Le risque de contagion est devenu réel depuis que les tensions ont atteint leur paroxysme à El Kamour, où les sit-inneurs ont plus d’une fois tenté d’entraver les règles sécuritaires imposées par l’Armée Nationale pour protéger les sites de production. Comme si cela ne suffisait pas, des manifestants ont apporté leur piment à une sauce d’ores et déjà explosive, en mettant le feu à des postes de police et en manifestant leur soutien à la mobilisation de leurs pairs.