané en octobre, dans une voiture remplie de combattants étrangers.
Selon le ministère tunisien de l’Intérieur, 9.000 jeunes tunisiens
auraient été interdits de passer la frontière, direction la Syrie.
Près de 80 personnes, pour la plupart en fuite, sont jugées
en Tunisie pour leur implication présumée dans une attaque contre
l'armée en 2013, dans laquelle huit soldats avaient été tués sur le mont
Chaâmbi, à la frontière avec l'Algérie.
Le procès, dont la première audience s'est tenue en décembre, a été reporté lundi au 6 avril selon le Parquet. Seules six des 77 personnes poursuivies sont en détention.
Parmi les accusés en fuite figure Seif Allah Ben Hassine, dit Abou Iyadh, le chef d'Ansar Asharia, principal mouvement jihadiste tunisien classé "terroriste" par la Tunisie et les Etats-Unis.
Cette attaque avait eu lieu quelques jours après l'assassinat de l'élu de gauche Mohamed Brahmi devant son domicile, un crime qui avait plongé le pays dans une crise politique de plusieurs mois. L'assassinat de Mohamed Brahmi et celui de Chokri Belaïd, un farouche opposant aux islamistes, ont été revendiqués en décembre par des jihadistes ralliés au groupe de l'Etat islamique (EI).
En juillet 2014, l'armée a de nouveau été visée et 15 soldats ont été tués sur le mont Chaâmbi, le pire assaut du genre dans l'histoire de l'institution militaire.
La Tunisie fait face depuis la révolution de janvier 2011 à l'essor d'une mouvance jihadiste armée qui a fait des dizaines de morts dans les rangs des forces de l'ordre. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué l'an dernier pour la première fois des attaques en Tunisie, notamment un assaut fin mai contre le domicile du ministre de l'Intérieur. On ne sait pas si la Justice, si justice il y a , va poursuivre l'informateur en chef des terroristes !
2- Près de 80 personnes jugées pour l'attaque qui avait fait huit morts en août 2013
Le procès, dont la première audience s'est tenue en décembre, a été reporté lundi au 6 avril selon le Parquet. Seules six des 77 personnes poursuivies sont en détention.
Parmi les accusés en fuite figure Seif Allah Ben Hassine, dit Abou Iyadh, le chef d'Ansar Asharia, principal mouvement jihadiste tunisien classé "terroriste" par la Tunisie et les Etats-Unis.
Le 29 juillet 2013, huit militaires avaient été sauvagement tués, dont certains égorgés, dans une embuscade sur le mont Chaâmbi, dans le centre-ouest de la Tunisie.
Cette attaque avait eu lieu quelques jours après l'assassinat de l'élu de gauche Mohamed Brahmi devant son domicile, un crime qui avait plongé le pays dans une crise politique de plusieurs mois. L'assassinat de Mohamed Brahmi et celui de Chokri Belaïd, un farouche opposant aux islamistes, ont été revendiqués en décembre par des jihadistes ralliés au groupe de l'Etat islamique (EI).
En juillet 2014, l'armée a de nouveau été visée et 15 soldats ont été tués sur le mont Chaâmbi, le pire assaut du genre dans l'histoire de l'institution militaire.
La Tunisie fait face depuis la révolution de janvier 2011 à l'essor d'une mouvance jihadiste armée qui a fait des dizaines de morts dans les rangs des forces de l'ordre. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué l'an dernier pour la première fois des attaques en Tunisie, notamment un assaut fin mai contre le domicile du ministre de l'Intérieur. On ne sait pas si la Justice, si justice il y a , va poursuivre l'informateur en chef des terroristes !
VOIR AUSSI :
- Moncef Marzouki amnistie les terroristes et enterre leurs victimes
- Ennahdha achète des blindés israéliens pourris
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- Tunisie - Ben Guerdane. Des daéchiens à l'ARP et Les traîtres courent toujours