samedi 27 octobre 2012

Les Islamistes : collabos des nazis hier, harkis de la CIA aujourd'hui

"Al-Qaïda n'est rien d'autre que l'expression religieuse du fascisme arabe. Nous avons permis à cette branche du tronc nazi de survivre, de prospérer et elle est revenue nous hanter. Nous devons faire mieux. Si nous voulons préserver nos enfants, notre héritage, notre futur, nous devons leur enseigner les leçons du passé. Une des plus grandes tragédies de l'histoire a réellement eu lieu mais le mal qui l'a provoqué, le nazisme, a survécu parce que nous ne nous sommes pas suffisamment battus. Nous n'avons pas fini le travail".  
John Loftus, ancien procureur du ministère de la justice US, et expert en terrorisme.


Les origines nazies d'Al-Qaïda. 

Dans les  années 1920, l'égyptien Hassan Al-Banna forme un groupe pour la conquête du pouvoir : les Frères Musulmans. Préoccupé par le déclin de la civilisation islamique depuis des centaines d’années, Al-Banna pensait alors, comme Ghannouchi aujourd’hui, que le principal danger pour l'Islam provenait de l'influence des idées occidentales : liberté, démocratie, égalité homme/femme, citoyenneté, culture positive, laïcité (c’est-à-dire séparation entre l’état et la Religion), etc. Aussi prêchait-il le rejet de toute notion occidentale. Cette idée du retour à la pureté de l'Islam des origines et de l'éradication de toute influence ou institution non islamique est au cœur de leur doctrine. Al-Banna était aussi un fervent admirateur d'Adolf Hitler et lui écrivait très souvent. Dans les années 20, les Frères musulmans deviennent une branche secrète des services de renseignements nazis.  En 1938 les Frères musulmans se comptaient par centaines de milliers. Leurs troupes de chocs, inspirées des mouvements de jeunesse fasciste et nazi (les SS (1) et les SA (2) ), défilaient dans les principales rues du Caire. Ces islamistes arabes avaient, et ont encore, beaucoup en commun avec les doctrines nazies: ils haïssaient les juifs, la démocratie et la culture occidentale.

vendredi 26 octobre 2012

La Tunisie : «scénario à l’algérienne» ?




Dans un article paru le 10/08/2011, intitulé : Le scénario algérien (ou les conséquences désastreuses de l’abstention), j’avais écrit « Le 26 décembre 1991, le FIS gagna le premier tour des élections à l'assemblée nationale algérienne. Avec 48 % des votes, il gagna 188 des 232 sièges avec un taux de participation de 38%. C'est-à-dire qu’avec 18% des voix algériennes, le FIS a raflé la majorité absolue au parlement. …Cette victoire du FIS était due à l’abstention massive des Algériens (62% n’ont pas voté), seuls les partisans du FIS et du FLN (peu nombreux) avaient voté. Vous remplacez FIS par Ennahda, FLN par RCD, et vous avez le même résultat aux prochaines élections d’octobre 2011. ». Ces prévisions, quasi mathématiques, se sont malheureusement réalisées.

samedi 6 octobre 2012

Numidia Liberum (Numidie Libre)



La Numidie fut le premier état maghrébin autochtone, c'est pour cela que nous prenons pour symbole de notre lutte pour « un Maghreb libre et laïque ».