Un horrifiant rapport du ministère russe de la Défense (MoD)
circulant aujourd'hui dans le Kremlin affirme que le président Poutine vient de
commander la création immédiate d'une
division aéronautique spécialement chargée du transport aérien pour l'évacuation du personnel
et de l'équipement de la base aérienne de
Kubinka, dans l'oblast de Moscou, après la confirmation que les forces de l'OTAN, dirigées par les Américains, se préparent pour déclencher une guerre totale contre la Fédération.
Selon
ce rapport, l'incitation du président Poutine à commencer les préparatifs pour
l'évacuation complète du Kremlin de tous les principaux dirigeants politiques
et militaires de Moscou est due à des analystes du MoD qui confirment que les
forces de l'OTAN, dirigées par les Américains, ont conclu qu'une guerre nucléaire limitée avec la Russie était
désormais réalisable, mais seulement si elle était menée avant que la Russie ne
déploie complètement son système mobile de missiles balistiques à capacité
nucléaire, 9K720
Iskander-M (nom de l'OTAN, SS-26 Stone) prévu
avant la fin de l’année.
Les
experts du ministère de la Défense, qui ont fait cette sinistre confirmation,
se fondent sur leur analyse de l'exercice de guerre Global Lightning 17, ordonné par le Président Trump, et effectué du 7 au 17 février.
Cet
exercice de guerre Global Lightning 17, qui a été le plus étendu de ces
dernières années dans la mise en œuvre de la doctrine américaine des forces
nucléaires stratégiques - et qui, au cours de la rédaction de son scénario, a
traité de l'escalade hybride du conflit en Europe qui s'est
rapidement transformée en une guerre
nucléaire mondiale avec la participation des États-Unis.
En
outre, le 16 février, jour précédant la fin de ce plan fou de guerre nucléaire Global
Lightning 17, le Secrétaire d’État à la Défense du président Trump, le général
James Mattis, est arrivé en Europe pour superviser son exécution finale. Et,
contrairement aux affirmations de Trump, qui, au moment de son entrée en
fonction, précisait qu’il coopérerait avec la Russie pour vaincre les terroristes
islamistes, Mattis
a annoncé que les États-Unis ne coopéreraient pas avec l'armée russe.
Avec
le
plus grand accroissement militaire de l'histoire de l'OTAN sur la frontière
occidentale de la Russie avec l'Union européenne, ces
actions offensives "guerrières" envers la Russie ne peuvent plus
être ignorées alors que des
milliers de troupes américaines et de matériel militaire continuent à inonder cette
région. Ce qui a amené l'expert australien de la guerre nucléaire, Helen Caldicott, à
avertir que la guerre
atomique entre les États-Unis et la Russie est presque sur nous tous.
Dans
leur préparation à la guerre totale contre la Fédération, les Américains ont
déployé en Pologne au moins 70 missiles AGM-158B JASSM-ER (portée
étendue) qui donnent maintenant à ce pays membre de l'OTAN une capacité
de première frappe à l'intérieur du territoire russe.
Ces
missiles AGM-158B JASSM-ER, qui ont une portée opérationnelle de plus de 1000
kilomètres, sont l'une des armes les plus redoutables de l'arsenal de guerre
américain. Ils ont la capacité de détruire les principaux sites
d'infrastructure stationnaires situés au plus profond de la Russie. Et
ils sont tous équipés de la charge utile du projet de missiles avancés à
micro-ondes à haute puissance (CHAMP), une technologie de guerre électronique
qui brûle
les équipements électroniques avec des éclats d'énergie hyperfréquence de
haute puissance, les détruisant de façon non cinétique.
En
stationnant en Pologne avec ces missiles AGM-158B JASSM-ER de première frappe, il y a des
milliers de soldats déployés de l'armée américaine de Fort Carson et qui,
depuis 2 ans, ont été spécialement
formés pour faire la guerre aux forces militaires de la Fédération dans les
villes et villages russes.
Bien
que l'armée américaine prétende que ces milliers de soldats de Fort Carson ont
été formés
comme une «force d'intervention globale», les experts du ministère russe de
la Défense disent que la seule équivalence historique qu'on peut en dire est
leur ressemblance aux “Pentomic
Divisions” établies par L'armée américaine dans les années 1950 et 1960 pour
faire la guerre sur des champs de bataille contaminés par le nucléaire.
Mais la perspective d'horreur produite sur Kennedy (après une démonstration de
première main) amena celui-ci à une détente immédiate avec l’Union Soviétique
pour empêcher qu'une telle guerre ne se produise.
Le
vice-ministre des Affaires étrangères Sergei Ryabkov a averti il y a quelques heures que la
relation de Moscou avec les États-Unis est à son niveau le plus bas depuis la
guerre froide, lorsque notre monde a vu ces “Pentomic Divisions” s’entraîner à la guerre nucléaire.
Les
États-Unis montrent donc que la guerre atomique est inévitable, comme l'a confirmé
le Conseil scientifique du président Trump, qui vient de lui présenter un nouveau
plan de guerre atomique contre la Russie.
La stratégie de ce plan préconise
l'utilisation
d'armes nucléaires à faible rendement contre les forces conventionnelles russes
pour démontrer que Trump signifie que les «affaires sérieuses» pourraient le rendre
assez fou pour lancer une attaque
nucléaire totale. Il pense que la Russie va mesurer la menace et finira par
reculer, plutôt que de risquer la
guerre thermonucléaire mondiale ou de continuer les hostilités conventionnelles.
Les
défauts critiques de ce plan américain pour mener une guerre nucléaire (limitée
ou non) contre la Russie,
c’est que, contrairement aux États-Unis ou à l'Union européenne, la Fédération
est entièrement préparée, avec des
abris anti-bombes nucléaires pour protéger chaque citoyen de la Fédération
(exemple : Perm seul est capable d’abriter
1 million de travailleurs de guerre) .
La doctrine russe est que, une fois que la patrie est attaquée, elle appellera
à une désescalade
immédiate, mais accompagnée, en fait, d'une réaction
nucléaire dévastatrice de «première frappe» contre TOUS les agresseurs.
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