Nombreux sont ceux qui ont entendu, un jour ou un autre, le nom tant imagé de l'organisation « Reporters sans frontières » qui inspire une confiance spontanée et qui ne pousse pas, d’une manière naturelle, à se poser la question : qui y a-t-il derrière une aussi belle étiquette, qui sont ces « reporters » ?
(Extraits)
De ce
fait, rares sont ceux qui ont pris la peine de s’arrêter et de se pencher en
détail sur l’essence et les pratiques de cette organisation journalistique qui
prétend être constituée des grands défenseurs de la démocratie et de la liberté
de parole des journalistes du monde entier, des nobles travailleurs de la plume
totalement apolitiques, désintéressés et impartiaux dans leurs jugements et
actions au-delà de toutes les frontières.
Corrigeons cette erreur de l’injuste inattention de la part du
grand public et de la plupart des médias : rendons hommage au travail des
glorieux journalistes de RSF, en mettant en lumière un certain nombre
d’éléments fort intéressants les concernant : ils le méritent grandement.
Des éléments qui démontreront plus que clairement que l’ONG
« Reporters sans frontières » possède un deuxième visage, le vrai,
qui est bien plus intéressant que le premier, visible et si fièrement affiché.
RSF et son pseudo
« Classement mondial de la liberté de la presse »
En 2002, les « Reporters sans frontières » ont trouvé
une astuce fort intéressante pour se faire connaitre : la publication
annuelle du « Classement mondial de la liberté de la presse » qui
fait évaluer 139 pays, et aujourd’hui 180, au niveau de la liberté de la presse
sur leur territoire respectif.
« L’objectif du Classement mondial de la liberté de la presse
est de comparer le degré de liberté dont jouissent les journalistes et les
médias dans 180 pays ou territoires », annonce RSF.
« Les indices globaux et régionaux sur la liberté de la
presse sont calculés à partir des scores obtenus par les différents pays. Ces
scores sont établis à partir d’un questionnaire proposé en de nombreuses
langues à des experts du monde entier, doublé d’une analyse qualitative ».
Quelles belles paroles ! Cela étant, parmi tous les termes
qui puissent désigner le classement en question publié chaque année par les
personnes composant cette ONG, l’un des plus appropriés est celui de la
tromperie et la désinformation à l’échelle mondiale.
Méthodologie fallacieuse
Les premières questions à se poser : par qui est réellement
réalisé le classement en question ?
Qui sont les « experts » qui se cachent derrière ce
classement ? Qui sont les « jurés » qui contrôlent les
« bulletins » des votants à la sortie de « l’urne de
vote », qui les décortiquent et rendent leur verdict ? Qui contrôle
l’absence de la supercherie et de la falsification ?
La réponse est simple, claire et sans équivoque : de parfaits
anonymes qui ne rendent des comptes qu’à eux-mêmes.
Des anonymes qui ont été sélectionnés d’une manière totalement
arbitraire, selon la bonne volonté, les intérêts et les objectifs à atteindre
des individus gérant RSF. Des individus aux principes moraux et à l’éthique plus
que discutables, ce que je vais aisément prouver ci-dessous.
Quel est le parcours professionnel de ceux qui participent à
l’élaboration du classement en question et, surtout, de quels orientation
politique sont-ils et quelle idéologie représentent-ils ? Quelles sont
leurs sources de revenus, qui les paye ?
Il est facile d’obtenir les réponses à ces questions, à la
condition que leurs noms sortent de l’anonymat et parviennent en pleine
lumière.
L’argumentation superflue avancée par RSF sur la dissimulation de
l’identité des participants au classement pour soi-disant des raisons de
sécurité ne tient pas la route et est tout à fait grotesque : sans le
moindre doute, tout au moins une partie des répondants et des jurés se situent
sur le territoire des pays dits « démocratiques » et ne risquent donc
absolument rien en dévoilant leur identité. Sans oublier qu’il n’est pas
nécessaire de dévoiler des éléments de leurs votes et appréciations dans le
cadre dudit classement.
De même, l’ONG RSF annonce fièrement que de nombreux
« militants des droits de l’homme » sont impliqués dans l’élaboration
du prétendu classement. Qui sont ils ? Si ce sont des militants, alors, ce
ne sont certainement pas des " Zorro " agissant sous le couvert de
l’anonymat dans leur vie de tous les jours, mais des personnes, dont l’activité
est parfaitement connue dans leurs pays respectifs et qui ne se cachent
certainement pas derrière l’anonymat de ceux contre qui ils militent.
