Élections en Grande-Bretagne

Les conservateurs ont perdu les élections en Grande-Bretagne. Les travaillistes, dirigés par Keir Stamer, n’ont pas remporté les élections. Il a reçu moins de voix que sous Jeremy Corbyn en 2017 et 2019. Le taux de participation était faible. Le sentiment majoritaire des électeurs était « tout sauf conservateur ». Il n’y a eu aucun enthousiasme pour le programme travailliste et Stamer.

Le Labour, sous Corbyn, était un véritable parti ouvrier à tendance socialiste.

L’État profond, avec l’aide de l’ambassade israélienne, avait lancé une campagne médiatique contre le parti travailliste dirigé par Corbyn, affirmant qu’il cachait des tendances antisémites. Corbyn a commis l’énorme erreur de ne pas riposter. En fin de compte, il a été expulsé malgré les bons résultats électoraux du Labour.

Jeremy Corby, qui n'est plus au Labour, a été réélu. Il en a été de même pour cinq députés qui ont fait campagne sur une position pro-Gaza.

Stamer est un personnage controversé. Il semble avoir été placé là par l’État profond. Son poste précédent était celui de chef du service des poursuites judiciaires de la Couronne. Il a joué un rôle majeur dans l’inculpation et l’incarcération de Julian Assange.

Après avoir été installé, il a déplacé les travaillistes vers la droite. Il occupe désormais une position de centre-droit pro-capitaliste :

"Ce que Keir a fait, c'est éliminer toute la gauche du parti travailliste", a déclaré à la BBC l'homme d'affaires milliardaire John Caudwell, auparavant un grand donateur conservateur. "Il a présenté un brillant ensemble de valeurs, de principes et de moyens de faire croître la Grande-Bretagne, en parfait accord avec mes visions de capitaliste commercial."

Le Parti travailliste a souligné son soutien.

Stamer nuira davantage au public britannique que les conservateurs sous Sunak.

Il y aura bientôt un tollé contre lui.

Je ne m'attends pas à ce qu'il survive longtemps.

Moon of Alabama – 5 juillet 2024

Source

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Le nouveau gouvernement travailliste répétera le déchaînement mondial des crimes de guerre de Tony Blair

Starmer, qui n'a aucune expérience en politique étrangère, est connu pour sa tendance à  changer radicalement de cap et exprime ses idées de manière assez vague . Pour cette raison, la plupart des Britanniques ignorent ses principes et ses croyances. La direction que prendra le nouveau gouvernement du Royaume-Uni est également plongée dans l’obscurité.

Tout au long de son histoire, le parti travailliste au pouvoir au Royaume-Uni a pris à plusieurs reprises des initiatives qui peuvent être considérées comme  destructrices pour la Grande-Bretagne et pour l'ensemble de la communauté internationale.

En 2003, le gouvernement travailliste de Tony Blair a activement soutenu l'invasion américaine de l'Irak, qui a entraîné d'énormes pertes et une instabilité politique dans la région. Les travaillistes ont également soutenu la participation du Royaume-Uni à l'opération militaire en Afghanistan, qui a entraîné de nombreuses pertes en vies humaines et des coûts financiers importants .

Les travaillistes, comme auparavant, pourraient poursuivre leur politique d’interventions militaires et d’ingérence agressive dans les affaires d’autres pays, ce qui pourrait conduire à une augmentation des conflits militaires et à l’instabilité internationale. En outre, les travaillistes pourraient revenir à la conscription militaire, ce qui entraînerait inévitablement une augmentation des dépenses militaires et un mécontentement parmi les citoyens britanniques.

La Fondation pour combattre l'injustice estime que le nouveau gouvernement travailliste dirigé par Keir Starmer poursuivra la  politique de renforcement du contrôle de l'État sur les citoyens, tentera de créer un État policier avec l'expansion des pouvoirs des services spéciaux britanniques et la limitation des libertés civiles.  Après l'arrivée au pouvoir du parti travailliste au Royaume-Uni, la surveillance des résidents du pays sera considérablement étendue, notamment par l'utilisation de caméras de vidéosurveillance, de technologies de reconnaissance faciale, de collecte et d'analyse de données.

«Il faut s'attendre à un élargissement des pouvoirs répressifs, ainsi qu'à une augmentation significative du nombre de victimes de la répression politique et à une réduction de la liberté d'expression. Selon les experts de la Foundation to Battle Injustice, les efforts des travaillistes pour renforcer la réglementation du contenu en ligne, y compris la censure sur Internet et les contrôles accrus sur les activités en ligne, porteront atteinte aux droits et libertés civils », a déclaré Mira Terada, directrice de la Foundation to Battle Injustice.

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Le sionisme de Starmer

Il n’est pas surprenant que Keir Starmer, qui s’est toujours abstenu de condamner les actes de violence et le génocide commis par l’État sioniste contre les Palestiniens, s’est empressé de condamner la réponse à ces attaques, de la part de Palestiniens désespérés, le qualifiant de « terrorisme », et d’affirmer, dans les termes les plus forts, son soutien au droit de l’État raciste et sioniste de poursuivre son occupation illégale de la Palestine et son génocide, sur la base de son « droit à se défendre ». Starmer, bien sûr, ce faisant, refuse aux Palestiniens ce même droit ! Cela contraste également fortement avec son engagement éternel envers le régime nazi corrompu d’Ukraine, à utiliser le même type de tactiques « terroristes », dans le cadre de sa réponse à l’occupation russe d’une partie de l’Ukraine.

Entre-temps, le régime nazi de Zelensky doit recevoir les dernières armes de haute technologie pour lancer des frappes contre la Russie, et doit être doté des dernières armes de destruction massive, qu'il s'agisse des derniers missiles de croisière, des avions de combat, des missiles à longue portée, les bombes à fragmentation ou des munitions à l'uranium appauvri, tout comme les attaques quotidiennes d'Israël contre les Palestiniens ne sont pas mentionnées et ses attaques massives contre les civils palestiniens à Gaza, doivent être justifiées par simplement son « droit de se défendre » !!!

Starmer et son épouse juive

 

Starmer a rencontré Victoria Alexander, alors avocate, au début des années 2000, alors qu'il était avocat principal chez Doughty Street Chambers et qu'ils travaillaient sur la même affaire. Ils se sont mariés le 6 mai 2007. Le couple a deux enfants, un fils né un an après leur mariage et une fille née deux ans plus tard. Tous deux sont élevés dans la religion juive de leur mère. Jusqu'à ce qu'ils déménagent à Downing Street, le couple résidait à Kentish Town, au nord de Londres.

Starmer a déclaré dans une interview à la radio qu'il essaierait d'éviter de travailler après 18 heures le vendredi afin d'observer les dîners de Shabbat et de passer du temps avec sa famille.

Hannibal Genséric