Un
scientifique très respecté, médaillé du climat, vient de décortiquer la science
du réchauffement planétaire et y a jeté un coup de pied géant.
Son
nom? John Bates. Sa cible? Une étude frauduleuse récente qui a déclaré que la
«pause» inconfortable dans le réchauffement n’était vraiment pas du tout une
pause. Cette étude, qui prétendait que le réchauffement n’avait jamais cessé,
avait été programmée pour influencer les pays négociateurs, lors du Sommet sur
le Climat à Paris.
Il avait été préparé juste à temps pour les aider à adopter
des mesures économiques draconiennes pour réduire le réchauffement.
Mais,
Bates révèle, que l’étude a été grillée sur plusieurs points. C’était un tel
désordre, qu’en temps normal, aucun scientifique qui se respecte, n’aurait
accepté de le signer Cependant, les scientifiques y ont adhéré. Et une
prestigieuse revue, Science, l’a publiée.
Apparemment,
les cerveaux de la Science étaient en vacances. Ou alors, ils étaient
déterminés à jouer au ballon et à aider le plan Globaliste à réduire de façon
drastique la production d’énergie produisant du CO2 dans les pays du monde
entier, augmentant ainsi la pauvreté, afin de «nous sauver» et éviter de se
faire brûler.
Voici
des citations de choix de l’article exclusif de David Rose du Daily Mail, qui
expose cette tromperie de grande envergure:
“Le
Mail du dimanche révèle aujourd’hui des preuves étonnantes que l’organisation,
qui est la principale source mondiale de données climatiques, s’est précipité
pour publier un document historique qui exagère le réchauffement climatique,
lequel a été programmé pour influencer l’Accord historique de Paris sur le
Changement Climatique.”
“Un
dénonciateur de haut niveau a déclaré à ce journal, que l’Administration
Nationale Océanique et Atmosphérique de l’Amérique (NOAA) a violé ses propres
règles en ce qui concerne l’intégrité scientifique, quand ils ont publié le
rapport sensationnel mais incorrect [frauduleux], et qui visait à faire le
maximum d’impact sur les dirigeants mondiaux, Barack Obama et David Cameron à
la conférence climatique de l’ONU à Paris en 2015.”
“Le
rapport [frauduleux] a affirmé que la «pause» ou le «ralentissement» du
réchauffement climatique depuis 1998 – révélée par les scientifiques de l’ONU
en 2013 – n’a jamais existé et que les températures mondiales avaient augmenté
plus vite que prévu. Lancé par la NOAA avec une fanfare de relations publiques,
il a inondé tous les médias du monde, et été cité à plusieurs reprises par les
politiciens et décideurs politiques.”
“Mais
le dénonciateur, le Dr John Bates, un scientifique de haut niveau du NOAA, et
qui a une réputation impeccable, a démontré dans le journal The Mail le
dimanche, la preuve irréfutable que le document était basé sur des données
trompeuses, et «non vérifiées».”
« Il
n’a jamais été soumis au processus rigoureux d’évaluation interne de la NOAA –
que le Dr Bates a installé. »
“Ses
objections véhémentes à la publication des données erronées ont été
outrepassées par ses supérieurs du NOAA, dans ce qu’il décrit comme «une
tentative flagrante d’intensifier l’impact» de ce qui est devenu connu comme le
papier [frauduleux] du Pausebuster.”
“Ses
révélations risquent de solidifier la détermination du président Trump de
promulguer ses promesses d’inverser les politiques «vertes» de son prédécesseur
et de se retirer de l’Accord de Paris – déclenchant ainsi une intense querelle
politique.”
“Dans
une interview exclusive, le Dr Bates a accusé Thomas Karl, l’auteur principal
du document, et qui était jusqu’à l’an dernier directeur de la section NOAA qui
produit des données climatiques – les Centres Nationaux pour l’Information
Environnementale (NCEI) – d’insister sur les décisions et les choix
scientifiques qui ont maximisé l’idée du réchauffement et réduit la
documentation … dans un effort de discréditer la notion de pause du
réchauffement planétaire, s’est précipité afin de pouvoir chronométrer la
publication pour influencer les délibérations nationales et internationales sur
la politique climatique».”
“Les
deux ensembles de données [utilisées dans l’étude frauduleuse] étaient
erronées. Ce journal a appris que la NOAA a maintenant décidé que l’ensemble de
données sur la mer devra être remplacé et révisé substantiellement, juste 18
mois après avoir été publié, parce des méthodes non fiables avaient été
utilisées, et qui surestimaient la vitesse du réchauffement. Les données
révisées démontrent à la fois, et des températures plus basses, et un rythme
plus lent, dans la récente tendance au réchauffement.”
“Le
jeu de données sur la température terrestre, utilisé par l’étude a été affligé
par des bugs dévastateurs dans son logiciel, ce qui a rendu ses résultats
«instables».
“Le
document [étude frauduleuse] s’est appuyé sur une version «alpha» préliminaire
des données, laquelle n’a jamais été ni approuvée ni vérifiée.”
“Aucune
des données, sur lesquelles le document a été fondé, n’a été correctement
archivée – une exigence obligatoire visant à garantir que les données brutes et
le logiciel utilisé pour le traiter, sont accessibles à d’autres scientifiques,
afin de pouvoir vérifier les résultats de la NOAA.”