Alors, pourquoi les « journalistes » de l’ONG en
question cachent-ils aussi soigneusement leurs identités au sein d’une aussi
noble et glorieuse entreprise que leur « classement mondial de la liberté
de la presse » ?
Ces nombreuses questions sont tout à fait rhétoriques - les
réponses sont connues d’avance : l’ensemble des répondants et des jurés
font, sans le moindre doute, partie du seul est unique camp
politico-idéologique que représente RSF et il serait fort étonnant que la
majorité d’entre eux ne soit pas financée/co-financée par les commanditaires de
la même minorité mondiale qui aliment en argent les activistes au sein de RSF.
Le taux d’erreur possible d’une telle supposition est mathématiquement proche
de zéro.
RSF a donc toutes les raisons de cacher soigneusement les
identités des participants à leur prétendu classement : leur mise en lumière mènerait directement à la découverte
de la grande supercherie de leur entreprise et révèlerait le caractère
fallacieux et arrangé du prétendu classement au niveau même des participants,
sans parler des éléments qui suivront.
De même que pour les effectifs de RSF, je ne suis guère un expert
en matière de questions de la liberté de presse dans le monde. Cela étant,
ayant des connaissances précises du domaine, en ce qui concerne les quatre pays
désignés dans le « classement » de RSF en tant qu’exemple à
suivre : l’Ukraine, la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie - je vais
aisément démontrer en détail la grossièreté de la tromperie du prétendu
classement de RSF pour ce qui est des pays en question.
…
Les financements et les dépenses de RSF
Nul doute que la jolie présentation en tête du dernier rapport
financier de « RSF » qui rappelle drôlement le drapeau de
l’organisation ultranationaliste extrémiste ukrainienne « Secteur
Droit » n’est rien d’autre que le produit de mon imagination.
Cela étant, les « reporters » sans frontières peuvent
être fiers d’une telle coïncidence, vu qu’ils soutiennent officiellement, corps
et âme, le régime qui héberge, courtise, décore et glorifie cette entité de
« défense de la lumière des valeurs démocratiques face à
l’obscurantisme », et doivent me remercier pour leur avoir pointé du doigt
cet idyllique parallèle. Je leur laisse fort volontiers et à titre gracieux ce
« produit de ma propriété intellectuelle » pour une utilisation ultérieure
à volonté.
Trêve de lyriques parenthèses, revenons à nos moutons ou, plus
exactement à nos « journalistes » de RSF, ou, encore plus exactement,
à leur comptabilité, laquelle, je peux vous assurer d’avance, est aussi
spectaculaire qu’instructive.
Cela étant, afin de ne pas trop alourdir le présent récit, je
m’arrêterai que sur trois éléments du « passif » comptable et que du
dernier rapport financier de « RSF Paris » de l’année 2023, ainsi que
de leur budget 2024 : charges « bureaux », « locaux »
et « ressources humaines », bien que le reste soit également fort
intéressant et mérite de l’attention.
Les dépenses RH de RSF et le côté quantitatif de leur activité
Selon le rapport financier de RSF, que pour l’année 2023 les
dépenses de l’association réalisées au niveau des Ressources Humaines (RH) sont
à hauteur de 4 477 585 euros et le budget RH prévu pour l’année 2024 est à
hauteur de 5 004 137 euros.
Ceci avec uniquement 92 salariés en France et de par le monde pour
l’année de 2024. Selon les sources ouvertes et les déclarations de RSF, il
compte 55 salariés en France, 1 en Belgique, 2 au Royaume-Uni, 3 aux
Etats-Unis, 10 au Brésil, 5 au Sénégal, 4 en Tunisie, 8 à Taiwan, ainsi qu’un
représentant par pays pour le Mexique, l’Algérie, la Turquie et le Pakistan.
Soit, en moyenne, plus de 4 500 euros/mois/pers en RH en 2024, en
sachant que près de ¼ des salariés de RSF se situe dans les pays où le salaire
moyen n’est que de quelques centaines de dollars par mois.
