Pour Trump, la défaite d’Israël est nécessaire pour renverser l'état profond

La raison en est qu’Israël est la clé pour renverser l’État profond – en particulier aux États-Unis. 
Les groupes de pression israéliens tels que l’AIPAC, certains think tanks et les agents doubles occupant des postes clés font partie de ce bourbier !

La Mafia Khazarienne, dont le siège est en Israël et en Ukraine (Grand Israël), est une organisation mondiale qui contrôlait la finance et le renseignement mondiaux. Si quelqu’un avait voulu faire tomber Israël en premier, ou disons trop tôt, alors il aurait continué à vivre et à se déchaîner sauvagement à travers les sous-organisations. C’était une raison suffisante pour que Trump prétende être dévoué et ami jusqu’à ce que les piliers du pouvoir Khazar-Sioniste soient démantelés à un point tel que la tête de l’ensemble pouvait également tomber, car cette tête était tout simplement imbattable pour ses créateurs invisibles (les créateurs pseudo-primordiaux, les reptiliens Anunnaki [1])  à travers d’innombrables sacrifices rituels de guerres, de pandémies et de sacrifices sexuels.

C’est l’art de la guerre tant vanté qui a été utilisé ici. Ce n’est pas une guerre comme les autres qui n’aurait pas dû être déclenchée en premier lieu – non, c’est le seul moyen nécessaire d’éliminer pour toujours cet ennemi millénaire– une guerre sur de nombreux fronts simultanément et dans le monde entier, y compris contre des êtres fabriqués technologiquement – des hybrides humains-reptiliens dotés de capacités psychiques élevés par la Cabale pour contrôler la société.

Ces entités étaient connectées à une IA quantique capable de manipuler les marchés mondiaux. Cela ne peut pas être résolu avec l’amour et la paix. Ils sont comme un essaim de sauterelles qu’il faut attirer dans un piège et brûler. 
Et voici l’expert, Dan Bongino, le N°2 du FBI :

Israël était le dernier domino parce qu’il était le joyau de la couronne de la mafia Khazar – des descendants de Caïn adorateurs de Satan qui ont donné naissance à la fois à l’Ukraine et à Israël. Avec la chute de l’Ukraine, Israël et le monde seront libérés des rituels de sang séculaires, des sacrifices d’enfants et de la domination financière de la magie noire.

Les racines de la mafia khazarienne remontent au 6ème siècle, lorsque les tribus turques de Khazarie (aujourd’hui le sud de l’Ukraine, la Crimée, le Kazakhstan) pratiquaient ouvertement le sacrifice d’enfants et les cultes de Baal. Leur religion satanique a fusionné avec un faux judaïsme appelé talmudisme babylonien, qui a été inventé après leur « conversion » forcée. Ils sont devenus des maîtres du camouflage, de l’infiltration, du vol d’identité et de la tromperie, et ont continué la torture rituelle et le sacrifice en secret.

La Russie en avait assez. Au 13ème siècle, une coalition militaire dirigée par le tsar a envahi la Khazarie, mais le roi khazar et sa cour ont fui vers l’ouest avec leur or, comptant se venger pendant des siècles. En 1649, ils avaient infiltré l’Angleterre, financé la tentative d’assassinat par Cromwell du roi Charles Ier et ils ont établi l’empire bancaire de la Couronne (La City [2]).

Les Khazars Rothschild et Rockefeller ont ensuite créé la Réserve Fédérale et l’IRS, que les contribuables américains ont pillés pour financer la Couronne Britannique et le Vatican. Ce faisant, ils ont utilisé Londres et Rome comme centres de blanchiment d’argent. De là, l’argent est retourné à New York – et a exigé des intérêts sur l’argent volé aux gens. En 1918, le système monétaire américain appartenait aux banques privées de la Cabale, et des guerres ont été organisées au profit des deux camps.

Leur couronnement a été la Déclaration Balfour – non pas pour établir la paix, mais pour provoquer une guerre éternelle en Palestine qui garantirait un bain de sang perpétuel et la cupidité de l’élite.

Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, la cabale avait instrumentalisé le budget noir de la CIA avec les revenus d’un réseau satanique de trafic d’enfants soutenu par le Vatican et centré en Ukraine. Les mêmes tunnels dans lesquels le sang coulait pour les rituels coulaient maintenant de l’adrénochrome, qui était obtenu à partir d’enfants torturés pour l’élite.

