Honnis par les
Tunisiens qui ont fini par découvrir leurs véritables visages, ces quatre
traîtres sont désormais dans la poubelle de l’Histoire. Conscients de leur
déchéance, chacun essaye à sa façon de ne pas se faire oublier tout en
entretenant sa légende.
Le Quarteron de traîtres |
Ô ministres intègres ! Conseillers vertueux ! Voilà votre façon De servir, serviteurs qui pillez la maison ! Donc vous n'avez pas honte et vous choisissez l'heure, L'heure sombre où la Nation* agonisante pleure ! Donc vous n'avez ici pas d'autres intérêts Que remplir votre poche et vous enfuir après ! Soyez flétris, devant votre pays qui tombe, Fossoyeurs qui venez le voler dans sa tombe ! ... Ruy Blas - Victor Hugo Acte III scène II * Victor Hugo avait écrit "l'Espagne"---------------------------------------------------------------------------------------------------------
On commencera par le
plus impardonnable de tous, le général Rachid Ammar. En trahissant leur Patrie,
Moncef Marzouki, Mustapha Ben Jaâfar et Hamadi Jebali n’ont pas forcé leur
nature ! Toute leur vie, ils ont été au service d’une entité ou d’une
puissance étrangère. Le premier a été le serviteur du Qatar depuis le début des
années 2000. Le second a été, depuis le lancement du MDS par Ahmed Mestiri, le
harki de la France et plus exactement l’informateur du parti socialiste
français dont il ne reste plus rien et qui est en totale décomposition. Quant
au troisième, comme tous les Frères musulmans, il a été l’honorable
correspondant des services de renseignement britanniques et de la CIA.
Le général
félon Rachid Ammar
Rachid Ammar est
impardonnable parce qu’il appartenait précisément à l’armée nationale
tunisienne. Les Tunisiens ont découvert cet illustre inconnu et piètre général
en 2011, lorsque le cyber-collabo Yassine Ayari, sous l’ordre de son officier
traitant à Bruxelles, a lancé la désinformation selon laquelle « le
général Ammar a dit non à Ben Ali » pour créer la zizanie entre
l’armée et la police. Ce cyber-collabos, devenu depuis sympathisant d’Al-Qaïda
et propagandiste du Qatar, l’a avoué lui-même dans sa vidéo de juillet 2011 (1).
De voyages officiels à
Doha en réception à l’ambassade des États-Unis et du Qatar où on l'a vu manger
des pistaches, ce général sans honneur, sans personnalité et sans culture
assume une grande responsabilité dans le naufrage du pays. Malgré les ordres contraires de
Ben Ali, il a réprimé et tué les manifestants en janvier 2011, comme
auparavant avec les révoltés du bassin minier de Gafsa en 2008. Il a fermé les yeux sur les
snipers étrangers, y compris des mercenaires d’Al-Qaïda, qui ont
abattus des manifestants à Kasserine, Tala, Jendouba et Gafsa. Il a laissé ces snipers quitter
impunément le pays. Sous les ordres du Pentagone, il a commis un coup d’État le 14 janvier
2011 en organisant l’expulsion de Ben Ali, exigée par Washington. Il
a ouvert nos frontières aux mercenaires et aux impérialistes pour envahir la
Libye avec armes et bataillons islamistes. Il a livré les clefs de Carthage à un psychopathe et ceux
de la Kasbah à un ex-terroriste. Il a mis l’armée tunisienne sous
commandement qatari. Il a expurgé cette armée de ses éléments patriotiques,
notamment le général Ahmed Chabir…La liste de ses faits et méfaits est
encore longue. Et il ose encore se manifester dans les médias ! Récemment
pour répondre aux accusations du courageux avocat Imed Ben Hlima, lorsqu’il n’a
eu pour seul argument que de citer le petit livre de Pierre Ménat « Un
Ambassadeur dans la révolution », comme si la version de cet ancien
ambassadeur de France en Tunisie était parole d’Évangile.
L’informateur
du PS français Mustapha Ben Jaâfar
Passons à présent à
Mustapha Ben Jaâfar. A l’instar de son alter ego Marzouki, toute sa vie il a
couru derrière les droits de l’homme pour attraper le pouvoir. Cet ancien
destourien en obtiendra une partie en devenant le 22 novembre 2011 président de
la sinistre Assemblée constituante, qui a été l’instrument
« révolutionnaire » pour procéder au démantèlement de l’État national et dont les
travaux ont été suivi et suggérés en temps réel par des
« spécialistes » américains, via l’entité Al-Bawsala, qui a été
fondée par une autre célèbre cyber-collabo, Amira Yahyaoui, passée, depuis sa
mission accomplie en Tunisie au service de cheikha Moza (2).