En consultant les rapports d’activités annuelles de RSF et en
analysant le travail concret accompli, notamment durant l’année 2024, on y
découvre aisément les résultats du travail annuel correspondant à celle d’une
équipe classique de 20-30 personnes bien chargées au quotidien. Cela étant,
nous sommes particulièrement éloignés de ce que devrait produire une équipe de
92 professionnels salariés appuyés par plus de 150 correspondants (les
déclarations simultanées floues de RSF dans des sources diverses parlent de
134, de 136 et de plus de 150 correspondants), soit plus de 242 personnes
dotées d’un gigantesque budget de près de 15 millions d’euros ne serait-ce que
pour ladite année.
En parlant de détails du réel travail journalistique quantifiable
- les publications - et en partant des déclarations de RSF indiquant au moins
243 salariés et correspondants dans le monde, voyons les résultats quantitatifs
de cette équipe en se basant sur l’ensemble des publications de RSF, par
exemple du mois d’avril 2025, qui n’est guère très diffèrent de tout autre mois
de l’activité de cette ONG.
En avril 2025, l’ensemble des effectifs salariés et non-salariés
de RSF ont produit des articles publiés sur leur plateforme, dont l’ensemble
représente 155 000 caractères/30 = 5 166 caractères/jour.
Soit, au moins 243 personnes ayant à leur disposition un budget
mensuel de 1 249 320 euros ont produit 47 lignes de texte par jour sur une page
A4. Soit, 5166/243 = 21 caractères = 3-5 mots par jour par
« journaliste » faisant partie de cette fameuse structure laquelle,
rien qu’en 2024, a consommé, selon le budget 14 971 239 euros).
L’ensemble des publications sur le site internet RSF, l’ensemble
de leur publication sur YouTube et sur tout autre réseau social - c’est un
travail digne de ce nom de 5-10 personnes travaillant à plein temps. De quoi
s’occupe le reste des effectifs de cette ONG reste un grand mystère.
Cela va de soi, en répondant à des questions sur l’incroyable
médiocrité quantitative de l’activité de RSF, cette organisation, comme
n’importe quel appareil bureaucratique qui doit justifier son existence et les
sommes gigantesques consommées tirées des poches des contribuables, commencera
sans le moindre doute à parler de l’importance non pas de la quantité mais de
la qualité de leur action.
Cela étant, la question de la qualité est bien celle, dont ils
devraient éviter de soulever, vu la grossièreté superficielle et linéaire du
quasi ensemble des missives produites par RSF tout au long de son existence et
qui ont incomparablement plus en commun avec des slogans criés depuis les rangs
des partis politiques des mouvances radicales lors de leurs manifestations de
rue, qu’avec un travail journalistique digne de ce nom.
En ayant comme l’une des principales activités les procédures de
la perception des subventions constituées principalement de l’argent des
contribuables européens et américains et de leur consommation, il ne faut guère
s’étonner d’une telle quantité de « travail » accompli par RSF.
Bureaux et locaux de RSF : la belle vie
Un autre point fort intéressant de la comptabilité de RSF :
le rapport financier de cette entité démontre qu’elle a réussi la grande
prouesse d’avoir dépensé 1 567 337 euros en lignes comptables de dépenses
« bureaux » et « locaux » rien que pour l’année 2023. Soit
130 611 euros/mois (!).
En 2024, selon ledit rapport financier, le chiffre 1 567 337€
passe à 2 155 928 euros, soit à 179 600 euros/mois, en sachant que la majorité
des bureaux de RSF hors France sont implantés dans les pays et villes, dont les
prix de l’immobilier/loyer sont sensiblement, voir incomparablement plus
faibles par rapport à ceux de Paris ou Londres : Dakar, Tunis, Taipei et
Rio de Janeiro.
En parlant de son implantation en France, l’association RSF,
existant à 2/3 grâce à des subventions étatiques - c’est-à-dire grâce à
l’argent des contribuables - a choisi d’installer ses bureaux dans les
quartiers prisés de la ville de Paris. Les « reporters » de RSF
estiment certainement que c’est en-dessous de leur honneur et niveau
socio-professionnel que d’élire domicile, par exemple, à quelques kilomètres
plus loin, derrière le boulevard périphérique de la ville de Paris où les prix
de l’immobilier/loyer sont très sensiblement moins chers par rapport à ceux de
leurs quartiers parisiens enviables par tant d’entreprises qui ne peuvent pas
se permettre un tel luxe, car leur argent ne tombe pas du ciel, contrairement à
l’ONG en question.