C’est pourquoi Poutine a participé à l’opération Tempête de l’enfer pour détruire la forteresse Khazarie en Ukraine, où l’État Profond massacrait des enfants comme du bétail pour voler des organes et sucer le sang. Des milliers d’entre eux ont été sauvés des tunnels [3].

Dès que l’Ukraine tombera, Israël – la dernière forteresse khazar – mourra également.

La tempête fait déjà rage. 
Leur empire de sang est en train de prendre fin. 
Regardez Israël. Rien ne peut arrêter ce qui arrive.

Je suis le nouveau directeur adjoint du FBI, et je fais le ménage de l’intérieur. 

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Le sionisme au bord du gouffre : comment Trump pourrait briser le pouvoir du lobby israélien (1/2)

Israël comme fer de lance – et sacrifice de pion en même temps

Donald Trump prétend renforcer la sécurité d’Israël – en réalité, il en fait un outil dans un jeu beaucoup plus vaste : la restructuration de l’ordre mondial américain. Avec 3,8 milliards de dollars américains par an et 1 milliard supplémentaire d’aide d’urgence (approuvée début 2025), il arme massivement Israël. Officiellement comme protection contre les menaces iraniennes – mais en fait pour équiper Israël pour une première frappe contre l’Iran.

Israël reçoit des armes de haute technologie telles que des avions F-35, des bombes anti-bunker et des munitions de précision – parfaitement adaptées à une attaque contre les installations nucléaires de l’Iran. Selon ABC News, une telle frappe est imminente – apparemment avec l’approbation tacite de Trump, sans l’implication des troupes américaines.

Trump reste en arrière-plan tandis qu’Israël en paie le prix.

Mais ce qui à première vue semble être de la loyauté s’avère être un calcul à y regarder de plus près : Trump utilise la peur existentielle d’Israël à l’égard de l’Iran pour le pousser à l’escalade militaire – sachant très bien qu’Israël pourrait tout perdre dans le processus.

Trump contre Netanyahu – aliénation ciblée

La relation de Trump avec Netanyahu est tendue depuis des années. Lors de son voyage au Moyen-Orient en mai 2025, il a manifestement laissé Israël de côté, a ouvertement critiqué la politique étrangère de Netanyahu – un signal clair : Trump veut retirer Israël de la position de meneur stratégique.

En forçant Netanyahu à faire cavalier seul contre l’Iran, Trump lui enlève le contrôle des récits. Une attaque israélienne contre l’Iran – sans le soutien des troupes américaines – serait un effort solitaire risqué aux conséquences incalculables : représailles du Hezbollah, roquettes depuis le Liban, attaques sur le territoire israélien. Tout cela pourrait submerger Israël.

Et cela semble être exactement ce qui est prévu : Trump amène Israël à sa limite militaire – et au-delà.

La véritable cible : l’influence d’Israël aux États-Unis

Il n’y a pas que l’Iran derrière toute cette affaire. Trump veut également briser le pouvoir de la faction pro-israélienne dans son propre pays – c’est-à-dire ces réseaux au Pentagone, au Congrès et dans les médias qui, selon lui, servent Israël plutôt que l’Amérique.

Des groupes de pression tels que l’AIPAC, certains groupes de réflexion et une double allégeance à des postes clés – Trump les voit tous comme faisant partie d’un État profond profondément enraciné qui sape les intérêts de l’Amérique.

Une attaque israélienne contre l’Iran, financée par de l’argent américain mais sans la protection des États-Unis – et peut-être avec des conséquences dévastatrices pour Israël lui-même – exposerait et délégitimerait ces groupes.

Pourquoi Trump fournit-il des armes alors qu’il ne veut pas la guerre ?

Trump ne poursuit pas une politique d’intervention classique, comme c’était typique sous Bush, Obama ou Biden. Au lieu de cela, il utilise une stratégie de projection de puissance asymétrique :

➖ Il ne fait pas la guerre directement. 
➖ Il fournit des armes, mais pas de troupes. 
➖ Il laisse les autres se battre – pour ses objectifs.

L’idée derrière cela :

« Pourquoi devrais-je risquer des vies américaines alors que d’autres États sont prêts à mettre en œuvre mes intérêts géopolitiques – avec leurs propres ressources et leur propre armée ? » 
Trump utilise Israël, qui est de toute façon désespéré d’éliminer l’Iran, comme avant-poste militaire. La livraison d’armes est à la fois un leurre, un moyen de pression et une carte blanche. 
Le sionisme au bord du gouffre : comment Trump pourrait briser le pouvoir du lobby israélien Partie 2 / 2

Avec l’escalade d’aujourd’hui (12 juin 2025, 11 h 44 CDT), Israël a rempli son rôle. Trump peut maintenant prétendre que l’Amérique n’a rien à voir avec cela – alors qu’en arrière-plan, il met tout en œuvre pour contrôler les conséquences et l’utiliser politiquement.

