6 Mai 2013
Les dernières agressions d’Israël contre la Syrie confirment si besoin l’alliance tactique et stratégique entre les islamistes et les sionistes, entre l’Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie d’une part et Israël, les Etats-Unis d’Amérique et l’Europe d’autre part. Très vieille alliance malgré les apparences et la propagande islamiste. Que ceux qui n’ont toujours rien compris au « printemps arabe » et à la « révolution du jasmin » se réveillent.
Contre toute attente
et au grand dam des pseudo-révolutionnaires, la Syrie n’est pas tombée
comme la Tunisie, la Libye, l’Egypte et, dans une moindre mesure, le
Yémen et le Maroc. Pire encore pour la soldatesque de l’OTAN et les
mercenaires de l’impérialisme qui se font appeler des djihadistes,
l’armée arabe syrienne a pu, ces six derniers mois, décapiter ceux qui
se sont donnés le nom d’ASL, c’est-à-dire les Frères musulmans syriens,
les barbares d’Al-Qaïda et les islamo-terroristes offshore (Tchétchènes,
Tunisiens, Libyens, Saoudiens, Talibans, Australiens, Français, Belges,
Anglais…) qui, pour une poignée de dollars et pour une promesse au paradis orgiaque des houris, ont répondu à l’appel au djihad de Qaradaoui, de Rached Ghannouchi et de John McCain ! L’éradication de la canaille islamiste
s’est accélérée les deux derniers mois malgré le soutien politique,
médiatique, diplomatique, financier et militaire des « amis » arabes
et des « défenseurs » de la démocratie.
Constatant cet échec cuisant, grâce à une armée patriotique et à une population qui ne veut pas du « printemps arabe » chez elle, Israël est sortie de sa « neutralité », dans une tentative désespérée de sauver sa cinquième colonne en Syrie. Neutralité toute relative car, dès le lancement sur Internet de l’opération « The Syrian Revolution » en février 2011 –opération dans laquelle nos cybers-collabos tunisiens ont joué un rôle moteur-, les services israéliens étaient déjà bien impliqués. En parfaite coordination avec l’émirat wahhabite du Qatar, qu’un philosophe tunisien appelle Qatraël, et le gouvernement islamiste turc, Israël appuyait militairement et logistiquement les « rebelles ». Outre la destruction d’une Syrie qui lui tient tête depuis un demi-siècle, l’intérêt d’Israël est évident : se venger du Hezbollah qui lui a infligé une défaite humiliante en 2006, briser l’axe Téhéran-Damas-Beyrouth, isoler l’Iran en attendant de l’attaquer avec ses nouveaux alliés sunnites.
Contrairement à l’intox reprise par les médias occidentaux selon laquelle l’aviation israélienne a visé « des réserves de missiles Fateh-110 qui étaient transportés de l’Iran vers le Hezbollah », les attaques du samedi 4 à dimanche 5 mai avaient pour objectif de porter secours aux islamo-terroristes et à desserrer l’étau sur les mercenaires de l’impérialisme et du sionisme dans la région de Ghouta, une banlieue proche de Damas. Cette agression, saluée par des "Allah Akbar" des miliciens et des islamo-terroristes, visait aussi le centre de recherche militaire de Jamraya, au nord de Damas, qui a été d’ailleurs déjà attaqué par l’aviation israélienne fin janvier dernier. Ont été également visées des casernes militaires. Selon Russia Today, ces des raids ont fait plusieurs centaines de morts. Sur la vingtaine d'avions qui ont mené ces raids, deux ont été touchés par la défense aérienne et un troisième a été abattu. Les deux pilotes Samuel Azar et Eyssone Gary ont été fait prisonniers.
Alors que la Ligue arabe, devenue depuis la « révolution du jasmin » le machin de cheikh Hamad, s’est contentée d’un vague appel au Conseil de sécurité de l’ONU, la présidence égyptienne voit dans cette "agression" "une violation des principes et du droit internationaux, de nature à (...)menacer la sécurité et la stabilité de la région". Comme cela était parfaitement prévisible, le gouvernement usurpateur tunisien, proposé par John McCain et Joe Lieberman, revu et corrigé par cheikh Hamad et cheikha Mozza, n’a pas du tout réagi à cette agression contre la Syrie. Normal pour un gouvernement vendu et vassal, qui a été le premier à rompre ses relations diplomatiques avec la Syrie et à accueillir en Tunisie le premier congrès des traitres et des mercenaires syriens.