Après cela, étant donné que la partie écrasante de l’argent
qu’elle dépense n’a rien à voir, ni de près, ni de loin, avec celui des
entreprises privées qui doit être d’abord durement gagné avant d’être dépensé –
le gaspillage de l’argent des contribuables, ainsi que des donateurs privés,
dont la naïveté est abyssale, ne doit étonner personne.
Les éléments exposés ci-dessus démontrent que le confort et le
bien être personnel des individus composant l’association RSF doivent être,
fort probablement, prédominant vis-à-vis la prétendue raison de leur existence
qui est « la protection des journalistes opprimés dans le monde ».
En prenant la comptabilité de RSF, n’importe quel chef
d’entreprise digne de ce nom peut aisément démontrer comment diminuer
facilement les dépenses financières de fonctionnement de l’entité en question
au moins à 1/3, voire à 1/2, sans pour autant perdre en qualité du travail
rendu. La question reste ouverte si de tels résultats financiers sont le fruit
d’une gestion lamentable ou d’autre chose.
Qui sont les véritables propriétaires de RSF ?
Ales dos Santos disait : « Montre-moi tes amis, et je te dirai qui tu es ».
Dans tous les domaines d’activités, dont les acteurs sont dépourvus de la
capacité propre de l’autofinancement et sont directement dépendants des
financements externes - pour la majorité des médias en Occident et les entités
du type « Reporters sans frontières » - ce proverbe sonne
autrement : « Montre-moi
ceux qui te financent, et je te dirai la propriété de qui tu es ».
Le terme « propriété » n’est guère une exagération, mais
un constat indéniable : coupez les perfusions financières détenues par les
donateurs de tels organismes et vous observerez leur disparition dans les plus
brefs délais. Ceux qui décident de la viabilité d’une telle ou telle structure
sont ses réels propriétaires.
Soit, pour connaitre à qui appartient réellement l’ONG RSF et tant
d’autres entités handicapées du point de vue de l’autosuffisance financière, il
suffit de se rappeler un bon vieux proverbe russe : « Celui qui paie
commande la musique », pour lequel les français ont trouvé une autre
formule pour décrire le phénomène : « Qui paie le bal mène la
danse ».
En mai 2025, le média français L’Éclaireur écrit : « L’UE finance, avec l’argent des
contribuables européens, un vaste système de propagande mêlant agences de
presse, régies publicitaires, médias mainstream et prétendument
indépendants, ONG et agences étatiques comme Viginum. Près de 650 millions
d’euros déboursés au niveau européen, auxquels il faut rajouter les dépenses de
chaque Etat membre... Contrat-cadre de 123,8 millions d’euros accordé à Havas
(groupe Bolloré) juste avant les élections européennes de 2024. Bref, on
dépense des sommes considérables de vos impôts pour que vous pensiez bien et
n’ayez aucun accès à une information déviant du discours officiel ».
Personne ne sera surpris d’apprendre que parmi les heureux
bénéficiaires de la manne financière distribuée par l’UE à ces agents de
propagande, après l’avoir soutiré des poches des contribuables, se situe l’ONG « Reporters
sans frontières ».
En France, la très « indépendante » ONG RSF se situe non
seulement parmi les heureux consommateurs des fonds du ministère de l’Europe et
des Affaires étrangères, mais également parmi les principaux bailleurs de fonds
de l’Agence française de développement (AFD) du gouvernement Macron.
En indiquant la répartition par type de sources du financement, ce
mois de juillet 2025 RSF indique les données sur l’année 2024 où la part des
subventions publiques perçues passe de 54% sur l’année de 2023 à 65% en 2024
(69,3%, si on se base sur le « budget RSF Paris 2024 » indiqué dans
leur rapport financier, soit 10 390 491 euros sur les 14 991 841 euros du total
de « recettes »).
De l’autre côté de l’Atlantique, les « Reporters sans
frontières » sont également chez eux : étant l’un des agents de
propagande et de désinformation parmi les plus agressifs de ceux qui agissent
contre le monde non occidental dans les intérêts du pouvoir étasunien
principalement, ils sont les heureux bénéficiaires depuis tout une époque d’une
rivière financière coulant des sources étasuniennes vers la caisse de RSF.
