Le
ministère de la Justice des États-Unis vient de lâcher 23 équipes spécialisées
d'agents du FBI contre de nombreux journalistes américains, en vue de préparer leur emprisonnement, pour leur violation du Code 18 § 798 des
États-Unis sur la divulgation d'informations classifiées. Ce code stipule, en
partie, que : «Celui qui, sciemment et volontairement, communique ... ou
met autrement à la disposition d'une personne non autorisée ou publie ... toute
information classifiée ... [...] sera sanctionné ou emprisonné pendant au
plus dix ans »
Deux
semaines avant son entrée en fonction, le président Donald Trump a demandé
aux législateurs américains d'enquêter sur NBC News pour avoir divulgué des
renseignements hautement classifiés américains, dans ce qu'il croyait être
un complot orchestré par certains espions, qui travaillent en collusion avec
les grands médias, dans le but de détruire sa présidence à venir. Lorsque la
présidente de NBC News, Deborah Turness, a été confrontée
hier 14/02/2017, par le FBI, elle a rapidement été « démissionnée »
de son poste et brusquement transférée en Europe.
Trump
(qui a dit que «La communauté du renseignement distribue à la presse des
informations classifiées «comme des bonbons» »), aidé
par l'ancien général de l'armée américaine Michael Flynn
(qui était le principal espion des armées américaines), a déployé une manœuvre
classique nommée « piège
à canaris »
contre les «espions » de certaines agences de renseignement américaines et leur
incitateurs journalistes. Un piège à
canaris est une méthode pour déterminer d’où provient une fuite d'information
sensible, en donnant différentes versions de
cette info sensible à chacun des suspects puis de voir quelle version a
fuité et par qui.
Le
principal «appât» déployé dans cette manœuvre de « piège à canaris »
par Trump-Flynn était une conversation téléphonique inoffensive que le général
Flynn a initiée avec l'ambassadeur de Russie, Sergey Kislyak,
après que le régime Obama eut infligé
des sanctions contre la Russie. Le général Flynn a détaillé la substance de
cette conversation en déclarant: «Il ne s'agissait pas de sanctions. Il
s'agissait des 35 gars qui ont été expulsés. C'était essentiellement: «Ecoutez, je sais ce qui est arrivé. Nous
allons passer tout cela en revue ». Je n'ai jamais rien dit des choses du genre
« nous allons passer en revue les sanctions » ou quelque chose comme ça. »
Près
de temps après que le général Flynn eut parlé à l'ambassadeur Kislyak, le premier «oiseau» capturé dans ce «piège à canaris» était le rédacteur adjoint
du The Washington Post, David Ignatius, qui a construit sa carrière en répétant
ce que lui disent ses sources
au sein de la CIA, et qui dans sa colonne du 12 janvier, a écrit: "Selon
un haut fonctionnaire du gouvernement américain, Flynn a téléphoné à
l'ambassadeur russe Sergey Kislyak à plusieurs reprises le 29 décembre, le jour
où l'administration Obama a annoncé l'expulsion de 35 responsables russes ainsi
que d'autres mesures en représailles pour le piratage [par les Russes].
"
Tout
de suite après David Ignatius, plusieurs autres “oiseaux” ont été pris au “piège
à canaris” de Trump-Flynn, appartenant à toutes les salles de presse
médiatiques en Amérique, y compris The New York Times, qui a publié hier
“Les
enregistrements téléphoniques et les appels interceptés montrent que les
membres de la campagne présidentielle de 2016 de Donald J. Trump et d'autres
associés de Trump ont eu des contacts répétés avec des hauts fonctionnaires
russes du renseignement dans l'année précédant les élections, selon quatre
officiels américains actuels et anciens” ; auxquels le Kremlin a répondu en déclarant: "Ne
nous laissons croire aux informations anonymes. Ce rapport de journal n'est
fondé sur aucun fait. "
Or,
la CIA classe automatiquement chaque fonctionnaire du gouvernement russe comme
étant un "agent de renseignement". Et d’ailleurs, bien avant l'élection présidentielle, les électeurs
américains savaient que (1) Trump
avait visité la Russie, (2) son secrétaire d'Etat américain, Rex Tillerson,
avait eu de nombreuses
réunions avec le président Poutine et d'autres hauts fonctionnaires de la
Fédération lorsqu'il était PDG d'Exxon, (3) le général Flynn avait
visité la Russie et (4) Paul Manafort, le directeur de la campagne de
Trump, avait eu aussi des liens étroits avec des Russes en raison de son
entreprise de consultation électorale internationale.
