mardi 28 février 2017

Hollywood sioniste. Les amis de Daech décorés d'un Oscar


Les « amis » de Daesh reçoivent un Oscar : Hollywood récompense un documentaire controversé sur les Casques blancs. Leurs  liens avec les terroristes islamistes ne sont pas condamnables, au contraire ils sont récompensé pour services rendus à l'Empire anglo-sioniste. Le film sur le « travail périlleux de ces bénévoles » présentés en héros a obtenu le prix du meilleur court-métrage documentaire.

Le documentaire The White Helmets (« Les Casques Blancs ») d'Orlando von Einsiedel a remporté l'Oscar du meilleur court-métrage documentaire lors de la 89ème cérémonie, ce 26 février à Los Angeles.

Les « amis » de Daesh recoivent un Oscar : Hollywood récompense un documentaire controversé sur les Casques blancs

Le film de 40 minutes présente le «travail périlleux de ces bénévoles qui bravent les bombes pour secourir des civils dans le carnage de la guerre civile syrienne». Principalement financée par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, l'organisation humanitaire a bénéficié d'une certaine exposition médiatique en Occident, en dépit des accusations régulièrement portées à son encontre, notamment concernant ses liens avec les groupes terroristes, dont le Front al-Nosra, ainsi que son véritable rôle sur le terrain.
Un film fake news a 100%. Un spectacle hollywoodien pour distraire de la vraie réalité Vidéo
Des habitués de la mise en scène 

Le prix décerné au court-métrage suscite lui aussi des interrogations. Patrick Henningsen, géopolitologue, explique que « le film en lui-même n'est pas un véritable documentaire, puisque l'intégralité des images utilisées ont été fournies aux producteurs par les Casques blancs eux-mêmes : l'équipe de production chez Netflix n'a filmé aucune des prétendues scènes de sauvetage » 
https://twitter.com/RTenfrancais/status/801018760853356544/photo/1
Par le passé, la nature des images que les Casques blancs diffusent abondamment sur les réseaux sociaux pour témoigner de leurs opérations a déjà fait l'objet de très sérieuses remises en question. En décembre dernier, la journaliste indépendante Eva Bartlett avait dénoncé l'utilisation par l'organisation d'« images vidéos montrant le sauvetage d'enfants que l'on retrouve parfois secourus dans d'autres vidéos ». « Sur le terrain, personne n'a jamais entendu parler d'eux à Alep », ajoutait-elle.
En janvier, la diffusion d'une vidéo du groupe de secouristes syriens avait provoqué un tollé sur le web : on y voyait les secouristes « sauver » quelqu'un - alors qu'il ne s'agit que d'un « mannequin challenge » - un concept vidéo à la mode dans laquelle les internautes se filment en restant figés. La vidéo, brouillant clairement la frontière entre mise en scène et réalité, avait été retirée du compte du groupe quelques heures après avoir été postée.
Des liens troubles entre les Casques blancs et les terroristes 
D'autres images plus compromettantes encore pour les Casques blancs n'ont sans doute pas été inclues dans le montage final du documentaire. Elles montrent certains membres de l'organisation 
en train de poser avec des djihadistes armésou de participer à des manifestations de liesse dans les rues d'Alep aux côtés d'individus brandissant l'étendard noir de l'Etat islamique.

Vanessa Beeley, journaliste indépendante et chercheuse britannique qui s'est rendue sur place, à Alep, estime que les Casques blancs ne seraient pas ceux qu'ils prétendent être :
« [Ils] sont dans les régions contrôlées par les terroristes. Ils fournissent des soins médicaux aux terroristes, ils acheminent les équipements par la Turquie dans les régions terroristes [...]. Ils ont été filmés participant à l'exécution d'un civil à Alep. Ils diffusent des vidéos, sur leurs pages dans les réseaux sociaux, des exécutions de soldats et de civils arabes. »
Par ailleurs, James le Mesurier, fondateur de l'ONG Mayday Rescue et entraîneur des Casques blancs serait un ancien militaire britannique : d'après les recherches effectuées par Vanessa Beeley, il serait en réalité proche des sociétés de sécurité privées qui ont été ou sont sous contrat avec l'armée américaine ou la CIA, telle la controversée Academi (ex-Blackwater). 
 Deux membres des Casques blancs, Raed Saleh et Khaled Khatib, devaient assister à la cérémonie mais avaient finalement préféré ne pas s'y rendre, invoquant d'abord le décret sur l'immigration de Donald Trump, avant de faire savoir qu'ils avaient trop de travail.


Commentaire 

Daech a donc remporté son tout premier Oscar à la cérémonie des Oscars dimanche soir, car son bras de propagande, les Casques Blancs, a remporté un prix pour le meilleur documentaire court.
Le faux documentaire primé sur un faux groupe de sauvetage  connu pour la mise en scène et le bidonnage des vidéos et des photos de fausses victimes de la guerre contre la Syrie est une opération de désinformation britannique qui a reçu plus de 100 millions de dollars provenant des impôts des États-Unis et du Royaume-Uni.
Voici ce qu'en dit Moonofalabama.org:
Sa tâche générale est de convaincre le public "occidental" que la guerre sur la Syrie est justifiée à cause de la "cruauté du gouvernement syrien".
Hollywood n'a jamais eu honte de prendre l'argent du gouvernement américain pour promouvoir la guerre contre tel ou tel pays ou «ennemi». Le bureau de liaison du Pentagone à Hollywood finance de nombreux films.
S'il y a des chars nécessaires et des héros militaires dans un scénario, le Pentagone organisera et fournira les accessoires, les vrais chars et les vrais  soldats, sans frais, à condition bien sûr qu'il puisse lire et «corriger» le script comme il l'entend. Les fabricants de «Top Gun» ont besoin d'avions, de transporteurs aériens et d'explosions? Pas de problème du tout et sans aucun coût pour les producteurs.
En échange, le personnel de recrutement militaire attendra pour piéger les cinéphiles quand ils sortent des salles de projection. Le Congrès fournira avec joie plus d'argent et plus d’avions devenus obsolètes pour le tournage.
Un prix d’académie renforce le message qu'une production porte vers ses consommateurs. Les sociétés de marketing qui créent et gèrent les «casques blancs» recevront sûrement quelques millions de plus pour l'Oscar reçu.
Tout est faux à Hollywood
Le mauvais gagnant est annoncé et Daech obtient un Oscar. «Nous n’avons fait aucun  mal» pourraient dire les promoteurs de ces faux documentaires.
Sauf au peuple de Syrie. 
Pour lui, la destruction et la mort promues et fêtées par les sionistes de Los Angeles sont trop réelles.
  Hannibal GENSERIC