Selon WhatDoesItMean, le gouvernement secret du "Deep
State" américain, a envoyé, la semaine dernière, un message
d'avertissement au président Trump pour qu'il ne vire pas l'ancien directeur
adjoint du FBI, Andrew McCabe. En effet, l'ancien procureur général du
régime Obama-Clinton, Éric Holder, a déclaré cruellement en visant
Trump : «vous voulez gronder, grondons ... vous voulez un combat au
couteau ... nous sommes prêts pour cela.
Mais les forces loyales à
Trump ont ignoré ces avertissements en
congédiant McCabe il y a quelques heures. Le « Deep State » a tout de suite
riposté par l’intermédiaire de son Goulag électronique, dont l’un des membres, Facebook,
a immédiatement éteint l'un des meilleurs sites de la campagne électorale présidentielle
de Trump de 2020.
D’un autre côté, le Ministère
Russe de la Défense vient d’avertir, à propos de l’intervention illégale de l'armée
américaine en Syrie: "Nous enregistrons les signes des préparatifs pour de
possibles frappes. Des groupes de frappes
formés de porte-missiles de croisière se sont formés à l'Est de la
Méditerranée, du golfe Persique et de la mer Rouge.
"
Le goulag électronique "Deep State" est un camp de
travail politique sur Internet dont les principaux membres sont Google, YouTube, Facebook, Wikipédia et Twitter,
où les élites occidentales sont capables de contrôler tout ce qui est publié,
tout en censurant les libres penseurs et les journalistes honnêtes, en les
considérant comme des "ennemis de l'Etat". Ainsi par exemple, la
semaine dernière, a révélé leur véritable pouvoir noir lorsque Twitter
a censuré le site d'information conservateur le plus populaire d’Amérique,
appelé le Drudge Report, pour avoir affiché le nouveau slogan de la campagne
présidentielle 2020 de Trump "Keep America Great!".
Twitter utilise l'image démoniaque du hibou pour censurer Drudge
Report
En censurant le Drudge Report
pour son support de la campagne présidentielle 2020 du président Trump, il est
important de noter que Twitter, a aussi ouvertement montré, pour la première
fois, ses profondes racines sataniques en représentant "l'image
sculptée du hibou démoniaque". Cette image
sculptée de plus de 40 pieds est vénérée par les élites occidentales les plus
puissantes chaque année dans un endroit en Californie appelé Bohemian Grove
[1] où "simulacres de sacrifices
humains" sont préformés à ses pieds.
En sachant que la seule façon
de se protéger de l’offensive des forces fidèles à Trump, le « Deep State »
essaie d'enflammer une guerre mondiale. Ainsi, ses forces en Grande-Bretagne,
ont concocté, la semaine dernière, une
fausse histoire d'empoisonnement d'espions russes, en reprenant les mêmes
méthodes de propagande utilisées pour déclencher l'invasion de l'Irak par les États-Unis
et le Royaume-Uni en 2003, grâce à des mensonges délibérés, selon lesquels il
possédait des armes de destruction massive.
Se joignant à cette
propagande massive des grands médias menteurs occidentaux, le Goulag Électronique
a supprimé (ou passé sous silence) certaines des questions les plus critiques
auxquelles toute investigation normale chercherait à répondre, et qui incluent:
1) Porton Down a reconnu dans ses publications qu'il
n'avait jamais vu de "novichoks" russes. Le gouvernement britannique n'a absolument aucune information
sur les «empreintes digitales» telles que les impuretés qui peuvent attribuer
cette substance en toute sécurité à la Russie.
2) Jusqu'à présent, ni Porton Down ni les experts
mondiaux de Organisation pour l'Interdiction
des Armes Chimiques (OIAC) ne sont
convaincus de l’existence réelle des "novichoks".
3) Le Royaume-Uni refuse de
fournir un échantillon à l'OIAC.
4) Les "Novichoks" ont été spécifiquement
conçus pour pouvoir être fabriqués à partir d'ingrédients communs sur n'importe
quel atelier scientifique. Les Américains ont démantelé
et étudié l'installation qui les aurait développés. Il est totalement
faux de prétendre que seuls les Russes pourraient les fabriquer, alors que
n'importe peut le faire.
