samedi 22 mars 2025

Découverte sensationnelle : sous les pyramides de Gizeh, une structure souterraine massive s'étend sur 2 kilomètres sous terre avec des puits de 648 m de profondeur

Dans une révélation susceptible de réécrire l'histoire de l’humanité, une découverte révolutionnaire sous le complexe pyramidal de Gizeh a stupéfié les archéologues et les historiens du monde entier. Une technologie avancée de radar à synthèse d'ouverture (SAR) a révélé une structure souterraine colossale s'étendant jusqu'à deux kilomètres de profondeur, bien au-delà des pyramides visibles. Cette découverte, publiée dans une étude de 2022, suggère que les pyramides emblématiques ne sont que la surface d'une merveille d'ingénierie ancienne et hautement sophistiquée. Ces résultats remettent en question l'égyptologie traditionnelle et soulèvent de profondes questions sur l'existence d'une civilisation préhistorique avancée, voire d'une intervention extraterrestre dans l'histoire de la Terre. Une technologie radar avancée a révélé une structure souterraine massive sous les pyramides de Gizeh, s'étendant sur deux kilomètres, remettant en question les conceptions traditionnelles de l'ingénierie et de l'histoire de l'Égypte antique.

Shocking discovery: Giza pyramids revealed as 'Tip of the Iceberg' with massive  underground structure extending 2 kilometers deep – NaturalNews.com

- La structure comprend des chambres, des passages, des puits cylindriques et d'imposantes formations cubiques, suggérant une fonction hautement sophistiquée allant au-delà de simples tombes ou monuments.
- Les théories vont de la production d'énergie et de la défense planétaire aux centres de communication, certains chercheurs liant la conception à la physique avancée et à des technologies disparues.
- Cette découverte remet en question l'égyptologie traditionnelle, suggérant une civilisation préhistorique avancée ou une implication extraterrestre, compte tenu de la précision et de l'ampleur des travaux.
- Le projet Khafre vise à fouiller le site, mais une certaine résistance est attendue, car les découvertes pourraient redéfinir notre compréhension de l'histoire humaine et des civilisations anciennes.

a new study using advanced radar technology might have uncovered a massive  underground system beneath the pyramids of giza. researchers from the  university of pisa and the university of strathclyde used synthetic

Les profondeurs cachées de Gizeh

L'étude, menée par des chercheurs de l'Université de Pise et de l'Université de Strathclyde, a utilisé une technologie SAR de pointe pour scruter les profondeurs du plateau de Gizeh. Les données radar ont révélé un réseau labyrinthique de chambres, de passages et de structures cylindriques descendant à des profondeurs jusqu'alors inimaginables. Près de la base de la pyramide de Khéphren, cinq structures identiques ont été découvertes, reliées par des passages géométriques. Sous ces puits, huit puits cylindriques, chacun entouré d'escaliers en colimaçon descendant, plongent jusqu'à une profondeur de 648 mètres, où ils convergent vers deux structures cubiques massives d'environ 80 mètres de côté.

« Ce n'est pas seulement une tombe ou un monument : c'est une machine », a déclaré Filippo Biondi, l'un des chercheurs principaux. « La précision et l'échelle de cette structure suggèrent une fonction bien au-delà de ce que nous avons traditionnellement attribué aux anciens Égyptiens

Une machine à la fonction inconnue

Cette découverte a déclenché une vague de spéculations sur la fonction de cette merveille souterraine. L'égyptologie traditionnelle a longtemps soutenu que les pyramides étaient des tombeaux pour les pharaons, construits vers 2500 avant J.-C. à l'aide d'outils et de techniques rudimentaires. Cependant, les mathématiques complexes inhérentes à leur construction – notamment les références à Pi, au nombre d'or et même à la vitesse de la lumière – laissent entrevoir un niveau de sophistication qui défie les explications conventionnelles.

Les théories sur la fonction de la structure vont du plausible à l'extraordinaire. Certains chercheurs suggèrent qu'elle aurait pu servir de générateur d'énergie, exploitant les fréquences naturelles de la Terre. Nikola Tesla, l'inventeur visionnaire, a un jour émis l'hypothèse que les pyramides pourraient fonctionner comme des transmetteurs d'énergie sans fil. D'autres suggèrent que la structure aurait pu être un système de défense planétaire ou un centre de communication, capable de transmettre des signaux sur de vastes distances.