Si la guerre échoue ou si Israël s’effondre, Trump aura les mains libres pour déresponsabiliser les réseaux pro-israéliens dans son pays.

Libération de l’Amérique – en brisant l’hégémonie de l’Iran et d’Israël

Une victoire sur l’Iran – ou du moins la destruction de son programme nucléaire – serait un tournant géopolitique. Sans l’Iran en tant que « menace », de nombreux réseaux transatlantiques et pro-israéliens perdent leur justification.

Trump pourrait alors :

✅ Démêler les États-Unis dans la politique étrangère, en particulier du Moyen-Orient
✅ Déshabiliter les responsables pro-israéliens
✅ Introduire l’étalon-or, soutenu par la réforme du dinar irakien
✅ Déstabiliser le système bancaire international, qui est entrelacé avec les intérêts financiers israéliens et les élites occidentales

L’Iran serait détruit militairement, Israël serait épuisé – et Trump serait le seul gagnant.

Consolidation du pouvoir – sur le dos d’Israël

L’attaque du 12 juin 2025 (11 h 44 CDT, selon ABC News) marque le début de ce scénario : Israël attaque, l’Iran contre-attaque – et le monde regarde. Mais Trump reste délibérément en dehors de cela. Pas de soldats, pas de responsabilité, mais un contrôle maximal sur le résultat.

Si Israël s’effondre dans le processus, que ce soit sur le plan économique, militaire ou social, cela est pris en compte dans le plan de Trump : un Israël affaibli signifie moins d’influence sur la politique américaine. Et donc un terrain de jeu libre pour la réorganisation de l’appareil d’État américain – sans blocus pro-israéliens, sans égard pour les alliances précédentes.

Le camouflage médiatique – et le soutien silencieux de ceux qui se sont réveillés

Le fait que ce plan fonctionne est également dû au paysage médiatique synchronisé, qui dissimule délibérément la stratégie réelle de Trump – ou la présente dans une scandalisation ciblée. Alors que CNN, MSNBC et les médias européens se jettent sur les coulisses, nous, les gens qui se sont réveillés, nous nous rendons compte que derrière le chaos supposé, il y a une ligne claire :

➖ Se séparer d’Israël tout en utilisant au maximum son rôle
➖ géopolitique Démanteler l’infrastructure de l’Iran par des mandataires
➖ Affaiblir l’État profond en démantelant les structures d’influence internes israéliennes

Ce qui semble être de la folie est une guerre psychologique contre un cartel de pouvoir établi depuis des décennies.

Conclusion : Trump utilise Israël – pour le laisser derrière lui par la suite

Ce qui ressemble à de la loyauté envers l’alliance est en fait une aliénation stratégique. Trump instrumentalise Israël comme un bélier contre l’Iran, lui faisant payer le prix – et en même temps fixant le cap pour se séparer d’Israël une fois le travail terminé.

➖ Israël est en train d’être brûlé géopolitiquement. 
➖ L’Iran est en train d’être détruit militairement. 
➖ L’Amérique est en train d’être « libérée » à l’intérieur – des deux.

L’ordre mondial tel que nous le connaissions est au bord du bouleversement. Et Trump ne joue pas l’allié, mais l’architecte d’un changement de système.

par Claude LMP Publié Il y a 22 heures

Source : Beesbuzz

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NOTES de H. Genséric

[1] Le terme Anunnaki (akkadien) ou Anun-naku, du sumérien A-nun-na(k), désigne dans la mythologie mésopotamienne un groupe de dieux.

Dans les domaines de la pseudoscience et de la science-fiction contemporaines, ces figures ont été reprises et réinterprétées comme des Extraterrestres venus sur Terre dans l'Antiquité pour apporter leurs savoirs.

Il y a beaucoup de cultures qui nous parlent de l’existence d’êtres Reptiliens, considérés comme des dieux: Les Anunnakis. Il y a beaucoup d’indices, de traces que ces êtres ont laissées dans notre histoire.
Leurs connaissances tant technologiques que de conscience de l’univers influencèrent notre histoire... même jusqu’à nos jours...

[2] STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l'argent sale
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[3] Les industries ukrainiennes du trafic d'organes humains et de la prostitution d'enfants : seule la russe Maria Zakharova s'en soucie encore
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Hannibal Genséric