En
fait, ce critère d’« avoir des "liens" avec la Russie »
utilisé par les médias américains pour attaquer Trump et tous ceux qui
travaillent avec lui, devrait maintenant inclure toutes les sociétés américaines,
leurs cadres et leurs PDG, qui ont des affaires
commerciales en Russie, et qui, de ce fait, ont des rencontres et des échanges
téléphoniques avec leurs clients russes, qui ne peuvent être que des
« agents de renseignement ».
Ainsi
en est-il, à titre d’exemples, de Pfizer,
Boeing, Ford Motor Corporation, PepsiCo, Procter & Gamble, McDonald's,
Mondelez International, General Motors, Johnson & Johnson, Cargill, Alcoa
et General Electric, pour n'en nommer que quelques-unes.
Selon
ces mass médias menteurs et propagandistes, nous devrions croire que les
dizaines de milliers de citoyens et de chefs d'entreprise américains qui
visitent quotidiennement la Russie (et osent même faire des appels
téléphoniques !!) sont tous des «espions» travaillant pour la Russie.
En
réalité, la raison véritable pour laquelle ces journalistes des merdias
américains diffusent les flammes de «l'hystérie russe» contre Trump n'a rien à
voir avec la réalité, mais
a tout à voir avec leur désir de le démettre de son poste.
Dans
leur zèle, cependant, pour détruire Trump,
ces journalistes ont aveuglément négligé le fait que ces agents de
renseignement américains, qui leur fournissent « l'information classifiée »,
travaillent
pour le président Trump, et non contre lui.
Et
bien qu'un nombre relativement restreint d'agents de renseignement de Trump
aient en fait été en collusion avec les grands médias américains pour le faire
tomber, ces journalistes et leurs dirigeants n'ont pas remarqué à leurs risques
et périls que, du côté de leurs présidents, il y a au moins 1.271
organisations de renseignement du gouvernement, 1.931 compagnies de
renseignement privées (dans 10.000 endroits des États-Unis) travaillent
actuellement contre le terrorisme, pour la sécurité intérieure et le
renseignements. Ce qui en fait, dans leur ensemble, plus de 854.000 agents loyaux
pour Trump, détenant des autorisations
ultra-secrètes, et qui ont prêté serment et sont prêts à le défendre.
Ces
manœuvres de Trump-Flynn avec ce «piège à canaris» n'ont pas encore été
remarquées par la majorité des journalistes américains. Ces derniers n’ont pas
non plus remarqué que le président Trump a secrètement promu, il y a presque 3
jours, le général Flynn en le nommant à la tête du plus
puissant et du plus secret service d’espionnage américain, connu sous le nom de
Bureau de renseignement et de recherche (Bureau of Intelligence and Research
(INR)).
Bien
que la masse des journalistes principaux américains jubilent encore parce
qu’ils pensent avoir détruit le général Flynn et piégé Trump, rien ne pourrait
être plus éloigné de la vérité.
Ils
ne s’attendent pas au contrecoup dévastateur du président Trump contre eux, à
part quelques rares vrais journalistes :
1) le
journaliste Glenn Greenwald, prix Pulitzer,
avertissant ces journalistes: "Dans
le spectre des crimes impliquant la fuite d'information classifiée, révélant
publiquement leur classifié top secret, est l’un des crimes les plus graves.
Les journalistes (et tous les autres citoyens non gouvernementaux) peuvent être
poursuivis en vertu de la loi fédérale pour divulgation des informations
classifiées »
2) Le
journaliste de la sécurité nationale de Bloomberg News, Eli Lake, a averti ces journalistes: «Normalement,
les interceptions de communications de fonctionnaires et de citoyens des
États-Unis sont des secrets gouvernementaux les plus étroitement gardés. C'est
pour une bonne raison. La divulgation sélective des détails des conversations
privées suivies par le FBI ou la NSA donne à l'Etat le pouvoir de détruire les
réputations des citoyens. C'est ce que font les états policiers. »
3) Le Correspondant principal du « Week News Service », Damon Linker, avertissant ces journalistes: « Des espions anonymes de
l'Amérique ont descendu Michael Flynn ... C'est profondément inquiétant ...
Beaucoup trop de critiques de Trump ne semblent pas comprendre que ces agents
de renseignement ont divulgué des informations très sensibles à la presse -
principalement parce que ceux qui critiquent Trump sont satisfaits du résultat.
»
Mais trop peu, et trop tard, ces
avertissements sont-ils venus aux masses de ces journalistes américains qui ont
grossièrement violé les lois les plus puissantes contre la fuite des
informations classifiées. Comme en témoigne la période de moins de 24 heures
entre le moment où le général Flynn a été secrètement déplacé à sa nouvelle
position de renseignement par le président Trump et les équipes du FBI qui ont
commencé à balayer les journalistes à la fois à New York et à Washington DC.
