Le grand rabbin séfarade d’Israël Yitzhak Yosef a déclaré que les
non-juifs ne devraient pas pouvoir vivre en Israël s’ils ne respectaient
pas sept lois stipulées par le judaïsme, et ne se mettaient pas au
service des juifs.
«Selon la loi juive, les gentils [non-juifs] ne devraient pas vivre sur
la terre d’Israël», a déclaré le rabbin Yosef dans son sermon de samedi.
«Si un gentil n’accepte pas d’adopter les sept lois noahides, nous
devrions l’expulser vers Arabie Saoudite. Lorsque la véritable et totale
rédemption s’accomplira, c’est ce que nous ferons», a-t-il ajouté.
Selon lui, la seule raison pour laquelle les non-juifs sont autorisés à vivre dans l’Etat juif est que le messie n’est pas encore arrivé. «Si nous étions intransigeants et si nous gouvernions, c’est ce que nous ferions. Mais le fait est que nous ne sommes pas fermes et que nous attendons le messie» a-t-il affirmé.
Le rabbin a aussi déclaré que les non-juifs qui obéiraient à ces lois – interdiction de l’idolâtrie, du blasphème, du meurtre, des relations sexuelles illicites, de voler, de manger de la chair issue d’un animal vivant, et l’obligation d’établir des tribunaux afin de faire respecter ces règles – pourraient être autorisés à rester à condition de servir les juifs.
Son père, le rabbin Ovadia Yossef, avait déjà tenu des propos similaires en octobre 2010. Pour lui, «les goyim [non juifs] n'ont de place dans le monde que pour servir le peuple d'Israël».
Selon lui, la seule raison pour laquelle les non-juifs sont autorisés à vivre dans l’Etat juif est que le messie n’est pas encore arrivé. «Si nous étions intransigeants et si nous gouvernions, c’est ce que nous ferions. Mais le fait est que nous ne sommes pas fermes et que nous attendons le messie» a-t-il affirmé.
Le rabbin a aussi déclaré que les non-juifs qui obéiraient à ces lois – interdiction de l’idolâtrie, du blasphème, du meurtre, des relations sexuelles illicites, de voler, de manger de la chair issue d’un animal vivant, et l’obligation d’établir des tribunaux afin de faire respecter ces règles – pourraient être autorisés à rester à condition de servir les juifs.
Son père, le rabbin Ovadia Yossef, avait déjà tenu des propos similaires en octobre 2010. Pour lui, «les goyim [non juifs] n'ont de place dans le monde que pour servir le peuple d'Israël».
Il y a deux semaines,
dans un autre prêche, Yitzhak Yosef avait affirmé que les Israéliens
devaient tuer les Palestiniens qui mènent des attaques au couteau sans
craindre de représailles judiciaires. «Si un terroriste vient au-devant
de vous avec un couteau, il vous est commandé [par la loi juive] de le
tuer» avait-il déclaré, ajoutant qu’il ne fallait pas «s’inquiéter
d’être traduit devant une cour de justice ou des ordres contradictoires
venant d’officiers de l’armée».
Néanmoins, celui-ci a mis en garde contre le meurtre d’assaillants ne représentant plus de danger, arguant que seul le messie pourrait décider de le mettre à mort.
Ces déclarations font écho au meurtre d'un Palestinien, abattu d’une balle dans la tête alors qu'il ne représentait aucune menace. En réponse aux manifestations de soutien au franco-israélien Elor-Azria, auteur du coup de feu fatal, le ministre israélien de la Défense Moshé Yaalon avait déclaré que ce soldat n’était pas un «héros».
Néanmoins, celui-ci a mis en garde contre le meurtre d’assaillants ne représentant plus de danger, arguant que seul le messie pourrait décider de le mettre à mort.