Mis au chômage
politique par les électeurs lors des dernières législatives et présidentielles,
ce vieux bourgeois tunisois par adoption espérait occuper le poste
d’ambassadeur de Tunisie en France. Cette ultime retraite dorée auprès de ses
ex-employeurs socialistes, il ne l’obtiendra pas. Et pour cause : lors des
élections, il avait appelé à faire barrage à Béji Caïd Essebsi. Privé du faste
parisien dont il avait fait profiter son parent, l’affairiste Adel Fekih, qui
avait squatté l’ambassade de Tunisie à Paris de juillet 2012 à septembre2014,
Mustapha Ben Jaâfar passe sa retraite néanmoins dorée entre sa villa à Gammarth
et son petit palais à Hammamet, qu’il s’est fait construire après la « révolution
de la Brouette ». Abandonnant son microscopique parti Ettakatol,
il a organisé le 9 septembre une cérémonie à laquelle il a convié ses anciens
complices de la troïka dans l’avilissement de la Tunisie, dont les Frères
musulmans Rached Ghannouchi et Hamadi Jebali, ainsi que Moncef Marzouki.
Le serviteur
de John McCain, Hamadi Jebali
De principal
cerveau du double attentat perpétré, le 3 août 1987, dans des hôtels à Sousse
et à Monastir, qui ont fait une quinzaines de victimes étrangères et dont Sahbi
Amri a livré la version exacte (3),
Hamadi Jebali est devenu chef de gouvernement de décembre 2011 à mars 2013. Ce Frère musulman dit
« modéré » a été le grand protégé des service américains en Tunisie.
Condamné à mort pour faits terroristes à la fin de la présidence de Bourguiba,
il a été gracié par Ben Ali en 1989 sous les injonctions américaines. A nouveau
condamné en 1992 à seize ans de prison pour terrorisme, il a été gracié par Ben
Ali en 2006. Dès sa libération, selon les documents officiels publiés par
Wikileaks, l’ambassadeur des États-Unis en Tunisie, William Hudson, lui avait
envoyé chez lui un émissaire le 31 août 2006 pour recueillir ses doléances. On comprendra pourquoi, c’est
sous la chefferie de Jebali à la Casbah (2011-2013) que le criminel de guerre
John McCain se rendait fréquemment au pays de Bouazizi ! C’est
également sous son premier ministère que Baghdadi Mahmoudi a été livré aux
Frères musulmans libyens et aux miliciens d’Abdelhakim Belhadj, avec l’accord
de Moncef Marzouki. C’est
également avec la complicité du célèbre Tartour qu’il a organisé et supervisé
l’expédition de 11.000 djihadistes-terroristes en Syrie. [Voir :
Terrorisme
islamiste. Pourquoi la Tunisie danse-t-elle avec le diable ?].
La dernière
manifestation de ce Frère musulman invétéré a été le 16 août 2017, lorsqu’il a
condamné sur sa page facebook les propositions tactiques de Béji Caïd Essebsi
en matière d'égalité dans l'héritage et de mariage à un non-musulman. Pour cet
ancien terroriste et protégé de McCain, « le président de la République
a démontré une nouvelle fois qu'il est le premier à appeler à la violation de
l'article premier de la constitution », indiquant qu'à travers ses
propositions Béji Caïd Essebsi ne prend pas en considération les sentiments de
tout le peuple mais seulement d'une partie: « Il menace la paix sociale… ».
Devenu, par la grâce du Qatar et Émirats, auxquels il a cédé des pans entiers de l'économie tunisienne lorsqu'il était premier Sinistre, l'un des oligarques les plus riches de Tunisie. Au Cap Bon (Nabeul , Hammamet, etc.), au Sahel, et ailleurs, il a acquis des terrains touristiques et commerciaux, édifié des complexes d'habitations sur les terrains initialement de l'AFH. Il a aussi une chaîne de magasins, AZIZA, qui commercialise des produits turcs de son ami, le dictateur islamiste Erdogan , à des prix cassés afin de casser justement tous les produits tunisiens et faire fermer le peu d'usines qui restent.
Comparés à Hamadi Jebali, les Trabelsi sont des petits apprentis voleurs.
Devenu, par la grâce du Qatar et Émirats, auxquels il a cédé des pans entiers de l'économie tunisienne lorsqu'il était premier Sinistre, l'un des oligarques les plus riches de Tunisie. Au Cap Bon (Nabeul , Hammamet, etc.), au Sahel, et ailleurs, il a acquis des terrains touristiques et commerciaux, édifié des complexes d'habitations sur les terrains initialement de l'AFH. Il a aussi une chaîne de magasins, AZIZA, qui commercialise des produits turcs de son ami, le dictateur islamiste Erdogan , à des prix cassés afin de casser justement tous les produits tunisiens et faire fermer le peu d'usines qui restent.