Ce silence du gouvernement vassal tunisien est tellement insupportable que même le très sérieux site Kapitalis a dû réagir dans des termes inhabituels : « Ni Moncef Marzouki, premier responsable de la diplomatie tunisienne, ni Ali Lârayedh, dont dépend le ministère des Affaires étrangères, ni encore le ministre en charge de ce département, Othman Jarandi, diplomate de carrière dit-on, n'ont cru devoir publier un communiqué, même laconique, pour condamner, même du bout des lèvres et pour la forme, l'attaque par l'aviation militaire israélienne contre le Centre de recherches scientifiques de Jamraya, à Damas, dans la nuit de samedi à dimanche…MM Marzouki et Lârayedh attendent-ils des instructions de l'émir du Qatar ou de son ministre des Affaires étrangères pour savoir la position à tenir ? ». On rassure nos confrères de Kapitalis que le gouvernement usurpateur et vendu de Tunis finira par publier un communiqué condamnant l'agression israélienne, tout comme d'ailleurs l'émirat du Qatar, pour anesthésier la rue arabe. Quant au gouvernement américain, il a déjà justifié l'agression israélienne par sa formule habituelle:"Israël a le droit de se défendre contre les Etats qui menacent sa sécurité" !
Dès la « révolution du jasmin » qui annonçait le « printemps arabe », les israéliens avaient choisi leur camp, celui des « démocrates » contre les « dictatures », des « droits de l’homme » contre la « tyrannie ». Pour que les peuples ne se rendent compte de rien, la propagande islamo-sioniste a persuadé l’opinion publique arabe que Ben Ali, Moubarak et Kadhafi sont des « suppôts de l’Amérique » et des » agents du Mossad ». C’est-à-dire qu’ils ont jeté leur propre trahison et leur propre servilité impérialo-sioniste sur leurs adversaires politiques. Avec l’aide des cybers-collabos, on avait dit que Ben Ali et Moubarak tiraient sur les manifestants avec des balles de l’armée israélienne, que des officiers de Tsahal conseillaient et assistaient l’armée de Kadhafi contre les mercenaires de Benghazi…
Constatant cet échec cuisant, grâce à une armée patriotique et à une population qui ne veut pas du « printemps arabe » chez elle, Israël est sortie de sa « neutralité », dans une tentative désespérée de sauver sa cinquième colonne en Syrie. Neutralité toute relative car, dès le lancement sur Internet de l’opération « The Syrian Revolution » en février 2011 –opération dans laquelle nos cybers-collabos tunisiens ont joué un rôle moteur-, les services israéliens étaient déjà bien impliqués. En parfaite coordination avec l’émirat wahhabite du Qatar, qu’un philosophe tunisien appelle Qatraël, et le gouvernement islamiste turc, Israël appuyait militairement et logistiquement les « rebelles ». Outre la destruction d’une Syrie qui lui tient tête depuis un demi-siècle, l’intérêt d’Israël est évident : se venger du Hezbollah qui lui a infligé une défaite humiliante en 2006, briser l’axe Téhéran-Damas-Beyrouth, isoler l’Iran en attendant de l’attaquer avec ses nouveaux alliés sunnites.
Contrairement à l’intox reprise par les médias occidentaux selon laquelle l’aviation israélienne a visé « des réserves de missiles Fateh-110 qui étaient transportés de l’Iran vers le Hezbollah », les attaques du samedi 4 à dimanche 5 mai avaient pour objectif de porter secours aux islamo-terroristes et à desserrer l’étau sur les mercenaires de l’impérialisme et du sionisme dans la région de Ghouta, une banlieue proche de Damas. Cette agression, saluée par des "Allah Akbar" des miliciens et des islamo-terroristes, visait aussi le centre de recherche militaire de Jamraya, au nord de Damas, qui a été d’ailleurs déjà attaqué par l’aviation israélienne fin janvier dernier. Ont été également visées des casernes militaires. Selon Russia Today, ces des raids ont fait plusieurs centaines de morts. Sur la vingtaine d'avions qui ont mené ces raids, deux ont été touchés par la défense aérienne et un troisième a été abattu. Les deux pilotes Samuel Azar et Eyssone Gary ont été fait prisonniers.