Ces déclarations font écho au meurtre d'un Palestinien, abattu d’une balle dans la tête alors qu'il ne représentait aucune menace. En réponse aux manifestations de soutien au franco-israélien Elor-Azria, auteur du coup de feu fatal, le ministre israélien de la Défense Moshé Yaalon avait déclaré que ce soldat n’était pas un «héros».
Source RT International 29 mars 2016,
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Commentaire :
1- La France, bien évidemment, n'a pas réagi au meurtre de ce Palestinien innocent par un Français (Israélien). La vie d'un Arabe ne vaut pas alors un pet de lapin, dans un pays où les juifs font la pluie et le mauvais temps.
2- On comprend aussi pourquoi Israël attaque les Gilets Jaunes (Voir : Israël taxe d’antisémite le Mouvement des Gilets Jaunes) : les non-juifs français sont là pour servir tous les Juifs, français ou non. Nous avons vu qu'en France, la voix d'un juif vaut 100 fois celle d'un non juif. CQFD.
H. Genséric
1- La France, bien évidemment, n'a pas réagi au meurtre de ce Palestinien innocent par un Français (Israélien). La vie d'un Arabe ne vaut pas alors un pet de lapin, dans un pays où les juifs font la pluie et le mauvais temps.
2- On comprend aussi pourquoi Israël attaque les Gilets Jaunes (Voir : Israël taxe d’antisémite le Mouvement des Gilets Jaunes) : les non-juifs français sont là pour servir tous les Juifs, français ou non. Nous avons vu qu'en France, la voix d'un juif vaut 100 fois celle d'un non juif. CQFD.
H. Genséric
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ANNEXE. La vente d’esclaves noirs par les Juifs a été
massive et irréfutable
Un livre de la Nation of Islam présente des preuves troublantes de
la participation de juifs américains au commerce des esclaves noirs africains. JEWS SELLING BLACKS confirme que des
marchands juifs du monde entier ont participé au commerce inhumain d'êtres
humains noirs, dominant souvent certains des marchés les plus importants du
commerce d'esclaves. Même avant la publication du livre révolutionnaire et
controversé The
Secret Relationship Between Blacks and Jews (La
relation secrète entre les Noirs et les Juifs) en 1991, des érudits juifs
admettaient en privé que le rôle des Juifs dans l’Holocauste en Afrique était
bien plus important qu’on ne le croit généralement.
Le rabbin Marc Lee Raphael, rédacteur de longue date du plus
prestigieux journal d’histoire juive, a écrit en deux paragraphes l’une des
déclarations les plus définitives sur l’implication des Juifs dans l’Holocauste
noir:
"… Les marchands juifs ont joué un rôle majeur dans le
commerce des esclaves. En fait, dans toutes les
colonies américaines, qu’elles soient françaises (Martinique), britanniques ou
néerlandaises, les marchands juifs (d’esclaves) étaient souvent dominants. Cela
n’est pas moins vrai en Amérique du Nord, où, au XVIIIe siècle, les Juifs ont
participé au «commerce triangulaire» qui a amené des esclaves d’Afrique aux
Antilles et les a échangés contre de la mélasse, qui a été emmenée en
Nouvelle-Angleterre et convertie dans le rhum à vendre en Afrique… ”
Alors que toute déclaration similaire d'un non juif en général, et
d’un homme ou d'une femme noire en particulier, serait fermement condamnée, les
érudits juifs et les rabbins sont restés sans réplique. Comme l'a dit le Rabbin
Dr. Raphael, les Juifs étaient particulièrement actifs au Brésil et dans les
Caraïbes, et une grande partie de leurs activités de traite d'esclaves s'est
déroulée en dehors des frontières éventuelles des États-Unis, bien avant que
celle-ci ne devienne une nation en 1776.
Les Cohen offrent 2 plantations et 125 êtres humains noirs à la vente. |
Certains érudits juifs ont utilisé les recensements américains, qui
montrent une contribution «modeste» des juifs au commerce d’esclaves noirs, afin de minimiser le rôle
des Juifs qui étaient en réalité les «principaux» propriétaires d’êtres humains
noirs. Statistiquement, les Juifs étaient deux fois plus susceptibles que les
Blancs américains à «posséder» des Africains.