Christopher Dunn, auteur de La Centrale électrique de Gizeh, soutient depuis longtemps que la Grande Pyramide était une machine conçue pour convertir les contraintes mécaniques en électricité. Joseph Farrell, dans son livre L'Étoile de la mort de Gizeh, postule que la pyramide était une arme de destruction massive, utilisant la physique avancée pour concentrer l'énergie comme une arme scalaire. Les puits cylindriques et les structures cubiques récemment découverts pourraient corroborer ces théories, servant potentiellement de conduits pour l'énergie ou les ondes sonores.

Remise en question du récit de l'histoire humaine

Les implications de cette découverte sont sismiques. Si le complexe de Gizeh était effectivement une machine d'une telle complexité, il remet en question le récit dominant de l'histoire humaine. La construction d'une telle structure nécessiterait des connaissances et une technologie bien supérieures à celles que l'on croyait avoir existé dans l'Égypte antique, voire à l'époque moderne. Ceci a conduit certains chercheurs à spéculer sur l'implication d'une civilisation préhistorique avancée ou d'êtres extraterrestres.

« La pression à ces profondeurs, la précision de l'ingénierie : rien de tout cela n'aurait pu être réalisé avec des outils primitifs », a déclaré un géologue participant à l'étude. « Cela suggère l'existence d'une civilisation bien plus avancée que nous ne l'avions jamais imaginé

Cette découverte rejoint également d'autres théories sur les civilisations disparues, comme celle de Tartarie, une civilisation supposément avancée. Une société que certains croient effacée des archives historiques. L'idée que la Terre ait pu abriter plusieurs civilisations avancées, chacune détruite par des cataclysmes, gagne du terrain parmi les chercheurs.

Que nous réserve l'avenir ?

Le Projet Khafre, l'équipe à l'origine de cette découverte, espère obtenir l'autorisation de procéder à des fouilles afin d'explorer plus en profondeur les structures souterraines. Cependant, l'histoire montre que de telles initiatives se heurtent souvent à des résistances, notamment lorsqu'elles remettent en cause les récits établis.

Alors que le monde entier est confronté aux implications de cette découverte, une chose est sûre : les pyramides de Gizeh ne sont plus de simples tombeaux antiques. Elles sont la porte d'entrée vers un monde caché, le témoignage d'une civilisation – ou de civilisations – qui étaient peut-être bien plus avancées que nous n'osions l'imaginer. Les secrets de Gizeh commencent seulement à être dévoilés, et la vérité pourrait bien dépasser la fiction.

Par Finn Heartley – Natural News March 20, 2025

Source

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Dévoilement des secrets de la pyramide de Gizeh : un radar révèle un vaste réseau souterrain sous la pyramide de Khéphren

Des chercheurs utilisant un radar à pénétration de sol auraient découvert d'immenses structures souterraines sous la pyramide de Khéphren, dans le complexe de Gizeh, s'étendant profondément sous terre.

Unveiling Giza Pyramid Secrets: Radar Reveals Massive Underground Network Beneath Khafre Pyramid

Décryptage de l'architecture intérieure de la Grande Pyramide : Un schéma de transmission d'énergie ancienne

Introduction : Une fenêtre schématique sur les secrets de la pyramide

La pyramide de Khéops, dominant le plateau de Gizeh, est depuis longtemps un symbole de la prouesse architecturale et de la profondeur spirituelle de l'Égypte antique. Pourtant, sous son enveloppe calcaire et son noyau granitique se cache un mystère qui défie toute explication conventionnelle. L'image (Figure 2) tirée de l'article de recherche de Filippo Biondi et Corrado Malanga de 2022, publié dans Remote Sensing, présente un schéma détaillé des structures internes connues de la pyramide. Ce schéma, divisé en une vue en coupe nord-sud (a), une vue côté sud du Zed (b) et une vue côté est du Zed (c), sert de base à notre théorie spéculative : la pyramide n’était pas seulement un tombeau, mais un résonateur énergétique sophistiqué, conçu pour capter la résonance Schumann terrestre et la transmettre sans fil aux obélisques disséminés dans le paysage antique. Dans cette vision, l’Ankh, vénéré comme la « croix de vie », devient une clé de résonance, accordant le système à la perfection. Inspiré par les travaux pionniers de Nikola Tesla sur la transmission d’énergie sans fil, ce récit réinterprète les chambres, les couloirs et le Zed de la pyramide comme les composants d’une machine cosmique, tissant les détails du schéma dans une histoire de technologie ancienne perdue dans le temps.