Alors que la Ligue arabe, devenue depuis la « révolution du jasmin » le machin de cheikh Hamad, s’est contentée d’un vague appel au Conseil de sécurité de l’ONU, la présidence égyptienne voit dans cette "agression" "une violation des principes et du droit internationaux, de nature à (...)menacer la sécurité et la stabilité de la région". Comme cela était parfaitement prévisible, le gouvernement usurpateur tunisien, proposé par John McCain et Joe Lieberman, revu et corrigé par cheikh Hamad et cheikha Mozza, n’a pas du tout réagi à cette agression contre la Syrie. Normal pour un gouvernement vendu et vassal, qui a été le premier à rompre ses relations diplomatiques avec la Syrie et à accueillir en Tunisie le premier congrès des traitres et des mercenaires syriens.
Ce silence du gouvernement vassal tunisien est tellement insupportable que même le très sérieux site Kapitalis a dû réagir dans des termes inhabituels : « Ni Moncef Marzouki, premier responsable de la diplomatie tunisienne, ni Ali Lârayedh, dont dépend le ministère des Affaires étrangères, ni encore le ministre en charge de ce département, Othman Jarandi, diplomate de carrière dit-on, n'ont cru devoir publier un communiqué, même laconique, pour condamner, même du bout des lèvres et pour la forme, l'attaque par l'aviation militaire israélienne contre le Centre de recherches scientifiques de Jamraya, à Damas, dans la nuit de samedi à dimanche…MM Marzouki et Lârayedh attendent-ils des instructions de l'émir du Qatar ou de son ministre des Affaires étrangères pour savoir la position à tenir ? ». On rassure nos confrères de Kapitalis que le gouvernement usurpateur et vendu de Tunis finira par publier un communiqué condamnant l'agression israélienne, tout comme d'ailleurs l'émirat du Qatar, pour anesthésier la rue arabe. Quant au gouvernement américain, il a déjà justifié l'agression israélienne par sa formule habituelle:"Israël a le droit de se défendre contre les Etats qui menacent sa sécurité" !
Dès la « révolution du jasmin » qui annonçait le « printemps arabe », les israéliens avaient choisi leur camp, celui des « démocrates » contre les « dictatures », des « droits de l’homme » contre la « tyrannie ». Pour que les peuples ne se rendent compte de rien, la propagande islamo-sioniste a persuadé l’opinion publique arabe que Ben Ali, Moubarak et Kadhafi sont des « suppôts de l’Amérique » et des » agents du Mossad ». C’est-à-dire qu’ils ont jeté leur propre trahison et leur propre servilité impérialo-sioniste sur leurs adversaires politiques. Avec l’aide des cybers-collabos, on avait dit que Ben Ali et Moubarak tiraient sur les manifestants avec des balles de l’armée israélienne, que des officiers de Tsahal conseillaient et assistaient l’armée de Kadhafi contre les mercenaires de Benghazi…
Dès la « révolution du jasmin » en janvier 2011, tout était pourtant
clair pour ceux qui ont un peu d’expérience politique et un peu de
connaissance en géopolitique. Les choses sont devenues encore plus
claires lorsque le numéro 3 d’Al-Qaïda, Abdelhakim Belhadj, et le numéro
1 du sionisme français, Bernard Henri-Lévy ont mis la main dans la main
pour détruire la Libye. Ce même couple incestueux a continué sa macabre
croisade contre la Syrie, en espérant finir sa sale besogne aussi
rapidement que possible pour passer à l’Algérie. Mais la Syrie,
gouvernants et gouvernés, a résisté. Et c’est parce que ce grand peuple a
tenu le coup qu’Israël est passée du Soft Power au Hard Power….montrant
ainsi au grand jour l’alliance islamo-sioniste.
Tunisie-Secret.com
VOIR AUSSI : Libye : l'OTAN veut imposer un islamo-sioniste comme futur président