En outre, de nombreux marchands juifs vendaient simultanément des
dizaines, voire des centaines d’Africains par l’intermédiaire de leurs
entreprises. Le recensement de 1830 montre que tous les Juifs de Charleston, en
Caroline du Sud, ont prétendu «posséder» un total de 104 êtres humains noirs.
Mais un seul Juif, Jacob Cohen, un jour de 1857, proposa à la vente «125 nègres ». La même année, ce même M. Cohen, membre important de sa synagogue, fit
équipe avec un païen et en annonça presque le double de ce nombre, 210, en un
seul jour.
Les marchands d'esclaves juifs, par nécessité économique, ont
essayé de «remettre» leur marchandise humaine noire le plus rapidement
possible, et cette brève «propriété» des Africains par de nombreux marchands
juifs ne figure pas dans les registres du recensement. Néanmoins, en
commercialisant les produits du travail esclave et en fournissant aux
plantations des articles de commerce - même achetant et vendant des plantations
entières avec leurs esclaves - les marchands juifs contribuaient à rentabiliser
l'esclavage en Amérique.
Le lecteur notera l'extraordinaire trafic d'esclaves pratiqué par
des juifs de Caroline du Sud. En fait, bien avant que la population juive
américaine ne se concentre à New York, le centre de la communauté juive à
l'époque de l'esclavage était Charleston. La ville avait la plus grande
population de Juifs du pays et était considérée comme le centre même de la
richesse et de la culture juives de l’hémisphère occidental. L'origine
du judaïsme réformé (la branche du judaïsme pratiquée aujourd'hui par la grande
majorité des juifs américains) a commencé à Charleston en 1825.
Et lorsque les réformateurs juifs de cette ville ont annoncé leur nouveau judaïsme au grand public, ils ont lancé un appel à «tous influencés par des sentiments tolérants et sans préjugés. ». Ils ont expliqué que leurs actions vanteraient « la force et la beauté de la loi morale » et éviteraient les pratiques « qui participent fortement au sectarisme »- tout « en l'honneur de Dieu tout-puissant ». L’appel a été signé par plusieurs propriétaires d’esclaves juifs et imprimé sur la même page de la City Gazette et du Commercial Daily Advertiser (11 septembre 1826), dans laquelle le marchand juif Abraham Tobias avait mis en vente et garantissait le caractère de «jeune jeune nègre» comme compagnon."
Et lorsque les réformateurs juifs de cette ville ont annoncé leur nouveau judaïsme au grand public, ils ont lancé un appel à «tous influencés par des sentiments tolérants et sans préjugés. ». Ils ont expliqué que leurs actions vanteraient « la force et la beauté de la loi morale » et éviteraient les pratiques « qui participent fortement au sectarisme »- tout « en l'honneur de Dieu tout-puissant ». L’appel a été signé par plusieurs propriétaires d’esclaves juifs et imprimé sur la même page de la City Gazette et du Commercial Daily Advertiser (11 septembre 1826), dans laquelle le marchand juif Abraham Tobias avait mis en vente et garantissait le caractère de «jeune jeune nègre» comme compagnon."
Ces publicités
- maintenant disponibles dans la plus grande collection de publicités de vente
d'esclaves juifs jamais publiées - constituent une preuve irréfutable de
l'implication substantielle des Juifs dans la plus grande entreprise criminelle
de l'histoire du monde: l’Holocauste Noir.
Vidéo
Vidéo
Source :
Traduction / annotations : H. Genséric
si un musulman dit le 1/1000 000 000 ème de celui-ci, tous les gouvernants du monde médias inclus, avec eux les arabes aussi crient à l'intolérance et l'islamisme et ... et le traitent de tous les noms d'oiseaux ou de singes
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