La
police militaire russe opérant en Syrie a arrêté des membres de l'organisation responsables
de l'assassinat de quatre soldats américains lors d'un attentat à Manbij
dimanche dernier. L’attaque a été ordonnée par le président turc Recep Erdogan
en représailles à la menace du président Trump d’écraser la Turquie de manière
économique [1].
Les membres de
l'Armée syrienne libre actuellement détenus par la Russie ont confirmé que de
nouvelles attaques contre des Américains en Syrie étaient prévues. L’ASL est
composée d'une confédération souple de groupes tribaux syriens rémunérés par le
gouvernement turc et jouant le rôle de complément à l'armée turque.
La
Turquie a créé l'incarnation actuelle de l’ASL pour combattre les Kurdes en
Syrie. Ils sont entièrement contrôlés et commandés par la Turquie.
En
fait, il n'y a plus rien de «libre» ni de «syrien» dans «l'Armée syrienne
libre», un groupe maintenant chargé d'agir en tant qu'unité avancée de l'armée
turque et en tant que groupe auxiliaire utilisé aujourd'hui pour assassiner des
soldats américains. Ils agissent au nom du président turc Erdogan, qui vient de
les encourager à participer à un "crachat Twitter" sur Donald Trump.
Les
États-Unis sont tout à fait conscients qu’Erdogan est responsable de cette
attaque, mais comme toujours, ils cherchent un moyen d’en accuser la Russie. Ils cherchent aussi à acheter Erdogan,
en lui proposant de transférer la technologie des missiles américains Patriot en
Turquie. C’était la demande d’Erdogan. Les Turcs veulent commencer à produire leurs propres
missiles Patriot et les exporter en concurrence avec Israël (qui utilise
également cette technologie volée des États-Unis pour alimenter leurs
exportations militaires).
[1] Le
président américain Donald Trump a menacé dimanche la Turquie d’une catastrophe
économique, en cas d’attaque contre les Kurdes après le prochain retrait des
troupes américaines de Syrie, tout en appelant les Kurdes à ne pas
« provoquer » Ankara.
Les États-Unis
vont « dévaster la Turquie économiquement si elle attaque les
Kurdes », a tweeté Donald Trump, qui appelle également à la création d’une
« zone de sécurité » de 30 kilomètres, sans plus de précisions sur sa
localisation ou sur son financement.
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Hannibal
GENSÉRIC
Vous n'avez aucun preuve. Je suis souvent ce blog et vous montrez les sujets sur la Turquie toujours coupable. Juste apres Sputnik news vous commencer a le viser avec vos pierres. L'unique démocratie musulmans. Qui essaie de rassembler les musulmans et les peuples du monde humilié.
RépondreSupprimerRassembler les musulmans par l'unique démocratie musulmane. Ça fait rire de la naivite d'une telle analyse repetée par le troupeau islamiste qui crois et qui veulent nous faire croire a cette fable de califat ottoman, comme ci ces musulmans ont vé
Supprimercu tout au long de l'histoire dans la prospérité et la modernité et le civisme des turques.