Cette histoire commence au milieu des années 1500, lorsque les Juifs ont pris le contrôle d'Amsterdam après avoir été expulsés d'Espagne et du Portugal lors des inquisitions du début des années 1500 aux années 1820.
Beaucoup de gens oublient qu’il y a eu des tentatives de création d’une banque centrale aux États-Unis en 1791 et en 1816. Et que la banque centrale de 1791 a duré 20 ans et que le refus du Congrès de renouveler la charte a entraîné la guerre de 1812.La banque centrale d'Angleterre, par exemple, créée en 1694 après la « Glorieuse Révolution » de 1688, a joué un rôle central dans les intérêts juifs en ce qui concerne la traite négrière [1] dans les Amériques et la réalisation ultime de leurs plans de construction de banques centrales et de « marchés boursiers », comme celui qu’ils créèrent à Amsterdam en 1602 et 1609.
Le centre du secteur bancaire européen s'est déplacé d'Amsterdam à Londres à la suite de la Glorieuse Révolution et le roi d'Angleterre a vu son autorité transférée au Parlement déjà en proie à des difficultés. La fameuse «City of London», un État souverain au sein de l'Angleterre, est devenue le centre de la finance mondiale après sa colonisation par les dynasties bancaires juives.[2]
Juste avant cette décision, il y avait l’une des escroqueries les plus tristement célèbres de l’histoire, la « bulle des tulipes hollandaises » qui a enrichi le secteur financier nouvellement formé à Amsterdam dans les années 1630 [3]. Les Juifs prendraient cette énorme richesse générée et l'utiliseraient pour soutenir Guillaume d'Orange dans sa quête de conquête de l'Angleterre et de voler le trône à son beau-père Jacques II.
Une fois installée, la guerre civile de plusieurs siècles en Angleterre a combattu l'absolutisme et le « droit divin de gouverner » du roi a pris fin et l'autorité de gouverner a été fermement placée dans le Parlement nouvellement formé sur lequel les Juifs avaient le contrôle. Ce n'est qu'une décennie plus tard, en 1694, que les Juifs ont commencé à construire leurs « institutions » à Londres, leurs banques centrales, leurs marchés boursiers, leurs sociétés de crédit, tout ce qui avait été testé à Amsterdam est arrivé à Londres. L’Angleterre répandrait cette nouvelle forme de « banque » dans les colonies comme un cancer.
NOTES de H. Genséric
[1] VÉRIFICATION DES FAITS : 78 % des Américains propriétaires d’esclaves étaient JUIFS
- Les
suprémacistes blancs juifs et le Ku Klux Klan
- Les
Juifs et la traite des Noirs
- Les
riches juifs dominaient la traite des esclaves américaine - Pourquoi personne
ne proteste contre ce fait ?
- Esclavage.
Le monument à Juda Benjamin
- Le
livre «Les Juifs vendent des Noirs» suscite un mouvement de demandes de
réparations
- USA.
Assaut juif contre les intellectuels noirs
- Pour
un rabbin israélien, les non-juifs doivent servir les juifs
- Le
suprémacisme juif considère les patriotes blancs et les nationalistes
palestiniens comme les plus grandes menaces pour leur hégémonie.
[2] STUPÉFIANT.
La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment
de l'argent sale
- Sucrée,
salée, emballée dans le vice : la City of London, la ville péché de l’Empire- La
City, un Etat-souverain indépendant en plein cœur de Londres
[3] La première bulle spéculative de l’histoire éclate en Hollande… en février 1637 ! En cause : une intense spéculation sur les tulipes. Récit de cet épisode au cours duquel des bulbes de tulipes s’échangeaient au même prix qu’une maison à Amsterdam.
La tulipe : un produit de
luxe et un marché en expansion
Tout débute avec l’apparition de la tulipe
en Europe vers la fin du XVIe siècle. La fleur aux couleurs vives
est alors adoptée par les classes les plus aisées. Au début du XVIIe
siècle aux Pays-Bas, un grand nombre de variétés de tulipes sont
créées par des horticulteurs. Ils se servent en réalité de fleurs atteintes du
potyvirus, une maladie contractée par les tulipes et qui change la couleur de
ces dernières, afin d’obtenir de nouvelles espèces. Cependant, cette maladie
complique la culture des plantes et de ce fait, certaines variétés sont très
difficiles à faire pousser.
Le XVIIe siècle marque le « siècle d’or » hollandais.