“Le
Dr Bates a pris sa retraite de la NOAA à la fin de l’année dernière, après une
carrière de 40 ans en matière de météorologie et de climatologie. Récemment, en
2014, l’administration Obama lui a décerné une médaille d’or spéciale pour son
travail à établir de nouvelles normes, en principe obligatoires, «pour produire
et conserver des données climatiques».”
“Pourtant,
quand le journal est arrivé juste à temps, pour influencer la conférence de
Paris, le Dr Bates a dit que ces normes ont été ignorées de façon flagrante.”
“L’article
[frauduleux] du journal a été publié en juin 2015 par la revue Science.
Intitulé «Les artefacts possibles des biais de données sur la récente lacune en
ce qui concerne le réchauffement climatique global», le document a déclaré que
le «répit» ou «ralentissement» [réchauffement] était un mythe.”
“Mais
le Dr Bates a déclaré que cette augmentation des températures a été obtenue par
des moyens douteux. L’erreur clé était un «ajustement» à la hausse des relevés
des bouées fixes et flottantes, généralement fiables, pour les aligner avec des
lectures provenant d’une source beaucoup plus douteuse: l’eau captée par les
navires. On sait depuis longtemps que les bateaux sont eux-mêmes des sources de
chaleur, les lectures varient d’un navire à l’autre et la profondeur de
l’apport d’eau varie en fonction du poids du navire, ce qui affecte les relevés
de température.”
“Le
Dr Bates a déclaré: «Ils avaient de bonnes données provenant des bouées. Et ils
les ont mises de côté et «corrigées» en utilisant les mauvaises données des
navires. Vous ne changez jamais de bonnes données pour confirmer les mauvaises,
mais c’est ce qu’ils ont fait – afin de laisser paraitre que la mer était plus
chaude’.”
“En
outre, le … logiciel [utilisé dans l’étude frauduleuse] était affligé par de
graves bugs. Cela a fait en sorte qu’il est devenu tellement «instable» que,
chaque fois que les lectures brutes de température ont été traitées par
ordinateur, cela a donné des résultats différents.”
« Le
Dr Bates a révélé que l’incapacité d’archiver et de rendre disponibles des
données entièrement documentées, non seulement violait les règles de la NOAA,
mais aussi celles établies par la Science. Avant de prendre sa retraite l’année
dernière, il a continué à soulever la question en interne. Puis vint la
dernière bombe. Le Dr Bates a déclaré: «J’ai appris que l’ordinateur utilisé
pour traiter le logiciel avait subi une défaillance complète».”
“La
raison du problème est inconnue, mais cela signifie que le papier Pausebuster
[frauduleux] ne pourra jamais être reproduit ou vérifié par d’autres
scientifiques.”
Comprenez-vous?
Fraude d’un bout à l’autre. Et un camouflage, pour rendre impossible tout
examen des détails de la fraude.
Le
parfait pire scénario.
Pouvons-nous
maintenant, enfin, avoir quelques accusations criminelles?
Même
un procureur de la poursuite, fraîchement sorti de l’école de droit, encore
humide derrière les oreilles, avec aucune expérience de la cour, serait en
mesure d’obtenir un verdict approprié.
Coupable
sur tous les points.
Coupable
de fraude à aider et encourager un vaste programme visant à réduire la
production d’énergie en Amérique, (et d’autres nations), sur la prémisse que le
réchauffement est en hausse et doit être arrêté.
“Mesdames
et messieurs du jury, imaginez cela. Les puissances au pouvoir veulent réduire
la production d’énergie dans ce pays. Tout le monde peut voir le résultat d’un
tel plan. Nous devenons tous piégés. Nous devenons tous plus pauvres. Mais on
nous dit que c’est nécessaire pour nous sauver de la destruction de toute vie
sur Terre. On nous dit que nous devons accepter ce plan, parce que la
production d’énergie libère du dioxyde de carbone, qui à son tour maintient
l’augmentation de la température de la planète.
Récemment,
une étude scientifique clé a été publiée, et cette étude renforce l’idée que le
réchauffement climatique est à la hausse. Mais un initié-clé expert démontrera
que cette étude était fausse, une fraude et un mensonge, et les gens qui l’ont
écrite sont coupables de nous tromper, vous et moi et tout le monde. Déclarez
ces personnes coupables, une fois pour toutes, et envoyez-les en prison, où
c’est leur place…”
Je
pourrais présenter cette affaire devant les tribunaux. Vous pouvez présenter
cette affaire devant les tribunaux. Trois types dans un bar pourraient faire
une poursuite sur ce cas. Et gagner.
Êtes-vous
prêt, monsieur Trump? Envoyez les chiens de chasse du Ministère de la Justice
et mettez ces menteurs en état d’arrestation.
Et
diffusez leur procès en audience publique, à chaque minute, à la caméra, à la
télévision, en ligne.
Qu’on
les voit à New York et à Chicago, à Los Angeles, à Toronto, à Londres, à Paris,
à Rome, à Kaboul, à Téhéran, à Sydney, à Tokyo, à Rio, à Durban, Nuuk et Tierra
del Fuego …
Finalement,
mettez la science officielle et ses facilitateurs sur le banc des accusés.