Notamment depuis l’USAID (supervisée par le président des EU, le Département
d’Etat, le Conseil de sécurité nationale et la CIA) via National Endowment for
Democracy (NED) et la sulfureuse organisation de Georges Soros qui est l’Open
society Foundation - les deux outils opérationnels du financement de
l’ingérence dans les affaires des pays étrangers, de la désinformation à grande
échelle, de la déstabilisation des sociétés et de la propagation générale du
chaos dans les pays du monde non occidental résistant à la domination de
Washington.
La rivière financière réputée impérissable s’est, pourtant, tarie.
Dès son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump a coupé toutes les tentacules
de l’ingérence dans les affaires des pays étrangers via ses agents médiatiques
à l’étranger, dont RSF, bénéficiaires d’une gigantesque manne financière (ne
serait-ce que pour l’année 2025, le budget prévu à cet effet était de 268 millions
de dollars), ce qui a semé une véritable panique à l’échelle mondiale dans
leurs rangs.
On peut être d’opinion différente sur la personne et la politique
menée par Donald Trump, cela étant, il a bien mis fin au fonctionnement de
l’organisme de l’apport du chaos dans le monde entier qu’est l’USAID et, par la
même occasion, du pillage des contribuables étasuniens. Cela étant, il faut
rester lucide : dès le jour où le camp de Donald Trump perdra le pouvoir -
USAID sera, sans le moindre doute, immédiatement rétabli et son action de
déstabilisation des sociétés dans le monde non occidental reprendra.
En ce qui concerne la réaction des « Reporters sans
frontières » à la nouvelle initiative de la maison Blanche, Clayton
Weimers, responsable du bureau RSF Amérique du Nord a exulté : « Le
gel du financement de l’aide américaine sème le chaos dans le monde entier, y
compris dans le journalisme. Les programmes qui ont été gelés apportent un
soutien vital à des projets qui renforcent les médias, la transparence et la
démocratie. Le président Trump a justifié ce décret en accusant – sans preuve –
une soi-disant « industrie de l’aide étrangère » de ne pas être
alignée sur les intérêts américains ».
Soit, ce personnage affirme que Donald Trump incrimine l’USAID de
travailler contre les intérêts des EU et reproche au président de l’affirmer
sans aucune preuve. De ce fait, les « Reporters sans frontières »
confirment eux-mêmes que les financements de l’USAID, dont ils ont été les
heureux bénéficiaires de très longue date, servent les intérêts des Etats-Unis
d’Amérique et non pas de belles causes exposées par la propagande mensongère.
« La face cachée de Reporters sans frontières : de la
CIA aux faucons du Pentagone »
Selon les éléments exposés dans la présente analyse on pourrait
croire que la véritable nature de la prétendue association journalistique
qu’est RSF et ses réelles activités ne concernent que les dernières années de
son existence. Loin de là. L’ensemble des éléments exposés à présent concerne
directement non pas les dernières années, mais bien les décennies de son
existence.
Notamment, dans l’ouvrage « La
face cachée de Reporters sans frontières : de la CIA aux faucons du
Pentagone » paru déjà en 2007, son auteur Maxime Vivas détaille sur
plus de 250 pages les fréquentations douteuses, les financements honteux, les
hargnes sélectives, les indulgences infondées, les tentatives de dissimulation,
les manipulations des chiffres et les mensonges réitérés des « Reporters
sans frontières », le tout au service d’une cause sans aucun rapport avec
les objectifs si fièrement affichés.
Le livre démontre en détail l’ardeur au travail de RSF contre les
pays pauvres que l’Occident veut soumettre et le silence des prétendus
« reporters » face aux concentrations financières dans les médias des
pays riches, de même que la mansuétude envers les « bavures » de
l’armée américaine dans le monde et les « oublis » dans la
comptabilisation pas RSF des journalistes qui en sont victimes.
Les paravents de la CIA qui co-financent RSF via leurs outils
financiers d’ingérence dans les affaires des pays étrangers que sont les
organisations CFC et NED via USAID également mises à la lumière du jour. Sans
oublier la sulfureuse fondation Open Society de Georges Soros qui agite partout
où peut être mis en place des régimes pro-américains et qui fait également
partie des généreux sponsors de RSF.
La préface en dit long : « [...] le lecteur observera
que mon assertion est confirmée par des dizaines de sources vérifiées [...] RSF
est bien financé par des officines-écrans de la CIA ou par le milliardaire et
magnat international de la presse Georges Soros via Open Society Institute qui
intervient dans les contrées où peut être fabriqué un gouvernement
pro-états-uniens. On constatera, grâce des sources irréfutables, que la famille
d’un caméraman assassiné par l’armée états-unienne a ordonné un RSF de se
retirer du dossier pour cause de flagrante complaisance avec les tueurs. On
découvrira comment RSF joue le rôle d’avocat des faucons du Pentagone. [...] On
pourra même visionner en débat public où RSF plaide pour la liberté de
publication des textes révisionnistes et négationnistes [...] ».
L’auteur pose la question « Alors, RSF ? Association
humanitaire ou bras médiatique européen de la CIA et des faucons du
Pentagone ? » et apporte une réponse détaillée et anéantissante à ces
pseudos humanitaires.
…
Oleg Nesterenko
Président du CCIE
( Centre de commerce et d’industrie
européen)
21 juillet 2025
Source : https://www.legrandsoir.info/les-reporters-sans-frontieres-qui-sont-ils-reellement-le-dossier.html
L’Eclaireur : [ Flash ] Back in the EUSSR
[…] En
parlant d’ONG, nous avons en France cette officine de censure grassement
financée par USAID, la Commission européenne et certains Etats : Reporters sans
frontières (RSF).
Nous avons
vu apparaître au nombre de nos abonnés gratuits le 2 avril 2025 un employé de
RSF, Arnaud Froger. Autant vous dire que cela nous a fait dresser les
oreilles, parce que nous connaissons de longue date les méthodes de cette ONG.
Ça n’a pas
manqué. Le 19 mai 2025, une « enquête » a été publiée concernant Oleg
Nesterenko, président du Centre du Commerce et de l’Industrie Européen, à qui
nous avons plusieurs fois donné la parole dans notre rubrique « Réflexions
libres » depuis le début du conflit en Ukraine. Nous jugeons important de
comprendre le point de vue russe dans le conflit ukrainien, si l’on veut avoir
une chance d’y trouver une issue.
RSF s’est
donc fendu d’une « hit pièce », comme on dit en bon français, un
article dénigrant, voire diffamatoire, visant à décrédibiliser les propos
d’Oleg Nesterenko par le biais d’attaques personnelles. Lire ici la
réponse de M. Nesterenko. […]
Le Grand soir ressort et met à jour une grande dénonciation de RSF et CIA et groupes publiciataire Saatchi & Saatchi + le groupe Pinault, ^publié par le Figaro en 2006 et des articles sur CubaSi en 2004. https://cuba-solidarity.org.uk/cubasi/article/29/the-truth-about-reporters-sans-frontiegraveres. C'est en anglais, mais...
RépondreSupprimerC'est donc de l'info réchauffée. Pour autant merci au Grand Soir de rappeler les faux nez US. Ils peuvent s'intéresser à tous les financements de l'USAID et du NED dans la presse mondiale. C'est dans la même veine et pour les mêmes raisons : la conduite du narratif pour abrutir les populations.
99% des ONG sont DIRECTEMENT ou PAS sous le contrôle des ÉTATS.....ou de grands groupes industriels et financiers mondiaux ( voir green peace) Donc RSF aussi! Celles qui se veulent utiles et indépendantes meurent vite, faute de soutiens financiers et visibilité médiatique.
RépondreSupprimerCela relève du soft power de/pour certains états.....On avait vu un vendeur de capsule de café.....mener des campagnes médiatisées au profit des pôvres petit soudanais du Darfour...Jusqu'à la PARTITION du Soudan, ensuite il a disparu....
* Ce n'est pas du réchauffé mais un RAPPEL!
Pour faire court et répondre au titre de l'article je dirais :
RépondreSupprimer"Des Barbouzes pour la plupart..."
Fin
Vous voyez Robert Ménard en "barbouze" ?
RépondreSupprimerSi oui, c'est que vous ne connaissez pas ce qu'ont été ou ce que sont les "barbouzes". Tous les agents de renseignement (espions pour faire court) ne sont pas des barbouzes et toutes les barbouzes ne sont pas des agents de renseignement.