L'image : Schéma détaillé de l'intérieur de la pyramide

Le schéma de la figure 2 présente une carte précise de l'architecture interne de la pyramide de Khéops, offrant trois perspectives complémentaires :

Figure 2a : Vue schématique nord-sud

Cette coupe transversale, avec le nord à gauche, indique les éléments connus de la pyramide, de 1 à 11. La Chambre du Roi et la Chambre du Zed (Objet 1) se trouvent près du sommet, légèrement au sud de l'axe central. La Chambre du Roi abrite un sarcophage en granit. En dessous, la Chambre de la Reine (Objet 2) s'aligne directement sous le sommet, tandis que la salle souterraine inachevée (Objet 3) se trouve hors axe, au sud, en sous-sol. La Grande Galerie (Objet 4), un couloir vertigineux, relie les Chambres du Roi et de la Reine. Des conduits d'aération (objets 5 et 6) s'étendent de la Chambre du Roi vers l'extérieur, et des conduits supplémentaires (objets 8, 9 et 10) relient la Grande Galerie aux autres chambres. L'entrée (objet 7) perce la face nord, et le sol (objet 11) ancre la base à une échelle de 50 mètres.

Figure 2b : Vue côté sud du Zed

Ce schéma révèle la structure du Zed au-dessus de la Chambre du Roi : cinq dalles de granit parallèles, irrégulièrement espacées, avec des faces supérieures rugueuses et des faces inférieures lisses, formant un toit pointu. La conception suggère plus qu'un simple support structurel, suggérant une fonction fonctionnelle.

Figure 2c : Vue côté est du Zed

Vu de l'est, le Zed s'aligne avec la Chambre du Roi en contrebas, avec des flèches directionnelles (O, E, N) précisant son orientation. Le toit pointu et la disposition des dalles sont cohérents avec la vue côté sud, soulignant la précision de sa construction.

Alors que Biondi et Malanga utilisent ces schémas pour étayer leurs résultats de tomographie Doppler SAR – révélant des structures cachées à l'intérieur de la pyramide –, nous les réinterprétons comme la preuve d'un système de transmission d'énergie. Nous suggérons que la pyramide captait la résonance de Schumann terrestre (un ensemble d'ondes électromagnétiques basse fréquence culminant à 7,83 Hz) à travers son architecture interne, l'amplifiait et la transmettait à des obélisques faisant office de récepteurs. L'Ankh, dans ce cadre, accordait les obélisques à la fréquence de la pyramide, assurant un transfert d'énergie fluide – une idée faisant écho au rêve de Tesla d'une énergie sans fil.

La pyramide comme résonateur : chambres et couloirs comme voies énergétiques

Le schéma nord-sud (Figure 2a) cartographie un réseau complexe de chambres et de passages qui, selon notre théorie, forment un système résonant. La Chambre du Roi (Objet 1), revêtue de granit – un matériau piézoélectrique capable de générer des charges électriques sous pression – se trouve sous le Zed, supportant le poids de millions de tonnes de pierre. Cette pression, selon nos hypothèses, a activé les propriétés piézoélectriques du granit, convertissant la contrainte mécanique en énergie électrique accordée à la résonance de Schumann. Les dimensions de la chambre (environ 10,47 x 5,23 x 5,81 mètres) et son plafond de granit à cinq couches amplifient cet effet, créant une cavité résonnante propice aux vibrations.

Ci-dessus, le Zed (détaillé dans les figures 2b et 2c) est composé de cinq dalles de granit, d'environ 2 mètres d'épaisseur chacune, pour une hauteur totale d'environ 8,5 mètres. Biondi et Malanga suggèrent qu'il agit comme un filtre acoustique passe-bas, atténuant les vibrations à haute fréquence tout en laissant passer les ondes à basse fréquence – comme la fondamentale de Schumann à 7,83 Hz – dans le Kin. Chambre du Roi. Les faces supérieures rugueuses des dalles pouvaient diffuser les fréquences indésirables, tandis que les faces inférieures lisses concentraient la résonance souhaitée vers le bas, améliorant ainsi le rendement de la chambre. Ce mécanisme de filtrage, selon nous, était essentiel pour isoler la fréquence naturelle de la Terre et la préparer à l'amplification et à la transmission.