5) Le programme "Novichok" était en
Ouzbékistan et non en Russie. Depuis son indépendance en 1991, l'Ouzbékistan a
travaillé avec le gouvernement des États-Unis pour démanteler et décontaminer
les sites où les agents de Novichok et d'autres armes chimiques ont été testés
et développés. Son savoir-faire de fabrication a été récupéré
par les Américains lors de ce démantèlement.
Or, 1) un tribunal
britannique qui vient d'ordonner que l'agent du MI6 Christopher Steele, le
créateur du faux document "Dossier-Trump" (payé par Hillary Clinton
et le Comité national démocrate) , doit
faire une déposition vidéo aux États-Unis (Steele a dit qu’il ne fera pas
appel de cette décision), et 2) l'espion double russe
empoisonné (qui a été recruté par Steele)
devait prouver que le « dossier Trump » a été entièrement créé par le
MI6 pour détruire le président Trump, ces machinations complètes de
"Deep State" et du Gouvernement britannique ont pour but de convaincre
les gens que « armes chimiques =
Russie + Syrie).
Ceci a été clairement détaillé
par l'ambassadrice du "Deep State" étasunien, la virago Nikki Hayley, - qui, hier, aux Nations Unies, a
scandaleusement suggéré qu'il y a "un lien" entre
l'implication de la Russie dans l'affaire Salisbury et le fait que le gouvernement syrien ne détruise pas ses
armes chimiques. Cette menteuse éhontée n’est pas dérangée
par le fait que l'Organisation de l’ONU pour l'interdiction des armes chimiques
(OIAC) et le Pentagone ont confirmé que les armes chimiques du gouvernement
syrien avaient été effectivement détruites.
Choisir de ne pas suivre cette
théorie farfelue du "lien" entre l’attaque de l’agent double au
Royaume-Uni et la Syrie, le ministère russe de la Défense a, continué à
utiliser la longue et acceptée pratique de la "preuve d'abord" pour
découvrir les faits réels.
Ainsi, la semaine dernière,
l’Armée Arabe Syrienne a découvert, dans les terres agricoles libérées de la
Ghouta orientale (Syrie), entre Shifouniyeh et Douma, un
laboratoire chimique bien équipé dirigé par des terroristes islamistes soutenus
par l'Arabie Saoudite. Naturellement, AUCUN journaliste occidental
n’a voulu venir sur les lieux pour enquêter, car ces
journalistes sont payés pour raconter une leçon apprise à l’avance. Contredire
cette leçon pourrait les conduire aux pires rétorsions, depuis le licenciement
sec jusqu’à l’accusation de collusion avec l’ennemi en temps de guerre.
Pire encore, le ministère russe
de la Défense, a rapporté, il y a quelques heures à peine, que des "instructeurs
américains" entraînent, dans le sud de la Syrie des terroristes
islamistes (pléonasme) à lancer des attaques chimiques sous fausse bannière. " Ils
sont en train de préparer une série d’attaques chimiques. Ce fait sera utilisé pour accuser les forces gouvernementales
syriennes. Les composants pour produire des munitions chimiques ont déjà été
livrés à la zone de désescalade du sud sous couvert de convois humanitaires de
plusieurs ONG. "- et que " Le groupe terroriste du Front Al-Nosra, en coordination avec
les Casques blancs, ont déjà reçu 20 conteneurs de chlore pour mettre en scène ces
attaques sous faux drapeau. "
Le ministère de la Défense a
également indiqué dans son récent bulletin d'urgence que les forces militaires
américaines sous contrôle du «Deep State» se sont déjà prépositionnées pour
déclencher une guerre globale en Syrie - et déclare: "Les provocations seront utilisé comme prétexte par les États-Unis
et leurs alliés pour lancer des frappes sur l'infrastructure militaire et
gouvernementale en Syrie ... et nous enregistrons les signes de la préparation
de ces frappes possibles avec des groupes de porte-missiles de croisière
américains maintenant formé à l'est de la mer Méditerranée, dans le golfe
Persique et la mer Rouge. "
Le Daily Mail de Londres a retiré cet article peu de temps après l'avoir
publié, mais il peut encore être lu ICI.