Armés de leurs lettres de Sécurité
Nationale, (National Security Letters
(NSL’s), ces
équipes du FBI se présentent aux journalistes piégés avec une citation
administrative délivrée par l'administration du gouvernement fédéral du
président Trump. Ces agents sont chargés de recueillir des informations à des
fins de sécurité nationale. Leur mission ne nécessite pas l'approbation
préalable d'un juge, et pourrait déclencher un emprisonnement.
Le plus étonnant dans cette affaire est que
le président Trump refait ici ce qu’a été fait par Obama avant lui, et que la
masse du peuple américain ne sait pas. Sous
Obama, le ministère de la Justice des
États-Unis avait intenté des poursuites judiciaires contre tous ceux qui ont
diffusé des secrets gouvernementaux, et qu’en ce domaine, Obama a dépassé, à
lui tout seul, le total des poursuites de tous les présidents qui l’ont précédé.
Dans la préparation de l’arrestation et de
l’emprisonnement de ces journalistes, le président Trump a commencé à
rassembler une «équipe d'action» , qui inclut notamment ses anciens adversaires
de la campagne présidentielle du Parti républicain, dont le gouverneur Chris Christie
et le sénateur Marco
Rubio . Ils ont été les premiers «invités» de Trump pour un dîner privé à la Maison Blanche depuis sa
prise de pouvoir. Or le gouverneur Christie est l'un des plus puissants
procureurs de district des États-Unis contre la corruption publique, et le
sénateur Rubio est un membre top niveau du Comité spécial du renseignement du
Sénat américain.
Ces journalistes propagandistes dirigés par
la CIA vont bientôt réaliser la vérité brutale de la vieille maxime américaine:
«Personne n'est au-dessus de la loi».
Le
FBI innocente Michael Flynn
Le
FBI a conclu que Michael Flynn n'avait aucune relation secrète avec la Russie
et innocente le lieutenant général à la retraite de tout acte répréhensible.
Selon
un fonctionnaire des services de renseignement des États-Unis parlant avec NPR
(National Public Radio), après avoir examiné les transcriptions, les agents du
FBI ont constaté que la démission forcée de Michael Flynn aurait pu être
orchestrée par des initiés d'Obama opérant au sein de la Maison Blanche.
Après
avoir passé en revue les transcriptions, le FBI n’a rien trouvé de répréhensible!
« Le
FBI a examiné les interceptions de communications entre l'ambassadeur de Russie
aux États-Unis et le lieutenant à la retraite Michael T. Flynn - conseiller de
sécurité nationale du président élu Trump - mais n'a pas trouvé de preuve
d'acte répréhensible ou de liens illicites avec le Gouvernement russe, ont
déclaré les officiels américains. »
Un
autre fonctionnaire des services de renseignement des États-Unis est d’accord
avec le FBI et a déclaré à NPR:
"Il
n'y a aucune preuve d'actes répréhensibles criminels dans les transcriptions
des conversations de l'ancien conseiller de sécurité nationale Michael Flynn
avec l'ambassadeur russe Sergey Kislyak, "
Le
fonctionnaire a également dit qu'il n'y avait «absolument rien» dans les
transcriptions qui suggère Flynn agissait sous des instructions « ou que la
piste mène plus haut ».
"Je
ne pense pas que [Flynn] savait qu'il faisait quelque chose de mal", a
déclaré le responsable. "Flynn
a parlé de sanctions, mais aucune promesse spécifique n'a été faite. Flynn
parlait plus en général «peut-être allons-nous y jeter un œil plus tard» termes.
Alors,
pourquoi n'écoutons-nous pas les fonctionnaires qui ont ENTENDU les appels?
Ne
soyons pas dupe, il ne s’agit pas de Flynn discutant des sanctions ou tout
autre chose avec la Russie. Il s'agit de
délégitimer un président.
Il
ya une raison pour laquelle les Démocrates sont toujours déterminés à enquêter
sur Flynn, même s'il a déjà démissionné. Ils
utilisent cela comme un moyen de prouver que Trump était "avec la
Russie" et donc un président illégitime.
Rien
n’arrêtera les Démocrates pour essayer de bouter Trump hors de la Maison
Blanche. Ils
ne se soucient pas combien de vies ils ont à ruiner.
Les journalistes de TOUTES les chaînes françaises, qui jubilaient en annonçant la "démission" de Flynn pour "connivence avec la Russie", ont montré qu'ils ne sont que "la voix de son maître". Ils n'ont aucun honneur ni aucune déontologie : seul leur misérable salaire compte.
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC