La
conférence de Porto sur le Climat Basic Science of a Changing
Climate: How process in the Sun, Atmosphere and Ocean affect Weather and Climate,
s’est déroulée à Porto les 7 et 8 septembre 2018. On y a présenté
35 communications, 4 posters et 2 séances de discussions. Voici la traduction de
l’excellent compte-rendu de la Conférence de Porto rédigé par le géophysicien
de l’Université de Stockholm, Nils-Axel
Mörner.
Ces
conclusions contredisent les poncifs concernant le réchauffement climatique, le
rôle du CO2, l'acidité des océans etc.
En annexe,
vous trouverez une justification mathématique confirmant les conclusions
ci-dessous. Hannibal Genséric
Vous
trouverez ci-dessous un certain nombre d’énoncés et de conclusions en rapport
avec ce qui y a été présenté et discuté.
–
L’étude des changements climatiques et des changements du niveau de la mer
était jadis reliée à des disciplines comme la géologie, la paléontologie et la
géographie. Cela se traduisait par de solides ancrages dans les faits et
observations. La météorologie était alors confinée à l’étude et à la prévision
du temps. On peut considérer comme une tragédie scientifique le fait que la
discipline météorologique se soit maintenant emparée du changement climatique
et du changement du niveau des océans (suite au projet du GIEC commencé
dans les années 1980), laquelle n’avait aucune tradition bien établie dans
l’analyse historique. « Nos meilleurs outils pour cela sont dans les roches, les mathématiques,
la physique et dans notre intelligence » [1].
– Ce
qu’on appelle souvent « météo extrême » n’est ni
extrême, ni inhabituel; il s’agit plutôt d’une caractéristique naturelle de la
machine météo. Aucune analyse temporelle des événements météo ne réussit à
démontrer une quelconque tendance d’accroissement dramatique du passé vers le
présent.
– Considérer le CO2 comme le
moteur principal du changement climatique constitue une faute sérieuse
[2]. Elle est basée sur « une erreur élémentaire et grave laquelle a
fourni le prétexte pour la préoccupation injustifiée mais généralisée d’un
changement climatique ». [3]. En fait, la température ne devrait pas
grimper de plus de 0,3C d’ici 2100 [4]. Les émissions humaines ne sont que de
18 ppm tandis que la nature en ajoute 392 ppm des 410 ppm de CO2 présentement
dans l’atmosphère [5], ce
qui signifie que les émissions anthropiques ont un effet très faible à
négligeable sur la température [4, 5, 6, 7].
– Une augmentation du niveau de CO2 dans l’atmosphère constitue
un excellent fertilisant pour la biosphère, aussi bien sur terre que dans les
océans [8].
–
L’acidification des océans est un concept contemporain qui n’a aucune
justification océanographique ni géologique [9]. En fait, la flore et la faune marines
s’épanouissent là où le CO2 abonde [10]. Le dioxyde de carbone dans
l’eau de mer ne dissout pas les récifs coralliens, mais il est plutôt essentiel
à leur survie. Le Grand Récif Barrière se porte très bien [11]. Le niveau de la
mer s’est élevé de façon linéaire de 1,1 mm/année au cours du dernier siècle
[12].
– Des
variations de la pression atmosphérique totale sont proposées comme explication
alternative pour les changements climatiques observés [13, 14]. Cela explique
aussi les changements du passé des gradients de la température globale.
– Le Soleil ainsi que les
variations d’activité solaire en fonction du temps sont bien sûr les principaux
moteurs des changements climatiques avec les effets qui y sont
associés [15-22]. Les mouvements planétaires et leurs effets sur la variabilité
solaire entraînent des changements de luminosité et de vent solaire. La
variabilité solaire (l’effet du vent solaire, du champ géomagnétique qui lui
est associé et sa capacité de servir ainsi de bouclier) s’enregistre sous forme
de changements en concentration des isotopes 14C et 10Be dans l’atmosphère [17].
Un certain nombre de cycles ont été détectés, lesquels coïncident avec ceux des
planètes affectant le Soleil [18, 20, 22]. Un cycle de 60 ans a pu être
clairement identifié [4, 15, 19, 21, 22], et il est bien documenté dans un
grand nombre de paramètres terrestres suggérant qu’il est mû principalement par les variations du vent
solaire (aussi reliées aux changements de luminosité). Les
alternances entre Grands Maximums Solaires et Grands Minimums Solaires [21]
sont particulièrement importantes dans leurs effets sur le climat (alternance
entre phases chaudes et Petits Âges Glaciaires) , la circulation océanique,
(e.g. le Gulf Stream pénétrant jusque dans la mer de Barents, alternant avec sa
pénétration dans les basses latitudes) et les changements du niveau de la mer
(hauts niveaux dans le nord et bas niveaux en régions équatoriales alternant
avec de bas niveaux au nord et de hauts niveaux en régions équatoriales). Les
prochains Grands Minimums Solaires (avec les conditions climatiques de Petit Age
Glaciaire qui y seront associées) devraient se produire entre 2030-2050 et
entre 2080-2100 [15, 19, 20, 21].
– Les questions du réchauffement global, des changements
climatiques et de la hausse rapide du niveau des océans reflètent une
déplorable politisation des géosciences [23] qui a démarré avec
le projet du GIEC. À juste titre, on a appelé cela « Le Plus Grand
Mensonge Jamais Raconté » [24].
– Les
séances de discussion ont été très intensives et instructives. Aucun des participants ne
semblait adhérer à la thèse du réchauffement causé par le CO2 (RCA).
Il a plutôt semblé que le forçage solaire faisait l’unanimité. Ce phénomène a
été particulièrement bien décrit par Claus Rieth [25].
Tous les
participants ont semblé satisfaits et ont félicité les organisateurs. Merci à Maria da Assunção Araújo qui a créé le site www.portoconference2018.org sur lequel on trouvera toute l’information [25, 26] sur
cette conférence.
Présentations (ppt) in: https://www.portoconference2018.org/presentations–posters.html
[1] Christopher Essex: Day-1, Paper-1
[2] Piers Corbyn: Day-1, Paper-2
[3] Christopher Monckton of Brenchley: Day-1, Paper-9
[4] Francois Gervais: Day-, Paper-8
[5] Edwin Berry: Day-1, Paper-11
[6] Camille Veyers: Day-1, Paper-10
[7] Herman Harde: Day-1, Paper-12
[8] Albrecht Gratzle: Day-1, Paper-15
[9] Cliff Ollier: Day-2, Paper-15
[10] Martin Hovland: studies of biological life in pockmarks with methane seapage
[11] Peter Ridd: Day-2, Paper-16
[12] Thomas Wusmuller: Day-2, Paper-10
[13] Karl Zeller & Ned Nikolov: Day-1, Paper-6
[14] Ned Nikolov & Karl Zeller: Day-1, Paper-7
[15] Piers Corbyn: Daay-2, Paper-1
[16] Pavel Kalenda: Day-2, Paper-3
[17] Don Easterbrook: Day-2, Paper-4
[18] Roger Tattersall & Stuart Graham: Day-2, Paper-5
[19] Jan-Erik Solheim: Day-2, Paper-6
[20] Harald Yndestad: Day-2, Paper-7
[21] Nils-Axel Mörner: Day-2, Paper-8
[22] Nicola Scafetta: Day-2, Paper-9
[23] Aziz Adam: Day-2, Paper-20
[24] Nils-Axel Mörner: The Greatest Lie Ever Told, 2007
[26] https://www.portoconference2018.org/links.html-------------------------------------------------------------------------
ANNEXE
La découverte climatique de Zeller-Nikolov pourrait bouleverser le
monde
La nature a créé la relation mathématique fondamentale maintenant
connue sous le nom de E = mc2. Un résultat mathématique, s’il est prouvé
valide, est un phénomène réel; aussi réel que de trouver un diamant dans un lit
de rivière. La nature crée des relations mathématiques fondamentales; les
humains ne font que les découvrir.
La découverte mathématique simple et limpide faite par les Drs Karl
Zeller et Ned Nikolov a de nombreux ennemis. Si leurs conclusions sont avérées
exactes, les industries éolienne et solaire pourraient faire faillite et faire
pression sur les politiciens pour qu’ils mettent fin aux mandats relatifs aux
biocarburants. Cela embarrasserait la plupart des politiciens et presque tous
les climatologues, même ceux qui pensent que le dioxyde de carbone n’a pas
d’effet significatif sur la température de la Terre.
La découverte climatique de Zeller-Nikolov utilise les données
officielles de la NASA pour quantifier les températures moyennes des corps
satellites à surface dure en orbite autour de notre Soleil. La formule n’est
pas applicable aux planètes gazeuses: Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Zeller
et Nikolov déclarent pouvoir déterminer la température moyenne à long terme de
Vénus, de la Terre, de Mars, de Titan (une lune de Saturne) et de Triton (une
lune de Neptune) en utilisant seulement deux valeurs informatives: leur
distance au Soleil. et leur pression atmosphérique.
Zeller et Nikolov ont constaté que la composition gazeuse des
atmosphères n’était pas essentielle pour déterminer les températures moyennes à
long terme. Par exemple, l’atmosphère de Vénus est composée à 96,5% de dioxyde
de carbone, alors que l’atmosphère terrestre ne contient que 0,04% de dioxyde
de carbone, mais ces différences considérables n’ont aucune incidence sur les
calculs mathématiques nécessaires pour déterminer les températures moyennes.
Cette preuve mathématique nous dit que même si Vénus a 2412 fois plus de
dioxyde de carbone que la Terre, mesurée en pourcentage de son atmosphère, le CO2 n’a aucun effet mesurable
sur sa température moyenne à long terme. Zeller et Nikolov affirment
que le dioxyde de carbone et tous les autres gaz atmosphériques ne contribuent
à la température que par leur masse physique et la pression atmosphérique
résultante.
La découverte de Zeller-Nikolov signifie que l’atmosphère de la Terre nous
maintient au chaud grâce à un chauffage par compression de gaz sous le poids de
l’atmosphère de la Terre, d’une épaisseur d’environ 300 milles, et non par
effet de serre. Une serre réelle est entourée d’un mur de verre. La
Terre n’a pas d’enceinte et est ouverte sur l’espace. Les deux scientifiques suggèrent
donc de remplacer le terme « effet de serre » par
« rehaussement thermique atmosphérique ». La chaleur
est créée en comprimant les gaz atmosphériques sous l’effet de la gravité. De
même, dans un moteur diesel, un piston est utilisé pour comprimer les gaz afin
de générer suffisamment de chaleur pour éliminer le besoin d’une bougie
d’allumage. L’attraction gravitationnelle énorme exercée sur la masse énorme de
l’atmosphère terrestre combinée au rayonnement solaire réchauffe notre planète
suffisamment pour permettre aux formes de vie à base de carbone de s’épanouir.
Si le dioxyde de carbone était le puissant catalyseur de gaz à
effet de serre que les alarmistes prétendent, les calculs de Vénus devraient
être radicalement différents de ceux de la Terre, mais ils sont identiques. Cela nous indique que le CO2 n’a
pas d’effet direct mesurable sur la température de la planète, ce qui est
parfaitement logique puisque la Terre a connu de graves périodes glaciaires
lorsque les niveaux de CO2 dans l’atmosphère étaient bien plus élevés
qu’aujourd’hui.
La théorie des gaz à effet de serre basée sur le dioxyde de carbone
du scientifique suédois Svante Arrhenius, proposé pour la première fois
en 1896, n’a jamais été prouvée valide par des tests empiriques. Les idées de
Svante semblaient plausibles, alors les gens les acceptèrent sans preuve. Plus
récemment, des politiciens américains ont littéralement ordonné au GIEC de
dépenser des sommes énormes en dollars des contribuables en concoctant des
projections farfelues et fantaisistes de modèles informatiques fondées sur les
hypothèses de Svante. Comme le dit le vieil adage de la programmation
informatique, « garbage in, garbage out » (GIGO).
Toutes les prévisions climatiques catastrophiques du GIEC ont
échoué, en dépit des efforts de nos médias fortement biaisés pour déformer et
exagérer. Les vagues de chaleur estivales ordinaires et les tempêtes hivernales
ont été faussement décrites comme des précurseurs de la fin du monde, ce qui ne
se produira certainement pas si nous n’élisons plus de démocrates. Les gourous
du climat continuent à repousser la date de la catastrophe dans l’avenir parce
que la catastrophe mondiale qu’ils continuent de prédire n’arrive jamais. Ce
qui est arrivé, ce sont des fluctuations ordinaires et attendues du climat de
la Terre depuis sa formation. Demandez-vous quand le climat de la Terre était
plus agréable et bénéfique pour l’homme que le climat actuel. La réponse
honnête est simplement : jamais .
Malgré les nombreuses revues techniques effectuées par des
scientifiques du monde entier, personne n’a trouvé d’erreur dans les formules mathématiques et les
calculs spécifiques de Zeller et Nikolov. Les objections soulevées
contre leur découverte portent en grande partie sur le fait que cela ne
correspond pas aux théories climatiques acceptées, qui sont populaires sur les
plans professionnel et politique. La science du climat est devenue un outil de
pouvoir politique orwellien et une énorme activité lucrative pour les
scientifiques, les professeurs, les universités, les employés des gouvernements
fédéral et des États, et de mille et une entreprises écologiques. Il suffit de
penser aux milliards de dollars consacrés au « réchauffement de la
planète » et aux faux remèdes prescrits. Aucun malheur n’équivaut à aucun
recours coûteux ni à aucun profit pour ceux qui vendent la peur.
Les vrais scientifiques savent que vous ne pouvez pas contrôler la
météo avec des éoliennes et des panneaux solaires, pas plus que vous ne pouvez
contrôler la météo avec des boules de bowling et des statues d’hommes
politiques décédés. Pourtant, la lubie coûteuse et impraticable des énergies
renouvelables continue. Les capitalistes et les politiciens ambitieux mais
naïfs sur le plan scientifique, d’Alexandria Ocasio-Cortez à Beto O’Rourke, en
passant par le milliardaire Michael Bloomberg, veulent que les contribuables
dépensent des milliards de dollars en programmes énergétiques qui ont déjà
augmenté le coût de la nourriture et de l’énergie dans le monde entier. Cela a
nui beaucoup plus aux pauvres du monde qu’aux riches, à l’opposé de ce que les
libéraux sont supposés défendre. Maintenant, ils veulent que nous intensifions
notre guerre de manière spectaculaire contre l’atome de carbone, l’élément même
dont sont constitués tous nos aliments et notre propre corps. Créatures de carbone combattant le carbone;
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Hannibal Genséric
Rien ne cree Rien ne ce pert Tous ce transforme.
RépondreSupprimerLa grammaire ça se perd, si !
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