Comparés à Hamadi Jebali, les Trabelsi sont des petits apprentis voleurs.
L’agent
permanent du Qatar, Moncef Marzouki
Moncef Marzouki
est un cas à part. Celui qui a construit toute sa légende sur la défense des
droits de l’homme et sur son intransigeance face à Ben Ali a été parmi les
premiers à féliciter en 1987 « l’architecte du changement historique » en
lui proposant ses services (5).
Porté à la présidence de la République grâce à Rached Ghannouchi et au soutien
massif du qatarien Hamad et du Proconsul américain Jacob Wallas, malgré son
score leucémique aux élections de 2011 (7000 voix obtenues), jamais élu au suffrage
universel, cet agent du Qatar a fait le plus grand mal à la Tunisie. C’est lui
le principal artisan de la perte de souveraineté tunisienne [voir : Tunisie.
HAUTE TRAHISON. Moncef Marzouki aidait les terroristes contre l'Armée Nationale]
et en cela il est le digne héritier de son géniteur ! [Voir Moncef
Marzouki est le fils d'un goumier, d'un traître].
Il a livré les archives
de la présidence à Salem Alem Jarboui, le patron des services qataris au
Maghreb, a ouvert les salons du palais de Carthage à la racaille intégriste y
compris celle qui divinisaient Ben Laden ainsi que les miliciens de la « ligue
de protection de la révolution », a co-organisé avec les Frères
musulmans le transfert de 11.000 terroristes tunisiens vers la Syrie, a rompu
avec l’État syrien les relations diplomatiques, a organisé à Gammarth la
première rencontre de la coalition « nationale syrienne », a
œuvré à la déstabilisation de l’Algérie, a livré Baghdadi Mahmoudi aux
terroristes libyens, a autorisé l’armée américaine (AFRICOM) d’installer deux
bases en Tunisie (Remada et Bizerte), ce que Ben Ali leur avait refusé…
Récemment, pour que les
Tunisiens se rappellent à son bon vieux souvenir, il s’est livré à son exercice
préféré : une série d’entretiens sur Al-Jazeera, la télévision qui l’emploie,
interrogé par le Frère musulman Ahmed Mansour. Celui que les Tunisiens
appelaient le Tartour est revenu, le 27 août dernier, sur les circonstances
ayant entouré le renvoie général félon Rachid Ammar.
Ce traître suprême
bénéficie encore d’une garde présidentielle, d’un passeport diplomatique et
d’une rente mensuelle de 30.000 dinars qui devait être revue à la baisse en
juin 2015 par un projet de loi relatif à la retraite et aux avantages accordés
au président de la République après la cessation de ses fonctions. Sait-il qu’il risque
de se faire juger et condamner par le Tribunal pénal international pour sa
responsabilité dans l’envoie du plus important contingent de terroristes
Tunisiens en Syrie ? Idem pour ses complices : Rached Ghannouchi,
Hamadi Jebali et Mustapha Ben Jaâfar.
(1)
http://www.tunisie-secret.com/Yassine-Ayari-un-cyber-collabos-recycle-dans-le-salafisme-video_a680.html
(2)
http://www.tunisie-secret.com/La-cyber-collabos-Amira-Yahyaoui-au-service-de-cheikha-Moza_a1728.html
(3)
http://www.kapitalis.com/politique/16547-tunisie-politique-sahbi-amri-accuse-hamadi-jebali-est-le-cerveau-des-attentats-de-1987-a-sousse-et-monastir.html
(4)
http://www.tunisie-secret.com/Explosif-les-relations-entre-les-Americains-et-les-islamistes-tunisiens-remontent-a-2004_a252.html
(5)
http://www.tunisie-secret.com/Exclusif-L-epoque-ou-Moncef-Marzouki-lechait-les-bottes-de-Ben-Ali-document_a697.html
CONCLUSION
Source : Tunisie Secret
Aujourd'hui, le Tunistan est un pays en ruines par la grâce non pas d'Allah ou de son Prophète, mais par des hommes corrompus et voleurs : les islamistes. Les Gouvernements actuels, ne sachant plus comment payer les hordes de fonctionnaires nahdaouis aussi inutiles qu'incompétents, inventent chaque jour de nouvelles taxes que le pauvre Tunisien DOIT payer, sinon ses dossiers se trouvent bloqués pour des mois et des années.
Le génial Ibn Khaldoun l'avait déjà dit :
(
VOIR AUSSI :
- TUNISTAN. Le traître Marzouki et la LPR lancent une nouvelle "révolution" de la brouette"
- TUNISTAN. Explosif : Ennahda imprime de la vraie fausse monnaie et la BCT ferme les yeux
- Moncef Marzouki est le fils d'un goumier, d'un traître
Hannibal GENSERIC