Téhéran a averti Washington qu’il attaquerait les forces américaines au Moyen-Orient si les États-Unis s’impliquaient dans une confrontation militaire entre l’Iran et Israël, a rapporté vendredi Axios, citant trois responsables américains proches du dossier.
La semaine dernière, Israël a mené une frappe aérienne sur l'annexe consulaire de l'ambassade iranienne à Damas, détruisant le bâtiment. Le Corps des Gardiens de la révolution islamique iranien a déclaré que sept de ses membres avaient été tués dans l'attaque, dont deux commandants. L’Iran devrait mener des frappes de représailles contre Israël dans les heures ou les jours à venir.
Cependant, un responsable américain a déclaré à Axios qu'il n'était pas clair si l'Iran menaçait d'attaquer les forces américaines dans la région si elles aidaient Israël à intercepter les missiles iraniens ou seulement si elles participaient à une contre-offensive israélienne.
La communauté du renseignement américain estime que l’Iran ne pourrait attaquer les forces américaines que si les États-Unis se joignaient à Israël dans une contre-offensive, indique le rapport citant un responsable américain.
Deux responsables américains, ajoute le rapport, ont déclaré que l'Iran souhaitait mener une réponse limitée qui ne conduirait pas à une escalade régionale.
Les États-Unis communiquent directement avec l'Iran via le canal de communication officiel suisse, mais l'Iran a relayé ses menaces par l'intermédiaire de plusieurs pays arabes, selon le rapport.
L’administration Biden a demandé qu’Israël se renseigne d’abord auprès des États-Unis avant de prendre une décision sur d’éventuelles actions de représailles contre l’Iran à la suite de l’attaque prévue.
12 avril 2024
Source :
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Les États du Golfe persique n’autoriseraient pas les États-Unis à utiliser leurs bases pour des frappes anti-iraniennes
Les pays du Golfe persique ont averti les États-Unis qu'ils ne permettraient pas à Washington d'utiliser leur sol pour des frappes contre l'Iran en cas de représailles de la République islamique contre les territoires occupés par Israël.
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Le site d'information britannique Middle East Eye (MEE) a cité des sources anonymes affirmant que l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Oman et le Koweït avaient appelé les États-Unis à ne pas utiliser les bases militaires américaines sur leurs territoires pour frapper l’Iran en réponse à une éventuelle attaque iranienne de représailles contre l’état d’apartheid et de génocide juif.
« Les alliés des États-Unis du golfe Persique font tout leur possible pour fermer toutes les voies qui pourraient les lier à des représailles américaines contre Téhéran… à partir de bases situées à l’intérieur de leurs territoires », a déclaré à MEE un haut responsable américain sous couvert d’anonymat.
Les pays du Golfe persique auraient soulevé des questions sur les détails complexes des accords de base qui permettent à des dizaines de milliers de soldats américains d'être stationnés dans la péninsule riche en pétrole.
Ils prennent également des mesures pour empêcher les avions de combat américains de survoler leur espace aérien au cas où Washington mènerait une frappe de représailles sur Téhéran en soutien à Israël, suite à l’attaque meurtrière du régime d’apartheid contre le consulat iranien en Syrie au début du mois.
Le 1er avril, des avions militaires
israéliens ont bombardé le consulat iranien à Damas, situé à côté du bâtiment
de l’ambassade dans le quartier de Mezzeh à Damas.
Le chef de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a déclaré
que le régime israélien « doit être puni et sera puni » pour son attaque contre
l'Iran.
L'agression a tué deux militaires iraniens de haut rang qui effectuaient une
mission de conseil en Syrie ainsi que cinq des officiers qui les
accompagnaient.
Le Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien a déclaré que
le général de brigade Mohammad Reza Zahedi, commandant de la force Al-Qods du
CGRI, et son adjoint, le général Mohammad Hadi Haji Rahimi, figuraient parmi
les sept martyrs de l'attaque terroriste.
La réticence des États du Golfe Persique survient alors que l’administration du président américain Joe Biden se prépare à une réponse à une éventuelle attaque iranienne contre l’entité sioniste, les responsables américains actuels et anciens soulignant que l’attaque de représailles est imminente.
samedi 13 avril 2024
Source : Presstv
Les USA n'ont plus la capacité militaire de s'attaquer à l'Iran de manière conventionnelle.
RépondreSupprimerSelon le général français Pinatel, les Amères loques ont épuisé les stocks d'armes et de minutions qu'ils avaient mis 15 ans à constituer.
C'est grave car s'ils font la connerie de défendre les Israélites, ils essaieront d'atomiser l'Iran et ce sera la guerre mondiale avec la Russie et tout le toutim.
L'émission avec le général Pinatel (qui sans être un bourre mou, m'a l'air un peu mou du mou) :
https://www.youtube.com/watch?v=dFD1knImxXk
Machin
chance pour les sionistes de biden de sauver leur regime ? russie a bien tout calculer tout va rentrer dans l ordre et le chien americain dans le niche et le juif dans le tombe! enfin ! vive la libération
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