Un
article de recherche réellement alarmant écrit récemment par des scientifiques russes
de haut niveau, du Ministère fédéral de l'Hydrométéorologie et de la
surveillance environnementale (ROSGIDROMET)
avertit que toute la région de l'océan Pacifique (qui représente un tiers de la surface de la
Terre) est en danger d’être submergée
par deux espèces marines d'algues rouges tueuses.
Selon whatdoesitmean.com, la croissance exponentielle de ces algues
rouges a été «accélérée» en raison d'une «atmosphère intérieure à le planète»
jamais connue auparavant, qui a été libérée à la suite du désastre de la centrale
nucléaire de Fukushima Daiichi du 11 mars 2011 au Japon. Si cette
catastrophe n’est pas atténuée, cette masse d'eau qu’est l’Océan Pacifique, se
transformera en "rouge sang", tuant tout ce qui s'y trouve et le rendant
non navigable.
Les
chercheurs de ROSGIDROMET sont les
spécialistes de la Fédération en hydrométéorologie [branche de la météorologie
et de l'hydrologie qui étudie le transfert de l'eau et de l'énergie entre la
surface terrestre et la basse atmosphère] dont le centre principal d'étude est ce
que l'on appelle les «rivières
atmosphériques», qui sont comme des
couloirs étroits d'humidité concentrée dans l'atmosphère, et qui ont
typiquement plusieurs milliers de kilomètres de long et quelques centaines de
kilomètres de large.
Imagerie de la vapeur d'eau sur le Pacifique oriental prise depuis le satellite GOES 11, montrant une large rivière atmosphérique au-dessus de la Californie en décembre 2010. |
Des
recherches antérieures de ROSGIDROMET, ont été faites dans le domaine du guidage
et du contrôle de ces «rivières atmosphériques» dans le but de provoquer des
pluies sur certains territoires souffrant de la sécheresse (Par exemple,
ensemencement de nuages, manipulation du temps).
En
2011, peu de temps après la catastrophe nucléaire japonaise à Fukushima, les chercheurs
de ROSGIDROMET ont eu accès aux données militaires russes des satellites Luch, relatives
à la région océanique du Pacifique, afin de suivre et surveiller la propagation
aéroportée des rayonnements, et en particulier, comment ce rayonnement pourrait
affecter «les rivières atmosphériques».
Le
31 janvier, cependant, les données satellitaires reçues par les chercheurs de ROSGIDROMENT
ont commencé à fournir des concentrations anormalement élevées de soufre
radioactif émanant de Fukushima. Ce qui a été suivi deux jours plus tard, soit
le 2 février, par un rapport des Japonais déclarant que deux de leurs robots
"protégés" contre le rayonnement avaient
été détruits. Et encore plus préoccupant, ils ont découvert un
trou mystérieux de 2 mètres de diamètre à l'intérieur du réseau métallique
au fond du récipient de confinement dans le réacteur N ° 2 de cette centrale
nucléaire.
Bien
que ces découvertes de soufre radioactif anormalement élevées émanant de
Fukushima fussent de lourdes préoccupations pour les chercheurs scientifiques
de ROSGIDROMENT, leur découverte de la semaine du 23 février a transformé
préoccupations en alarmes, car les
nouvelles mesures ont dépassé l’imaginable. Cependant, les autorités japonaises
minimisent la chose, en admettant qu'un incendie mystérieux a éclaté dans cette
centrale nucléaire paralysée, sans donner d'autres informations à ce sujet.
En
décrivant les niveaux de soufre radioactif émis de Fukushima et commençant à
faire le tour du monde, les scientifiques de ROSCIDROMENT ne pouvaient
l'expliquer qu’en disant que «les portes de
l'enfer se sont ouvertes», car aucune littérature scientifique
moderne n'a jamais théorisé sur ces énormes niveaux de soufre présentes dans
les parties les plus profondes de la Terre. Ce qui a mené l’un d’eux à suggérer
qu'un «syndrome chinois» s’est produit. Le syndrome chinois
est l’hypothèse de la conséquence la plus grave d'une fusion du cœur d'un réacteur
nucléaire, dans laquelle les éléments combustibles en fusion du cœur percent
les barrières qui le confinent et s'enfoncent dans la terre. Donc, les matières
nucléaires de Fukishima auraient fondu pour atteindre un ancien dépôt de
«soufre atmosphérique» jamais connu auparavant.
Les
dangers de ces niveaux catastrophiques de soufre radioactif rejeté dans
l'atmosphère, viennent de la nature
aéroportée des algues. Cette espèce d'algues marines rouges ont été découvertes au
Japon, en 2014, et sont appelées "Congracilaria
Babae". Elles sont extrêmement dangereuses car, lorsqu'elles
sont exposées à un rayonnement, elles ont une croissance explosive , et
comme toutes les autres espèces d'algues marines, elles
prospèrent sur le soufre.
Pire
encore, en 2010, une découverte a été faite montrant qu'une espèce marine
d'algues rouges appelée "Plocamiocolax
Puvinata" avait perdu
un gène clé qui l'empêchait de se reproduire rapidement, et cela a été
découvert aussi dans les espèces d'algues rouges appelées «Plocamium
Pacificum».
Cette
dernière algue rouge, intertidale et sous-marée, se trouve tout au long des côtes occidentales de
l'Amérique du Nord dans la zone intertidale moyenne à basse et à des
profondeurs de 40 mètres. Ce qui veut dire que, à mesure qu'elle pousse et se répand, elle détruit
les niveaux d'oxygène et tue tout sur son chemin, tout en restant cachée.
Ses effets commencent à se faire sentir. En 2015, on a constaté l'effondrement
de l’industrie de la pêche dans cette région,
en raison des morts de masse. On a constaté aussi beaucoup d'autres
anomalies étranges.
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Mais
les plus grandes craintes des chercheurs de ROSCIDROMENT viennent de la
combinaison possible des espèces d'algues rouges japonaises "Congracilaria
Babae" avec leurs jumelles (ADN frères) de la côte ouest nord-américaine
«Plocamium Pacificum». Si cela se produisait, une invasion
catastrophique d'algues rouges se produirait transformant toutes les eaux qu'elle
toucherait en zones de mort «rouge sang», surtout que les «rivières
atmosphériques» de l'Océan Pacifique sont inondées de quantités massives de
soufre radioactif, non seulement au Japon, mais aussi dans les zones intérieures
des terres où ces «rivières atmosphériques» coulent et précipitent sous forme
de pluie et de neige.
Hannibal GENSERIC