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Contrairement à 2013, lorsque
le régime Obama avait tramé une attaque chimique sous "faux drapeau" contre
la Syrie, les forces militaires russes sont également actives en Syrie depuis
2015. Par conséquent, les choses ont changé depuis lors. Si les forces
américaines et britanniques effectuent des frappes sur la Syrie, motivée par leur
nouvelle attaque chimique sous «faux drapeau» elles rencontreront des représailles
«équivalentes».
C'est pourquoi le Ministère
russe de la Défense, pour la première fois dans son histoire, a diffusé
l’information hautement classifiée selon laquelle ses sous-marins nucléaires (y compris les sous-marins nucléaires sans personnels ou sous-marins drones) ont tranquillement atteint le littoral des États-Unis sans
être détectés. Ils sont tapis au fond de l'eau, indétectables, et n’attendent qu’un signal pour, en quelques
minutes, atteindre et effacer de façon certaine, les villes américaines. En faisant exploser des bombes atomiques en pleine mer, ils peuvent provoquer des tsunamis géants qui peuvent détruire toutes les villes côtières jusqu'à des centaines de Km à l'intérieur des terres. Les millions de morts américains
qui s’en suivraient ne sauront jamais que cette guerre n’a «jamais été une question d'idéologie, mais une question de
géographie».
Un hélicoptère russe équipé
d’un système «tueur d’électronique» en Syrie
Un
hélicoptère Mil Mi-8 avec à son bord le système de guerre électronique
Richag-AV aurait été repéré en Syrie. Des photos ont été publiées par des
utilisateurs d’internet.
Les
premières photos prises en Syrie d'un
hélicoptère Mil Mi-8 équipé du système de guerre électronique Richag-AV ont été
publiées sur Twitter, annonce le journal Rossiyskaya Gazeta.
Le Richag-AV
est considéré comme un des moyens les plus puissants pour désactiver
l'équipement électronique d'avions militaires et de missiles de croisière. Ce
système a la réputation d'être un «tueur d'électronique».
L'utilisation
du Richag-AV a sérieusement diminué l'efficacité des missiles de croisière
Tomahawk tirés sur la base aérienne syrienne d'al-Chaayrate en avril 2017,
indique le journal. Seuls 23 d'entre eux ont réussi à atteindre leur cible, 36
autres ont été désactivés, selon des sources russes [2].
Le complexe
Richag-AV est capable de défendre des territoires dont la superficie fait des
centaines de kilomètres carrés. Il collecte et enregistre les paramètres des
cibles ennemies dans sa base de données. En cas de nécessité, le Richag-AV
brouille l'électronique ennemie.
Ce système
de lutte électronique peut être installé non seulement dans des hélicoptères,
mais aussi sur des dispositifs terrestres et navals.
Hannibal GENSERIC
On peut maintenant suivre votre blog depuis Telegram :
RépondreSupprimerhttp://t.me/lacausedupeuple
(Flux Rss des articles)
voilà pourquoi ceux qui parlent de guerre ne feront qu'en parler.
RépondreSupprimerIl faut leur dire que ,"apocalypse", ça veut pas dire la guerre qui tue des gens et des bombes qui... ben qui font boum... Apocalypse ça veut dire révélation et, pour eux, ça veut dire : pri-son.
tout ceci corrobore les faits déjà connus des manigances américano-sioniste
RépondreSupprimertôt ou tard on va y arriver à la 3
RépondreSupprimerC'est l'apocalypse = la révélation ! C'est pourquoi ces prophètes ont l'horreur de découvrir la révélation donnée par dieu. Il existe que le livre secret d'hénoch est interdit et rejéte par ces soi dit religionnaires. Par exemple: héros (langue hébreu) veut dire "esprit malfaisant". Aujourd'hui, on appelle le héros: l'homme qui vient sauver. L'apocalypse: qui apporte le chaos et la mort, la ruine ( la soi dit fin du monde). C'est incroyable car "on" nous réussit duper à avaler ces mensonges. Je n'y arrive pas croire qu'on nous a trompé. L'ignorance est la bonheur mais elle est la fatalité. Pourquoi c'est très difficile à remarquer ces petits détails, pourtant là.
RépondreSupprimerla domination sioniste du monde est basée sur le mensonge, il faut agir maintenant car il ne reste pas beaucoup de temps pour la concrétisation de leur projet diabolique: indice
RépondreSupprimerle fer de lance de ce projet= USA + GB + EU