Les Provinces-Unies – une république composée de sept provinces – constitue
l’un des États européens les plus modernes, notamment en matière d’art et de
culture. Sur le plan économique, la création de la Compagnie des Indes
Orientales en 1602 assure le développement des échanges internationaux et du
système financier du pays. Cette domination commerciale permet aux
Provinces-Unies de se hisser au rang de première puissance économique mondiale.
Jusqu’en 1634, le marché de la tulipe est semblable à celui du marché de
l’art. Un milieu réservé aux plus aisés où le client passe commande à un
horticulteur pour faire pousser la variété qu’il désire. La commande est passée
à partir de l’automne lorsque les bulbes sont plantés, et le paiement se fait à
l’été lorsque la fleur sort de terre et que le client est certain que ce qu’il
achète correspond bien à ce qu’il avait commandé. Or, les tulipes qui attirent
le plus sont les plus rares. La demande pour certaines espèces explose. On
assiste alors aux prémices de la formation d’une bulle spéculative.
La formation de la bulle
spéculative : crédit et marché à terme
À partir de 1635, plusieurs innovations
financières accélèrent le développement de la bulle spéculative.
L’innovation la plus importante est l’introduction des billets à effet.
Ces derniers précisent les caractéristiques du bulbe et son prix. Ceci permet
aux acheteurs de revendre un bulbe encore en terre, en échangeant non plus le
bulbe lui-même mais le billet, un papier faisant office de titre.
Le marché des tulipes devient alors un marché à terme, c’est-à-dire un
marché où le dénouement des opérations d’achats ou de ventes est différé
dans le temps. Associé à l’essor du crédit, qui génère un effet de levier,
ce développement du marché à terme provoque une forte hausse des prix, ce qui
en retour attire de nouveaux participants à ce marché.
Le nombre de transactions augmente également et il n’est pas rare de voir un
billet à effet, changer de mains à de multiples reprises avant la floraison de
la tulipe. Les contemporains parlaient d’ailleurs de « windhandel »,
le commerce du vent.
Plusieurs biais psychologiques sont avancés pour expliquer les bulles
spéculatives. L’un d’entre eux se nomme « The Greater Fool Theory »,
la théorie du plus grand fou. Selon cette idée, les investisseurs
peuvent acheter un titre même s’ils sont persuadés qu’il est surévalué, car ils
pensent qu’un autre individu – plus fou encore – sera prompt à le racheter plus
cher. Le mécanisme fonctionne et les prix augmentent jusqu’à atteindre
« le plus grand fou ». Dès lors, la bulle éclate et plus personne ne
se porte acquéreur.
L’éclatement de la bulle
Les sources fournissant l’évolution
du prix des tulipes à cette époque sont rares. Le marché n’est pas régulé et il
n’y a donc pas de cours officiel. En la matière, on doit composer avec les
relevés de transactions ponctuelles retrouvés par les historiens. Il n’est donc
pas possible de retracer avec précision l’ensemble des mouvements des cours
pendant cette bulle spéculative.
Il apparaît toutefois qu’en janvier 1637, au sommet de la bulle, une tulipe
pouvait valoir jusqu’à 15 années de salaire d’un artisan. Un bulbe de la
variété Semper Augustus – la plus recherchée à l’époque – se serait même
échangé pour 10 000 florins, soit l’équivalent de deux maisons en
ville.
Le krach, c’est-à-dire l’éclatement de la bulle, se produit le 3
février 1637. Pourquoi ce jour-là en particulier ? Selon l’hypothèse
la plus probable, le krach est déclenché par l’absence totale d’acheteurs ce
jour-là lors d’une habituelle vente aux enchères dans une taverne d’Haarlem.
Selon les historiens, les acheteurs ne se sont pas présentés à la vente en
raison d’un épisode épidémique de peste bubonique. Cela a néanmoins suffi pour
provoquer le retournement complet du marché : il ne faut que quelques
heures pour que la nouvelle de l’absence d’acheteurs se propage à la ville
entière et quelques jours pour que l’information atteigne l’ensemble des
Provinces-Unies. Les bulbes de tulipes deviennent invendables, ou alors avec
une décote de 95 % à 99 %.
Le marché n’étant ni organisé ni régulé, les transactions s’étaient faites
sans garanties. Le 23 février 1637, une réunion nationale des horticulteurs
décide que les ventes conclues après le mois de novembre 1636 seront annulées
en échange d’un petit pourcentage du montant de la transaction conclue. En
réalité, la majorité des contrats ont simplement été rompus, provoquant
la faillite d’individus mal chanceux qui avaient investi au plus mauvais moment
dans des contrats à échange immédiat.
Hannibal GENSÉRIC
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.