La Grande Galerie (Objet 4), longue de 47 mètres et haute de 8,6 mètres, avec ses murs en encorbellement se rétrécissant jusqu'à un plafond de 2 mètres de large, ressemble à un guide d'ondes selon notre théorie. Sa forte inclinaison (26,5 degrés) et ses propriétés acoustiques – les échos persistent ici pendant quelques secondes – suggèrent qu'elle pouvait canaliser les ondes électromagnétiques de la Chambre du Roi vers l'extérieur. La conception en encorbellement, avec ses sept couches de pierre superposées, pourrait avoir dirigé l'énergie dans un faisceau focalisé, à la manière d'un réseau d'antennes moderne. L'hypothèse hydraulique de Biondi et Malanga postule que l'eau s'écoulait autrefois dans ce couloir, amplifiant la résonance ; nous étendons cette idée en imaginant l'eau comme un milieu diélectrique favorisant la propagation électromagnétique. La Chambre de la Reine (Objet 2), plus petite et centrée, aurait pu servir de résonateur secondaire. Son toit pointu et son revêtement en granit suggèrent qu'elle amplifiait les ondes de la Grande Galerie, les concentrant vers le sommet de la pyramide pour leur émission. La salle souterraine inachevée (Objet 3), creusée dans la roche à 30 mètres sous terre, aurait pu relier le système à la terre, reliant l'énergie de la pyramide au champ magnétique terrestre – un conducteur naturel que Tesla exploita plus tard dans ses expériences.

Les conduits d'air (Objets 5 et 6) de la Chambre du Roi, chacun d'environ 20 cm de côté et s'étendant sur 60 à 70 mètres vers l'extérieur, auraient pu servir de ports d'émission pour les ondes amplifiées. Des conduits supplémentaires (Objets 8, 9 et 10) reliant la Grande Galerie aux autres chambres suggèrent un système circulatoire, distribuant l'énergie à l'intérieur avant sa libération. L'entrée nord (Objet 7), alignée avec l'étoile polaire Thuban en 2600 av. J.-C., aurait pu permettre aux prêtres d'accéder au système et d'y effectuer des rituels pour initier ou entretenir la résonance.

Obélisques comme récepteurs : un réseau d'antennes sacrées

Au-delà de la pyramide, des obélisques – des monolithes de granit coiffés de pyramidions d'or ou d'électrum – se dressaient sur des sites sacrés comme Louxor et Karnak. Selon notre théorie, il ne s'agissait pas de simples monuments, mais d'antennes, réglées pour recevoir l'énergie transmise par la pyramide. La représentation schématique des caractéristiques de résonance de la pyramide le confirme : si la Chambre du Roi et Zed amplifiaient la résonance de Schumann et que la Grande Galerie la dirigeait vers l'extérieur, la pyramide aurait pu émettre des ondes électromagnétiques basse fréquence sur de vastes distances.

Un obélisque, tel que celui de Louxor, haut de 23 mètres (et pesant 227 tonnes), partage les propriétés matérielles du noyau granitique de la pyramide. Son potentiel piézoélectrique, activé par les ondes de la pyramide, aurait pu générer de faibles charges électriques. Le pyramidion conducteur, réfléchissant la lumière du soleil et amplifiant peut-être les signaux, en faisait un récepteur idéal. Placés près de l'eau – comme le Nil ou les lacs des temples –, ces obélisques exploitaient la conductivité de l'eau pour améliorer la réception, formant un réseau distribuant l'énergie pour alimenter les rituels, éclairer les lieux sacrés, voire alimenter de simples appareils oubliés dans l'histoire.

La conception octogonale de la pyramide, subtilement visible sous certains éclairages, aurait pu concentrer ses émissions en faisceaux directionnels, ciblant des obélisques spécifiques. Cette précision rappelle celle de la tour Wardenclyffe de Tesla, conçue pour diffuser l'énergie à l'échelle mondiale. Les inscriptions des obélisques, invoquant souvent Râ, pourraient encoder leur fonction : l'énergie solaire et cosmique captée par résonance, un don divin manifesté technologiquement.

L'Ankh : Accorder le système avec une précision ancestrale

L'Ankh, avec sa forme en croix et boucle, est omniprésent dans l'art égyptien, considéré par les dieux et les pharaons comme un symbole de vie. Selon notre théorie, il sert également de clé de résonance, alignant les obélisques sur la fréquence de la pyramide. Sa forme – une boucle au sommet d'une croix – suggère un circuit : la boucle est la source d'énergie (pyramide), la croix le conduit (obélisque). Les représentations de divinités offrant l'Ankh aux lèvres des mortels suggèrent une activation, peut-être un « souffle » rituel d'accord vibratoire.

Imaginez des prêtres au pied d'un obélisque, frappant l'Ankh avec un sistre – un instrument vibrant sacré pour Hathor – produisant une tonalité de 7,83 Hz correspondant à la puissance de la pyramide. Ou le plongeant dans l'eau du Nil, créant des vibrations ondulantes pour synchroniser le système. Les conduits et les chambres du schéma évoquent de tels rituels : les prêtres entrant par l'Objet 7, ajustant la résonance de la Chambre du Roi, puis transmettant des signaux aux obélisques par des ondes. La teinte dorée de l'Ankh, dans de nombreuses représentations, suggère la conductivité, renforçant son rôle d'outil d'accord.

La vision de Nikola Tesla : un pont entre l'ancien et le moderne

La fascination de Tesla pour les pyramides, en tant que dispositifs énergétiques potentiels, inspire notre récit. Sa tour de Wardenclyffe visait à transmettre l'énergie sans fil en utilisant la conductivité de la Terre, un concept ancré dans la résonance. Il voyait les nombres 3, 6 et 9 comme des clés universelles, et les proportions de la pyramide…Le rapport base/hauteur, proche de pi, fait écho à cette harmonie. La précision du schéma, avec ses blocs de granit alignés au millimètre près, s'accorde avec l'exigence de Tesla de fréquences exactes pour un transfert d'énergie efficace.

Les expériences de couplage inductif résonant de Tesla, transférant de l'énergie entre des bobines accordées, sont parallèles à notre réseau pyramide-obélisque. La Chambre du Roi, émetteur, les obélisques, récepteurs, et l'Ankh, diapason, forment un système qu'il aurait pu envier. Sa croyance en la Terre comme un condensateur géant, stockant et libérant de l'énergie, trouve un écho ancien dans l'ancrage de la pyramide via la chambre souterraine.

Le rôle de l'eau : améliorer la résonance et la transmission

La théorie hydraulique de Biondi et Malanga – selon laquelle l'eau du Nil traversait la pyramide – étaye notre récit. La pente de la Grande Galerie et la disposition des conduits suggèrent un système circulatoire, amplifiant la résonance grâce aux propriétés diélectriques de l'eau. La proximité du Nil avec Gizeh, aujourd'hui décalée, baignait autrefois le plateau, reliant la pyramide à un milieu conducteur. Les obélisques proches de l'eau amplifiaient cet effet, leur granit vibrant au rythme des vagues de la pyramide.

Les rituels d'eau de l'Ankh – trempage ou versement – ​​auraient pu harmoniser ce système, ses vibrations étant transportées par le liquide jusqu'aux obélisques en aval. Les anomalies acoustiques du schéma, comme les échos dans la Grande Galerie, suggèrent une résonance amplifiée par l'eau, une technologie à la fois pratique et sacrée.

Défis et scepticisme : Répondre aux critiques

Les critiques rejettent la pyramide comme un tombeau, et non comme une machine, invoquant ses artefacts funéraires et l'absence de preuves électriques. Le rôle symbolique de l'Ankh et les inscriptions religieuses des obélisques remettent en question notre vision technologique. La faible énergie de la résonance de Schumann – quelques picowatts par mètre carré – semble insuffisante pour une utilisation pratique, et les rêves de connexion sans fil de Tesla ont échoué. Pourtant, la précision du schéma et les particularités acoustiques de la pyramide défient les explications simples. La maîtrise de la géométrie et de l'astronomie par les Égyptiens suggère une connaissance plus profonde, peut-être une compréhension intuitive de la résonance, qui nous est inconnue. Le filtrage du Zed, le granit des chambres et l'alignement des conduits invitent à des spéculations qui dépassent les conceptions conventionnelles.

Implications pour l'avenir : Un héritage de sagesse ancienne

Si elle est avérée, cette théorie redéfinit l'histoire, présentant les Égyptiens comme des pionniers de l'énergie. Elle fait écho à la vision de Tesla d'une énergie gratuite et sans fil, inspirant des innovations modernes comme la charge résonnante. L'étude de la conception de la pyramide – ses chambres, ses conduits et ses matériaux – pourrait révéler des solutions énergétiques durables, exploitant la résonance de la Terre comme ils l'auraient fait.

Conclusion : Un plan pour une machine cosmique

La figure 2 dévoile une pyramide animée d'une mission : un résonateur d'énergie cosmique, relié aux obélisques par la mélodie de l'Ankh. L'héritage de Tesla relie cette merveille antique à notre avenir, suggérant un monde où l'énergie circule librement, comme cela a pu se produire à l'âge d'or de l'Égypte. Le schéma est notre guide, un murmure du passé nous incitant à écouter et à rêver.

MTA Diantaris

Source

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VOIR AUSSI :
-  24 boîtes noires aliens découvertes près des Pyramides de Gizeh
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-  Des scientifiques découvrent une forme mystérieuse d'énergie dans les pyramides d'Égypte qui ne devrait exister qu'à l'époque moderne
-  Les pyramides de Gizeh, tout un langage mathématique

Hannibal Genséric

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SILVANO TROTTA OFFICIEL

@silvano_trotta

Mon ami Corrado Malanga avec qui j'avais fait des émissions sur feu ma chaîne You Tube, docteur en Chimie Organique et Filippo Biondi docteur en images à bandes ultra-larges ont "scanné" la grande pyramide de Gizeh. Leur découverte est stupéfiante. Elle révèle d'énormes structures souterraines que les médias et les autorités feront tout pour les cacher aux peuples.... Regardez ce que l'on vous cache : Vidéo

 

 

5 commentaires:

  1. Vos pyramides modestes
    dureront davantage que les pyramides d’Égypte,
    fourmilières élevées par la stupidité et l’esclavage. La
    fin des siècles verra encore debout sur les ruines des
    temps, vos chiffres cabalistiques, vos équations
    laconiques et vos lignes sculpturales siéger à la droite
    vengeresse du Tout-Puissant, tandis que les étoiles
    s’enfonceront, avec désespoir, comme des trombes,
    dans l’éternité d’une nuit horrible et universelle, et que
    l’humanité, grimaçante, songera à faire ses comptes
    avec le jugement dernier (Lautréamont).

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  2. https://x.com/silvano_trotta/status/1902460329634005265

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  3. Les pyramides ne sont plus rien : https://nicolasbonnal.wordpress.com/2024/05/29/apocalypse-touristique-et-profanation-des-pyramides-on-a-ici-limpression-quelles-sont-de-simples-simulacres-des-repliques-de-las-vegas-et-quon-les-a-plante/

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    1. Je vous remercie pour votre commentaire qui nous fait rappeler le réalisateur Jacques Tati qui était visionnaire ! mon frère ainé m'avait fait découvrir les films de Tati et j'en gardes des souvenirs, je ne savais pas qu'il avait des origines russes....

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  4. Salut, on sait que la nouvelle religion de la Science.. a les mêmes travers que celles qui l'ont précédée ! Il s'agit donc de faire en sorte que la lumière sorte du boisseau à la faveur de cette fin de cycle. La première épreuve étant de réussir à diffuser largement cette information majeure, puisque tous les âges et toutes les cultures sont concernées par cette réalité qui ne demande qu'à se révéler. C'est de plus un symbole essentiel à la poursuite des révélations qui ont cours au jour le jour désormais.. En espérant trouver votre compréhension et votre participation !

    Kristian Garino - Chambéry/Savoie/France - federlangue3@yahoo.fr -

    Bonjour,

    J'ai pris connaissance il y a peu, de l'existence du modèle TYCHOS, du nom de Tycho Brahé, et qui révolutionne celui de l'Héliocentrisme. Oui il y a un tout un système à mettre à jour et à remettre en cause !

    Et sans doute est-ce le bon moment pour donner de l'élan à ce projet, Fruit de plus d'une décennie de recherches résolues et laborieuses.

    Simon Shack simonshack@libero.it et son ami Patrick Holmqvist, en proposent la théorie et l'animation, par visite suivie et studieuse.

    De mon côté j'essaye de réaliser la version numérique du contenu pour aider à une large diffusion en français, avant une publication.

    Est aussi paru en 8 langues un article sur le Réseau international, peut-être même connaissez-vous déjà le sujet et l'avez médité ?

    Je reste à l'écoute de vos questionnements et de votre réponse, mais vous pouvez aussi contacter directement Simon par mail.

    Je vous salue bien cordialement @Kristian

    https://www.tychos.space/

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